Le protestantisme jugé et condamné par les protestants [microforme] : avec le double compte-rendu d une discussion publique entre l auteur et un ministre, pour chapitre préliminaire
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Le protestantisme jugé et condamné par les protestants [microforme] : avec le double compte-rendu d'une discussion publique entre l'auteur et un ministre, pour chapitre préliminaire

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^ LE PROTESTANTISME JUGE ET CONDAMNÉ PAR LES PROTESTANTS AVEC LE DOUBLE COMPTE-RENDU d'uNE DISCUSSION PUBLIQUE ENTRE l'auteur ET UN MINISTRE, POUR CHAPITRE PRELIMINAIRE Diligite h'tmtnfs, interjette errore». St. Augustin. Trnitc^e h son vrai point de vue. cette question n'est propre à exciter lo scuuilale, ni à réveiller les haines. Vi.NKT, Pasteur à Lausanne. Ou .Ti^sus-riirist n'a pn^ orffanitit^ d'Eglise. ()u l'EKline catholique e»t celle qu'il a Dminiséo. Navilmc, Pasteur à Gcn»^ve. Un aveu en notre faveur de la part de notre adversaire ect la meillouro preuve de lu justice de notre enuyo. VlKXMAXX. Jpprouvé et recommandé par Mgr, VEvêquc d'Ottawa. PAR L'ABBÉ C. GUILLAUME MONTRÉAL: IMPRIMÉ PAR GEORQE E. DESBARATS. 1870 \ k Canada, on l'ann.'oparlomont duà l'ivctc duconform(«racntExEKaiSTRfc, E. DESBARATS,parOKORQB8oîxanto-dix.^ïhuU cent l'Agrioulture.Ministre debureau dudans le .«A GILVNDEUR MONSEIGNEUR JUS. EUGENE GUIGUES, EVEC^UE D'O'ITAWA. MONSEIOXEUR, con-liO tiMvail (luo j'ai intitul'' : L5oigneui', aim';, si vénéré parmi nos con-Votre nom, si citoyens croyance autant que chez nos population!*d'autre catholiques, descendra sur mon fail>lo ouvrage avec une abon- dance lus vivement encore tout ce (juc je vous devrai après Dieu, Monseigneur, du succès de mon entre- prise, et ce sentiment ne sera qu'un doux souvenir do plus ajouté à celui de tous vos autres bienfaits. Au reste, Monseigneur, eu ni'impo>!ant ce travail, j'aurai donné à.

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Langue Français
Poids de l'ouvrage 27 Mo

