.•"' UNIV. OF TORONTO UBKABY , V_^ V LE CHRISTIANISME ET ORIGINESSES PREMIÈRE PARTIE — L'HELLENISME — Imprimerie de Lagnyy. Aureau. LE CHRISTIANISME ET SES ORIGINES PAR ERNEST HAVET TOME PREMIER TROISIÈME ÉDITION REVUE ET CORRIGÉS '' -J"*T t'- ^^ 9 PARIS CALMANN LÉVY, ÉDITEUR LÉVY FRÈRESANCIENNE MAISON MICHEL ITAUBMS, làRLE AIDER, 3, KT BOULEVARD DES LIBRAIRIE NOUVELLEA LA. 1880 de traduction réservésDroits de reproduction et •*>£ £ AVANT-PROPOS Préface qui va suivre ne serait pas datée,Quand la tranquillité moraleon reconnaîtrait aisément, à la dont qu'elle était écrite avant leselle témoigne, calamités passer la France, et dontqui viennent de sur l'ombre encore pour longtemps : à cettel'enveloppe date de livre était imprimé presque toutjuillet 4870, le entier. Pendant cette sinistre année, je n'aurais pas eu assez de liberté d'esprit pour l'écrire maintenant qu'il; est écrit, je ne sais si on en trouvera pour le lire, et je ne plaindrai certainementme pas si ceux à qui je préten- dais l'adresser sont maintenant tout entiers à d'autres pensées. Je ne crains pas de dire cependant que s'il y leçons plusa des pressantes à donner à notre malheu- pays que cellesreux que contient cette Étude, celles-ci ne sont pas non plus inutiles, et répondent aux besoins, sinon du moment même où nous sommes, du moins de l'avenir où nous entrons. Si la France a ses finances à refaire, et ses armées, elle n'a pas moins à se préoc- cuper rétablirde ses forces morales.
£ £ AVANT-PROPOS Préface qui va suivre ne serait pas datée,Quand la tranquillité moraleon reconnaîtrait aisément, à la dont qu'elle était écrite avant leselle témoigne, calamités passer la France, et dontqui viennent de sur l'ombre encore pour longtemps : à cettel'enveloppe date de livre était imprimé presque toutjuillet 4870, le entier. Pendant cette sinistre année, je n'aurais pas eu assez de liberté d'esprit pour l'écrire maintenant qu'il; est écrit, je ne sais si on en trouvera pour le lire, et je ne plaindrai certainementme pas si ceux à qui je préten- dais l'adresser sont maintenant tout entiers à d'autres pensées. Je ne crains pas de dire cependant que s'il y leçons plusa des pressantes à donner à notre malheu- pays que cellesreux que contient cette Étude, celles-ci ne sont pas non plus inutiles, et répondent aux besoins, sinon du moment même où nous sommes, du moins de l'avenir où nous entrons. Si la France a ses finances à refaire, et ses armées, elle n'a pas moins à se préoc- cuper rétablirde ses forces morales." />
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