r^Cl^fe.:— :sm&¥ Dfe^^-:^ rm.. :^^^R^ ^^ "Z i;^c:>S SOUS CHARLES IX (ÉRAnX DE BLOIS (^uv prendre et arrêter les décisions ; les moins considérables {Minores), pour recevoir ces et quelquefois en délibérer lesdécisions, aussi et confirmer, non par un consentement formel, mais par leur opinion et l'adhésion de leur intelligence. « L'autre assemblée, dans laquelle on recevait les se tenait seulement avecdons généraux du royaume, plus considérables (Seiiiores) de l'assemblée pré-les cédente et les principaux conseillers assemblées, on« Dans l'une et l'autre des deux soumettait à l'examen et à la délibération des grands ar-que j'ai désignés, en vertu des ordres du roi, les loi lui-mêmeExamen et -vote ticlcs dc uommés Capitula, que le roi es apitu aires, ^y^j^- rédigés. Après avoir reçu ces communications, plus,ils en délibéraient un, deux ou trois jom^s, ou Pa-selon l'importance des affaires. Des messagers du allant et venant, recevaient questions etlais, leurs leur rapportaient les réponses; puis le résultat de grandleurs délibérations était mis sous les yeux du qui alors, avec la sagesse qu'il avaitreçue deprince, Dieu, adoptait une résolution à laquelle tous obéis- deuxsaient. Les choses se passaient ainsi pour un, INTRODUCTION. 9 grand nombre,ou un plus jusqu'à ceCapitulaires, de Dieu, toutes les nécessitésavec l'aide duque, été réglées.
S SOUS CHARLES IX (ÉRAnX DE BLOIS (^uv prendre et arrêter les décisions ; les moins considérables {Minores), pour recevoir ces et quelquefois en délibérer lesdécisions, aussi et confirmer, non par un consentement formel, mais par leur opinion et l'adhésion de leur intelligence. « L'autre assemblée, dans laquelle on recevait les se tenait seulement avecdons généraux du royaume, plus considérables (Seiiiores) de l'assemblée pré-les cédente et les principaux conseillers assemblées, on« Dans l'une et l'autre des deux soumettait à l'examen et à la délibération des grands ar-que j'ai désignés, en vertu des ordres du roi, les loi lui-mêmeExamen et -vote ticlcs dc uommés Capitula, que le roi es apitu aires, ^y^j^- rédigés. Après avoir reçu ces communications, plus,ils en délibéraient un, deux ou trois jom^s, ou Pa-selon l'importance des affaires. Des messagers du allant et venant, recevaient questions etlais, leurs leur rapportaient les réponses; puis le résultat de grandleurs délibérations était mis sous les yeux du qui alors, avec la sagesse qu'il avaitreçue deprince, Dieu, adoptait une résolution à laquelle tous obéis- deuxsaient. Les choses se passaient ainsi pour un, INTRODUCTION. 9 grand nombre,ou un plus jusqu'à ceCapitulaires, de Dieu, toutes les nécessitésavec l'aide duque, été réglées." />
r^Cl^fe.:— :sm&¥ Dfe^^-:^ rm.. :^^^R^ ^^ "Z i;^c:><C ^f ^^^ <w i^fHISTOIRE DES r r ETATS GENERAUX— TYPOGRAPHIE LAHUREPARIS. Fleurus,Rue de 9HISTOIRE DES GÉNÉRAUXÉTATS DE VUEPOINTAUCONSIDÉRÉS de FRANCEDE LAGOUVERNEMENTLESURINFLUENCELEUR i6i4i355 ADE PICOTGEORGES Seinede laau TribunalJuge POUTIQCESMORALES ETl'aCADÉMIE DES SCIENCESPARCOURONNÉOUVRAGE concours d'histoire)pris du(premier PREMIERTOME PARIS G-ETHACHETTELIBRAIRIE SAINT-GERMAIN, 79BOULEVARD79,