*^ m^\±' u .arc ^ ^ /-^/^^r«**^^^^SISE-AAAA^^^^^^^^ >v^ -^•^'^?^^/^^ , à Saint-Germain. [ISTOIRE DE LA REVOLUTION DE 1848 / PAR LOUIS BLANC TOMK DEUXIÈME lûiU ! ^ f\ «l: LA DE FÉVRIER 1848RÉVOLUTION CHAPITRE SEIZIÈME FAUSSE ALERTE —reproches insensés. Appréciation historique de lajour-Réponse à des — —du 17 mars. Ce que le Gouvernement avait à faire. Ce qu'ilnée —— Avec quoi il l'a fait. Impression produite, par le 17 mars,a fait. majorité du Conseil, et particulièrementsur les membres de la sur — —Lamartine. Manifestation du 16 avril. Ses causes et sonM. de — présentée, à l'avance, comme un complotcaractère. Elle est com- Blanqui.—muniste dirigé par MM. Cabet et Absurdité de cette fablo. — Répudiation de tous moyens violents par M. Cabet.—M. Blanqui en son propre parti. —suspicion, alors, auprès de L'Hôtel-de-Ville est —néanmoins, en état de défense. M. Ledru-Rollin, circonvenu,mis, rappel de la garde nationale.— Inanité du complot ulté-fait battre le —rieurement prouvée par une enquête judiciaire. Bruits inquiétants alarmistes. — Arrivée des corporations sur la place dosemés par les — en voyant cette hérissée deGrève. Leur indignation idace baïon- —— Mon discours aux délégués. Défilé des corporations entrenettes. nationale.— Rôle que joue, dans cette journée,les rangs de la garde —police occulte. Protestation des déléguéscontre les odieuxsoup-une démarche avait donné lieu.— Attitude du Gouver-çons auxquels leur — secrète denement provisoire après le 10 avril. Entrevue M.