LE ROMAN D’AMOUR INVENTÈ DANS LE BUT D’ASSERVIR L’HUMANITÈ PAR LES RELATIONS AMOUREUSES Robbin Koefoed Exploitant la nature pcheresse des humains, la ligne satanique mrovingienne fabriqua les sentiments romantiques en faisant croire au public que les dsirs taient bass sur de l’amour vritable. Le but cach tait d’asservir l’humanit grce Ā une obsession relationnelle, pigeant le monde occidental tout entier dans l’idoltrie par une adoration du sexe oppos. Les personnages mrovingiens inclus dans cet article : – Guillaume IX, duc d’Aquitaine (grand-pre d’Èlonore d’Aquitaine), – Èlonore d’Aquitaine (petite-fille de Guillaume IX), – Marie de Champagne (fille d’Èlonore d’Aquitaine). Anne 1113 : Guillaume IX, duc d’Aquitaine, un seigneur fodal mrovingien, commence soudainement Ā composer des chansons et des pomes encourageant les liaisons sexuelles tout en renversant les rÔles masculins et fminins, donnant ainsi le pouvoir aux femmes. Le professeur Reto Bezzola crit : TITRE PAIR « Une conception toute nouvelle de la femme et de non seulement pour le comte de Poitou, mais pour le Auteur l’amour, nouvelle 1 monde entier » . William Reddy, professeur d’Histoire Ā l’Universit de Duke, ajoute : « . . . Il est le compositeur le plus anciennement connu de chansons dcrivant les caractristiques typiques de l’amour courtois.
LE ROMAN D’AMOUR INVENTÈ DANS LE BUT D’ASSERVIR L’HUMANITÈ PAR LES RELATIONS AMOUREUSES
Robbin Koefoed
Exploitant la nature pcheresse des humains, la ligne satanique mrovingienne fabriqua les sentiments romantiques en faisant croire au public que les dsirs taient bass sur de l’amour vritable.
Le but cach tait d’asservir l’humanit grce Ā une obsession relationnelle, pi-geant le monde occidental tout entier dans l’idoltrie par une adoration du sexe oppos.
Les personnages mrovingiens inclus dans cet article :
– Guillaume IX, duc d’Aquitaine (grand-pre d’Èlonore d’Aquitaine), – Èlonore d’Aquitaine (petite-fille de Guillaume IX), – Marie de Champagne (fille d’Èlonore d’Aquitaine).
Anne 1113 : Guillaume IX, duc d’Aquitaine, un seigneur fodal mrovingien, commence soudainement Ā composer des chansons et des pomes encourageant les liaisons sexuelles tout en renversant les rÔles masculins et fminins, donnant ainsi le pouvoir aux femmes.
Le professeur Reto Bezzola crit :
TITRE PAIR
« Une conception toute nouvelle de la femme et de non seulement pour le comte de Poitou, mais pour le
Auteur
l’amour, nouvelle 1 monde entier » .
William Reddy, professeur d’Histoire Ā l’Universit de Duke, ajoute :
« . . . Il est le compositeur le plus anciennement connu de chansons dcrivant les caractristiques typiques de l’amour courtois. Le genre des chansons de troubadours, et avec lui les lments de base de l’amour courtois, semble tre apparu d’un coup dans son esprit, prt Ā tre imit et labor par ses nombreux disciples enthousiastes ».
LB U T D E LE S R E L AT IO N S A M O U R E U S E S C O M M E ’E X IS T E N C E
Guillaume IX, duc d’Aquitaine, tait l’homme le plus puissant et le plus riche de France. Il possdait plus de terres que le roi et ne rendait pas hommage Ā ce dernier alors mme que c’tait exig par la loi.
En renversant les rÔles masculins et fminins, une culture entirement nouvelle, base sur un mode de vie ax sur la recherche d’un partenaire, pouvait merger. Les femmes se virent accorder le pouvoir de donner, de rejeter et de se dbarrasser de l’ « amour » par la seule autorit de leur beaut.
« . . .Si ma Dame souhaite me donner son amour, Je suis prt À le recevoir et À en tre reconnaissant,. . . » — Extrait d’un pome de Guillaume IX.
Des troubadours et des chanteurs furent envoys dans les cits afin d’y rpandre l’idal invent de l’amour courtois, au moyen de pomes, de chansons et de rcits. Reprant une jolie femme, ils sautaient, dansaient et chantaient leurs chansons tout en louant sa beaut. 1. Bezzola,Les origines, Part II, 2 : 274.