Extrait

^
LE
PROTESTANTISME
JUGE ET CONDAMNÉ
PAR LES
PROTESTANTS
AVEC LE DOUBLE COMPTE-RENDU d'uNE DISCUSSION PUBLIQUE
ENTRE l'auteur ET UN MINISTRE, POUR CHAPITRE
PRELIMINAIRE
Diligite h'tmtnfs, interjette errore».
St. Augustin.
Trnitc^e h son vrai point de vue.
cette question n'est propre à
exciter lo scuuilale, ni à réveiller
les haines.
Vi.NKT, Pasteur à Lausanne.
Ou .Ti^sus-riirist n'a pn^ orffanitit^
d'Eglise. ()u l'EKline catholique e»t
celle qu'il a Dminiséo.
Navilmc, Pasteur à Gcn»^ve.
Un aveu en notre faveur de la
part de notre adversaire ect la
meillouro preuve de lu justice de
notre enuyo.
VlKXMAXX.
Jpprouvé et recommandé par Mgr, VEvêquc d'Ottawa.
PAR L'ABBÉ C. GUILLAUME
MONTRÉAL:
IMPRIMÉ PAR GEORQE E. DESBARATS.
1870\
k
Canada, on l'ann.'oparlomont duà l'ivctc duconform(«racntExEKaiSTRfc,
E. DESBARATS,parOKORQB8oîxanto-dix.^ïhuU cent
l'Agrioulture.Ministre debureau dudans le.«A GILVNDEUR
MONSEIGNEUR JUS. EUGENE GUIGUES,
EVEC^UE D'O'ITAWA.
MONSEIOXEUR,
con-liO tiMvail (luo j'ai intitul'' : L<: l'ioUataïUinmc jugé et
sousdamné par les J'roleslanta, devait nitiirellement i^araitre
les auspices de l'un de noi premiers Pasteurs, cliargés de l'ins-
truotiou relifiicuso et du gouverncniont spirituel des peuples
coiifiéH à soUii-itudo. lesleur Si je n'avais consi<léré que
luinicM-os ot les vertus si éminentes notre Episcopat cana-de
dien, je n'aurais éprouvé que la difficulté du clioix pour la
livre. reconnaissance couimo lesdédicace do mon 3Iais la
autres sentiments rie mon Ofcur m'en ont ûté la liberté en mo
di'signint Votre (îrandeur d'uïio manière toute spéciale.
Mon>5oigneui', aim';, si vénéré parmi nos con-Votre nom, si
citoyens croyance autant que chez nos population!*d'autre
catholiques, descendra sur mon fail>lo ouvrage avec une abon-
dance <lo l)énédictions célestes. Il l'accompagnera jusqu'au
sein des familles, le leur rocommau«lera, lirele leur fora et
goûter, lui fera j)roduiro plus sûrement le bien dans les ûmes.
Un seul Protestant converti, un seul Catholi<iuo chancelant
nolile récompense Sifortifié, quelle ! elle peut m'êtro accordée,
elle me fera sentir ]>lus vivement encore tout ce (juc je vous
devrai après Dieu, Monseigneur, du succès de mon entre-
prise, et ce sentiment ne sera qu'un doux souvenir do plus
ajouté à celui de tous vos autres bienfaits.
Au reste, Monseigneur, eu ni'impo>!ant ce travail, j'aurai
donné à. Votre (îrandeur une prouve de mon obéissance res-
pectueuse borne?et du dévouement sans avec lesquels jeveux
toujours être,
Do Voti'ô Grandeur,
Le très-humble et très-obéissant serviteur,
L'AnnÉ C. GUILLAUME.1APrilOJîATIONS.
Miséricorde DivineJoseph Eugèno (iuiguos, p:ir lu et Is»
(lu Saint-Siège Apostolique, Ilvêque d'Ottawa.(Jrâco
Nous iivon-* fiiit examiner par des honunes compétents
('.Ilévéren<l (Juillaume,l'ouvrage du intitulé : Le l'rotestan-
et condanmé jjarles Protestants. A])rés examentismcjugé un
sérieux, ils se sont accordés pour rendre liommage à la Ibrco
des citationsdes preuves, à rà-i>ropos et enlin à l'esprit do
ménageant les personnes, n«; flétrit (juo les erreurs,charité qui,
donnent à ce livre le mérite de l'actualité. Nous savonset
bien dos(jue cet ouvrage a exigé recherches et qu'il est le
veilles d'un travail persévérant.t'iuit de longues et Nous
sommes donc heureux de pouvoir lui «lonner notre ajjinobation
et notre recommandation. Les catholiques en le lisant s'all'or-
miront dans leur foi, et les Protestants qui le liront aussi avec
réflection, voyant avec surprise leurs erreurs con<lamnées par
Protestants eux-mêmes, abandonneront une religionles qui ne
leur offrira plus l'assm-ance do sauver leur âme en suivant .«es
enseignements.
Donné à Ottawa le G octobre H70.
JOS. EUOENE, EV. D'OTTAWA.*i*PRÉFACE.
n'est point une prétention d'autour (jui nous a ongjig<'*Ce
livrons aujourd'huidans la composition de l'ouvrage que notin
catholique et protestant, l'n si heau titre nous leau public
