Études sur la Renaissance: Renaissance et réforme; Erasme, Thomas Morus, Mélancthon
480 pages
Français

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hm '1 -r''.' vil: .lôcquest of IRcv. 1b. (T. ScabMiujt 2^-5). to tbe Xibracç of tbe inuivcrtMtv^ of Zloronto 1901 OFBEQUEST D. D.SCADDING,OANOHREV. 1901.TORONTO, ^iz-z.^ ÉTUDES SUR RENAISSANCELA RÉFORME ET — MORUS — MÉLANCHTHONÉRASME THOMAS i' A i; D. NISARD DE l'académie française ÉDITIONDEUXIÈME "^ asme,qui sentait le apparemment costume ecclésiastique, fut arrachée de son pié-pour son destal et portée dans la maison commune, où l'on délibéra fondre. Les magistrats de Bàle, l'ayant appris,de la faire chargèrent un marchand de leur ville, en ce moment à Rotterdam, d'acheter cette statue moyennant un certain correspondant bàlois entra en ouvertures pour cetprix. Le achat avec les autorités do l'émeute, et peu s'en fallut que fût conclu. La difficulté prixle marché ne portait sur le offert la commune le trouvait insuffisant. Le marchand ; en écrivit à ses commettants; ils l'autorisèrent à acquérir en voudrait. ces entrefai-ja statue au prix qu'on Sur autorités de Rotterdam se ravisèrent; on per-tes, les quoiquesuada au peuple qu'Érasme, clerc, n'était ni un de messes, et que sa statue ne voulaitsaint ni un diseur décidani adorations ni prières on qu'elle ne serait point ; piédestal, ce qui exécutévendue, mais replacée sur son fut après. On verra plus tard pour quels motifsquelque temps lîàle désirait posséder celte statue.

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hm
'1 -r''.'
vil:.lôcquest of
IRcv. 1b. (T. ScabMiujt 2^-5).
to tbe Xibracç
of tbe
inuivcrtMtv^ of Zloronto
1901OFBEQUEST
D. D.SCADDING,OANOHREV.
1901.TORONTO,^iz-z.^ ÉTUDES
SUR
RENAISSANCELA
RÉFORME ET
— MORUS — MÉLANCHTHONÉRASME THOMAS
i' A i;
D. NISARD
DE l'académie française
ÉDITIONDEUXIÈME
"^
<v'V 7 à
^^
PARIS
MICHEL ÉDITEURSLÉVY FRÈRES, LIBRAIRES
BUE VIVIENNE, 2 BIS, ET BOULEVARD DES ITALIEN^, 15
A LA LIDKAIRIE NOUVELLE
1864
Tous droits réservés\(:i:IMU-:!
jircniH'i' t'ci il de (jUchiiH' ('Iciidiic(les i.liulrs soiil K'
(|iic j'aie cuiiiposc^ aprcîs iiioii (iiniai^c siii' les poêles
laliiis (le la décadciice.
Ii';nili(pnl('' me iiiciiail. à la Heiiaissaiice. .l'ai voulu m'en
dimiicr le spcclaclc ;i la lois si hiillaiil cl. si l'orliliaiil .le
l'ai eu Idiil eiiliei' dans la vie de Imis des plus illustres
ouvriers de la Ueuaiss.inee : Kiasuie, 'llioui.is IMorus,
!M('-lanelillion.
Mais, eu éludiaiil leurs liavau\ lilléraires, je dev.iis
l'eiieoiilier leurs liavaiix de cliiélieMs. Ouvriers allacliésIl PRÉFACK.
deux tâchesà liéru'nfiies, d'une main ils exhumaient les
lettres classiques, de l'autre ils restauraient les lettres
chrétiennes. Pour eux, la Renaissance a été le réveil des
deux antiquités.
Comme lettrés, ces grands onthommes eu le même
enthousiasme, la même foi: comme chrétiens, la réforme
en a fait trois types caractéristiques des trois grandes opi-
nions chrétiennes qui ont partagé l'Europe au commen-
cement du quinzième siècle. Thomas Morus représente
catholique, phi-le Mélanchthon le protestant, Érasme le
losophe chrétien.
les étudiais avec le dessein de les juger : peut-êtreJe
les ai-je aimés jugés. Je les ai aimésplus que jusqu'à
épouser toutes leurs querelles, jusqu'.-i me ranger avec
contre tous leui's enneniis; j'ai cru leur^ paroles;eux
ce commerce avecet tel a été le charme de ces belles
pas toujoursâmes, que. s'il ne m'a empêché de voir leurs
par moments, me leursfautes, il a Lien pu, dérober fai-
blesses.
Publiées pour la première fois, de I8rî() à 18Ô8, dans
la Bévue des Deux Mondes, ces Etudes ont été accueillies

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