aa&tarD hiillie/: \»,^ g/ c^e/Â'etd /'^ \ fti Ifa.. ^AI•I^. lUPRIMEKIt LA IIIRC ^ ••À ^Jti IVaprcs la statue de CiOrome.J.-L. Dès l'origine, la danse a été un art, ayant ses règles, ses lois, analogues à celles de la musique et de la sculpture. Et, comme tous les arts qui PN'MAST ni lin «lieux. En Grèce, berceau des arts et iiwnt portes, se présentèrent aux hommes en unles apprend aux bergers de l'Hclladc les danses cluni-liore. l'an Dans bois sacrés de l'Olympe et du Pélion, les Grkcsles itaiiles et leurs rondes s'éclairent des rayons de l.i litiK. Hésiode disait avoir aperçu, au lever de l'aurore, les cadence, de leurs pieds d'albâtre, lesMuNc-s clHcurant en l'arnassipentes fleuries du puciic rcvc auquel la danseTout un monde de tt de silence bois,iM mêlée, peuple la Grèce d'autrefois. Dans le des devant les autels sacrés, les jeunes filles, couronnées de chêne, dieuenguirlandées de fleurs, passent en dans.mt, célébrant le Fan, .'\pollon, Diane, l'innocence des premiers .îges et les diistes hyménées. Dans les temples, on danse en l'honneur des divinités propices; des moissons, dernier chariotet, ;\ la fin autour du immense vélumde blé, sous l'azur du ciel tendu comme un de soie, les jeunes filles dansent tandis que les moissonneurs, ayitnnt leurs (Itucilles, chantent en chœur des hymnes àCércs, «^j la blonde et bonne déesse qui donne le pain. I Dans l'antiquité païenne et l'antiquité biblique, la danse^^ % I se confond avec le culte et la religion.