2
L’attitude gnrale envers les femmes changea drastiquement. á e sicle et jusqu’au 15 , le statut des femmes dans la socit grimpa nanc par l’tablissement aristocratique, l’idal de l’amour courtois IX devint la racine fondatrice de la description future des femmes dans la littrature occidentale.
TITRE IMPAIR
e partir du 12 en flche. Fi-de Guillaume et de l’amour
Citons de nouveau William Reddy, le professeur d’Histoire de l’Universit de Duke :
« Certains aristocrates du douzime sicle, ainsi que leurs imitateurs, insistaient sur le fait que les associations sexuelles devenaient une source d’amlioration morale et de joie transcendante lorsqu’elles tai-ent fondes sur du “vrai amour” (fin amors). Les rudits se rfrent Ā cet idal mdival defin amorspar l’expression “amour courtois”. Il existe un agrment gnral sur le fait que la vision positive du dou-zime sicle sur les relations sexuelles tait quelque chose d’entire-ment nouveau dans la littrature occidentale et que de telles visions 2 positives sont restes dans nos esprits depuis lors ».
CLR È E R ’DIL LU S IO N ’U N E IDY L L E
La stratgie mrovingienne cache se poursuivit dans le cadre d’un contrÔle de la famille. Vers l’an 1186, Marie de Champagne (fille d’Elonore d’Aquitaine) or-donna Ā son prtre Andreas Capellanus d’crire un manuel de sduction,De arte honeste amandide l’amour courtois »), qui clarifiait la comprhension de(« l’art l’idal de l’amour courtois pour les futurs potes et troubadours.
L’un des lments cls de la stratgie tait de convaincre le public que les dsirs lubriques taient lgitimes. En transformant la lubricit en amour par une redfi-nition de ce mot « amour », le public ne pourrait pas blmer ou tre blm d’avoir t corrompu par ses dsirs sexuels.
2.The Making of Romantic Love : Longing and Sexuality in Europe, South Asia, and Japan, 900-1200 CE(Chicago Studies in Practices of Meaning) (p. 41).
3
TITRE PAIR
Auteur
«L’amour est une certaine souffrance innÉe privÉe de la vision et de la mÉditation excessive sur la beautÉ du sexe opposÉ, qui fait que chacun dÉsire par-dessus tout l’Étreinte de l’autre» — L’art de l’amour courtois.
La dfinition mrovingienne trompeuse de l’amour fut injecte dans les pomes, les rcits et les chansons par une arme de littrateurs mles et femelles salaris entranant ainsi un public inconscient du contrÔle opr dans les coulisses. William Reddy fournit dans son livreThe Making of Romantic Loveun aperÇu de l’agenda subversif et fait une analyse en profondeur de nombreux crits trouvs dans les e pomes et dans la littrature de la France du 12 sicle.
« Ils [les troubadours] admettaient volontiers ressentir du dsir. Mais ils niaient que le dsir ait le moindre empire sur leur volont. De mme, ils insistaient sur le fait que leur partenaire spirituellement exalt tait capable d’treintes sexuelles trs relles. La subordination du dsir Ā l’amour vritable rendait la relation sexuelle innocente. Des tests h-roques, tel que souffrir en silence, pouvaient prouver l’authenticit de l’amour d’une personne. [. . .] Quel que soit le rang de la dame, les troubadours la trouvaient digne de leur soumission et de leur obis-sance fodales en raison de sa beaut, de sa grce, de sa courtoisie, de son regard hypnotique et de ses sourires enjÔleurs. Ils se languissaient 3 de pouvoir treindre son corps dodu et sa peau douce ».
DS A L L E D E DD E S P R E U V E S IS PA R IT IO N ’D È M O N T R A N T AU D IE N C E U N P L A N S E C R E T
Les historiens populaires nient l’existence de preuves dmontrant que la direction mrovingienne utilisa le systme juridique afin de pousser plus avant l’implmen-tation des nouvelles normes sexuelles au moyen de tribunaux judiciaires (« Tribu-naux d’amour »).
Selon certaines sources, vait coordonner de tels aurait continu jusqu’au
la petite-fille de Guillaume IX, Èlonore d’Aquitaine, de-tribunaux. Ce mcanisme de contrÔle culturel juridique e 15 sicle.