laissons pour ceux à qui il est <lû bien mieux (ju'à nous, jmur
compilationne réclamer que le mérite <le la et de l'ortlre
matières, »i il a dans un travail de ce genre.donné aux y
Nous sommes pas auteur, tant s'en faut. Il a fallu dos cirne
fait j)articuliéres que nous ne pouvionsconstances tout à et en
contrôler, nous déterminer à mettre au joiu'aucune façon i>our
études sur le Protestantisme, entreprises depuis des annéesces
devoirs et l'instructionpour la satisfaction de n«>« du peuple
est confié.qui nous
Pouripioi les Raymond, le.? Uontleau, les Vuargneau, les
Desislets et les Duclos u'ont-ils pas laissé nos catholiques pro-
confiance la Religion de leurs pères,fesser en paix et la belle
Religion c.atholi«iue, apostolique et romaine qu'ap-et sainte
portèrent les Jacques Cartier, les Cliamplain, les Brebœuf et
lorsqu'ils nom deles Lallemand, vinrent, au la France, prendre
possession du Canada? Mais, le trotipeau attaqué, c'est le
devoir tlu pasteur de courir à sa <léfense, de donner mémo sa
nécessaire.vie, s'il était Loin de nous cependant était la
nos luttes de pasteur {lour sauverpensée que de la séduction
quelques-unesde noschère ouailles, vaudraient la peine d'occu-
per un instant seulement l'attention du public, et, dans cette
n'avions jamais songéconviction, nous à rien publier sur ces
luttes. Nos paroissiens en avaient été les témoins ils en con-
;
naissaient le résultat : ils jugé les mercenaires ils;
K'étaient de défiancearmés ; notre foi n'avait plus à souffrir
;
notre troupeau étaithors de danger.
Aucun do ces évangélistes nouvellement imjtrovisés n'avait
cru avoir assez bien fait ressortir les avantages do sa doctrine
•<le fraîche date, pour devoir entonner par écrit l'hymne de laVIII
victf'i:o. l'ii t*^l ^ill*llt•<» de la |iar» «le i»ai cilles p'ns avait bien
quelle vertusii sipiiticitioi) ! N<>us vn étions là, no Miohant
admirer le plus «'liez les mi.s.«ionnaire8, ou «le leur niodostio, ou
«le leur Iraneliiso. T«>lle n'a |»af« été la manières do voir de M.
Moins nousDuelos. niod«vste, moins frsine, et, il fait pcîno
d'avoir ;> 1«' «-«Mistat^T. |»:vs plus simi «le la vérité, il s'est eru
1«>ol»li<îé «le i'oin]>ri> silenee ou «!«' i>ennettre <|U*uu autro l'ail
|H»ur afin «!•• {tultlicroin|>u lui. donner au Protestant et Catlio-
«les preuves «''craitautes «le'sa forecjle véritt», de logiqueîinu«'
et «rargunientation. 11 famir.i «lonc nous ivsigner et luiy
sapanlonner ehaiitableinent. N'avait-il pas à pallier déconfi-
p-iuvre h'diitant. métlK^liste ou baptiste,ture auxyux «l'un
nous ne savons, et peut-être lui-même pas plus que nous, nou-
vellement arrivé d.uis notre i>arf>issc ?
sans\Ai titre que M. Duelos «lonne à son ouvre l'M préten-
ministre et curé^tion en apparence : l're entrevue entre un un
ou compte-rendu «l'une petite discussion, etc. >fais il ne lui
i-appelle pas moins une ru«le é«"liauffourée qui «loit s'ajouter nu
catalogue «le toute» celle>! que. «K'jji auparavant, avait subies
nouvel Evangile. Quant à Duelos lui-même, il s'y est «"ési-le M.
gné avec une patienee et un savoir-faire adminibles. f)r, la
pcrfei-tion ne s'ac«iuiert pas dans un .<oul jour et tout le
;
pasinonde .se «lisait instinctivement : ce n'est la première fois
confusion•|ue pareille lui arrive.
<^'e le Ministre, jaiisque Ministre il faut voirM. en M. Duelos,
eût il ginl'» le silence, nous ne demandions pas à le rompre,
nous aurions même un peu es|>éré pour sji conversion. Mais il
fairea voulu «le la publicité, nous noas sommes résigné à le
suivre «lans la voie «le la publicité.
En<*ore une fiiis nous ne sominos pa.- auteur ! Ce iléfaut nous
«lonc «lèsfait un devoir, ce moment, «ie réclamer la jdus grande
in«lulgeni'ede la part de nos lecteurs. Noa-î croyons d'ailleurs
la mériter à plusieurs titres que noiu» «levons leur soumettre à
l'instant.
écrivain protestant,Un ministre à I^iuzanne, &#

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