Guillaume IX, duc d’Aquitaine, avec son arme de troubadours, portent tmoi-gnage de l’existence de telles audiences Ā travers leurs propres crits.
L’historien Jean de Nostredame (1522–1576/7) dclare qu’il existe de la documen-tation sur l’existence de tels tribunaux. Il liste trois sources comme preuves, mais aucune n’a survcu. Les historiens du dix-neuvime sicle s’accordaient largement sur l’existence effective de tribunaux spciaux, connus sous le nom de « tribunaux d’amour ». 3.The Making of Romantic Love : Longing and Sexuality in Europe, South Asia, and Japan, 900-1200 CE(Chicago Studies in Practices of Meaning) (p. 159).
4
LD E T R AT È G IE LA S ’ID È A L IS AT IO N D E C O N T IN U EL A F E M M E
TITRE IMPAIR
Auguste Comte, dans son livre intitulSystÈme de politique positive, souligne les lments d’ensemble d’un plan futuriste pour l’humanit : « L’objet de notre philosophie est de diriger la rorganisation spirituelle du monde civilis. [. . .] Nous pouvons commencer directement Ā btir ce systme moral sous lequel la rgnration finale de l’humanit se 4 poursuivra ». Il continue : « En substituant des desses aux dieux, nous sanctionnons la prmi-5 nence lgitime des femmes . . . », « En un mot, la nouvelle doctrine instituera l’adoration de la femme, publiquement comme en priv, d’une manire bien plus parfaite que 6 cela n’a jamais t rendu possible auparavant » Un document secret de John Robison, qui connut Adam Weishaupt, le fondateur le l’ordre des Illuminati financ par les Rothschild, rvle les penses caches des lites mondiales : « Il n’existe aucun moyen plus puissant d’influencer les hommes qu’au moyen des femmes. Elles devraient donc constituer notre tude princi-pale. Nous devons nous insinuer dans leur bonne opinion, leur fournir des astuces pour leur mancipation de la tyrannie de l’opinion publique et pour qu’elles ne comptent que sur elles-mmes. Ce serait lĀ un im-mense soulagement, pour leur esprit asservi, que d’tre libr de toute contrainte ; cela les enflammerait d’autant plus et les ferait travailler pour nous avec zle, sans qu’elles soient conscientes de ce qu’elles font, car elles ne feraient que se soumettre Ā leur propre dsir d’admiration 7 personnelle ».
4.SystÈme de politique positive, Auguste Comte, pages 35–36. 5.SystÈme de politique positive, Auguste Comte, vol. 4, page 446. 6.SystÈme de politique positive, Auguste Comte, vol. 1, page 205. 7.Proofs of a Conspiracy, par John Robison, 1798, page 109.
5
TITRE PAIR
CO N C LU S IO N
Auteur
OÙ que nous allions, nous sommes bombards avec des chansons provenant de l’industrie musicale voulant nous rendre obsds par les relations amoureuses. Des titres comme « Tu es mon rayon de soleil », « Je ne peux vivre sans toi » ou « Je ne dsire que toi », vendus avec des rythmes prenants sont partout sur les radios et Ā la tlvision.
L’internet voit fleurir des sites de rencontres ainsi que des articles nous expliquant comment draguer, dpeignant l’amour comme quelque marchandise ou comme une chose que l’on trouve dans des soires. Les coles sont des plates-formes desti-nes aux enfants possdant assez de sagesse pour former des relations amoureuses qui les prpareront Ā une vie de recherche de partenaires sexuels.
Un culte total du sexe oppos a envahi tout, dguis comme tant de l’amour. Les statistiques de divorce confirment les conclusions de l’article : la vaste majorit des relations entre hommes et femmes n’ont rien Ā voir avec de l’amour rel mais ne sont qu’une construction de circonstances culturelles institutionnalises.
Les dirigeants du monde veulent piger les masses dans un tat d’idoltrie en faisant de la recherche d’un partenaire le but principal de l’existence, et ils ont invent le romantisme dans ce seul but.
LE X P O S A N T IV R E S L’LD E IN V E N T IO N ’R O M A N T IQ U EA M O U R
–The Making of Romantic Love : Longing and Sexuality in Europe, South Asia and Japan, 900–1200 CEpar Reddy, William M., professeur d’Histoire Ā l’Universit de Duke,