Les oeuvres de Nicolas Struyck, 1687-1769, qui se rapportent au calcul des chances, à la statistique générale, à la statistique des décès et aux rentes viagères tirées des oeuvres complètes et raduites du hollandais par J.A. Vollgraff, et offertes aux membres du septième congrUes international d actuaires, réunis à Amsterdam en septembre 1912 par la Société générale néerlandaise d assurances sur la vie et de rentes viagères
450 pages
Français

Les oeuvres de Nicolas Struyck, 1687-1769, qui se rapportent au calcul des chances, à la statistique générale, à la statistique des décès et aux rentes viagères tirées des oeuvres complètes et raduites du hollandais par J.A. Vollgraff, et offertes aux membres du septième congrUes international d'actuaires, réunis à Amsterdam en septembre 1912 par la Société générale néerlandaise d'assurances sur la vie et de rentes viagères

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Langue Français
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^'-^•-^•-&-^»«A--H^»-^»-^»-^--/>-.-^.-^--Ç-..^i/(yj-^^\oUcc^CC^LES OEUVRES
DE
NICOLAS STRUYCK
(1687—1769)
QUI SE RAPPORTENT AU CALCUL DES CHANTES, À LA
STATISTIQUE GÉNÉRALE. À LA STATISTIQUE
DES DÉCÈS ET AUX RENTES VIAGERES. TIREES DES
ŒUVRES COMPLÈTES
ET
TRADUITES DU HOLLANDAIS
PAR
A. VOLLGRAFF
J.
DOCTEUR £5 SCIESCE5
SEPTIEME CONGRES INTERNATIONALOFFERTES AUX MEMBRE.S DU
D'ACTUAIRES. RÉUNIS À A^LSTERDAM EN SEPTEMBRE 1912
LA SOCIETE GENERALE NÉERLANDAISE D'ASSURANCES SUR
ETABLIELA VIE ET DE RENTES VIAGERES.
DAMRAKÀ AMSTERDAM. 74.
R D A MA M S T E
1912AVANT-PROPOS.
Dans les >>Mémoires pour servir à l'histoire des assurances sur la vie
et des rentes viagères*, offertes en par la Direction1898 de la »SociÉTii:
Générale Néerlandaise* aux membres du Deuxième Congrès Inter-
national d'Actuaires réunis à Londres, il est fait mention aux pages 85—99
de Nicolas Struyck et de ses oeuvres.
Lorsqu'il avait été décidé que le Septième Congrès International
d'Actuaires aurait lieu à Amsterdam et que la Direction de la Société
nommée avait formé le projet d'offrir de nouveau aux membres un livre
se rapportant à l'histoire de la science actuarielle en Hollande, elle me
posa dans ma qualité d'ancien membre de cette Direction et d'auteur de
la plus grande partie des »Mémoires« mentionnées plus haut, la question
de savoir quel ouvrage ayant trait à l'histoire de notre profession en
Hollande intéresserait suffisamment les étrangers pour former le contenu
de ce livre. Sans aucune hésitation je lui ai conseillé de choisir une
traduction française des oeuvres de Nicolas Struvck qui se rapportent
au calcul des chances, à la statistique générale, à la statistique des décès
et aux rentes viagères.
trouvai* dans la personne de M. A. Vollgraff à Leyde unJe
J.
traducteur connaissant langues et possédant en outre lesbien les deux
connaissances nécessaires. Les lecteurs du livre serontmathématiques
la traduction n'aurait pas pusans doute d'accord avec moi pour dire que
remercier sincèrementavoir été mieux faite. saisis cette occasion pourJe
travail.M. Vollgraff de la façon heureuse dont il s'est acquitté de son
et de nosme suis adressé à quelques-uns de nos géographesJe
lesastronomes les exhorter à faire traduire en françaisdans le but de
Struvck. sur des sujets de géographie ttouvrages si remarquables de
même format que cette tratiuction-ci.d'astronomie, et tle les publier dans le
qui ont encore aujourd'luiiCe sont surtout ses études sur les comètes
travaux de SrRUVCK neune certaine importance. Il est vrai que les
circonstance que, malgréà l'étranger, mais lasont pas restés inconnus
de rares exceptionsservait toujours, àses connaissances linguistiques, il se
pour laquelle sesest devenue la causeprès, de la langue hollandaise,
qu'ils mériiaiiMit.toute l'attentiontravaux n'ont pas attiré à l'étranger
on reconnaiss.iit,couronnés tle succès;Toutefois mes efforts n'ont pas été
les Sociétés quientreprise, maisil est vrai, l'importance d'une telle
travaux analoguL-sencombrées dopourraient s'en charger étaient déjà si
plais espérerdéfaut. me àleur faisaient Jeque l'argent et le temps
stériles.exhortations ne resteront pas toujoursque mesPour satisfaire ceux qui ne possèdent pas les »Mémoires« nommées je
répéterai ici ce que je suis parvenu à savoir sur la personne de
Struyck.Nicolas
Amsterdam le Il paraît qu'il n'existe aucuneIl naquit à 19 mai 1687.
vie. Il nous faut 4onc nous contenter des rares renseig-esquisse de sa
trouver, par-ci, par-là, au cours nosnements que nous avons pu de loisirs
assez restreints. C'est grâce à lui-même que nous savons que son père
avait également nom Nicolaas et que sa mère s'appelait Geertruv
VVÈSDORP. Il réussit à faire remonter la famille de sa mère jusqu'en
mais il ne connaissait pas celle de son père, par suite de la1547,
perte de »quelques papiers*; pourtant on trouve déjà son nom en 1482.
grand-père, également nommé Nicolaas, était marchand de soieries.Son
du livre des bourgeois d'Amsterdam que Nicolaas avaitIl ressort été
comme Amsterdammois de naissance, le octobreimmatriculé, 7 1724.
nommé »orfèvre« lui estSon père est et désigné comme étanty
»mathesius« ce qui veut dire, sans doute, que le jeune Nicolaas étudiait
les mathématiques. Probablement le père aura été un bourgeois cossu,
car les connaissances étendues en matière de sciences naturelles, en
temps que les connaissances dans le domaine des langues classi-même
et de l'histoire, qui transpirent à chaque page des écrits du fils,ques
celui-ci avait reçu une excellente éducation. En bas âge,prouvent que
dispositions étonnantes pour les mathématiques,il montrait déjà des et
rattachent. Arrivé à un avancé, iltoutes les sciences qui s'y âge plus
de mathématiquess'exerçait à donner des leçons il donnait également
;
^)des leçons de cosmographie, d'astronomie et de comptabilité. Il exerçait
ces fonctions d'une façon méritoire, jusqu'au moment de sa mort, et
pourtant ses études et ses nombreuses occupations doivent lui avoir
coûté beaucoup de temps. Struyck était célibataire et n'appartenait pas
à l'église reformée; il était probablement anabaptiste.
En à Amsterdam, le mai il laissa, comme il ressortmourant, 15 1769,
entre collatéraux d'Amsterdam entredu registre de succession p. 249,
maisons ayant ensemble une valeurautres, à des arrière-neveux, 4 de
florins 21,200.
moinsIl jouissait donc alors d'une certaine aisance, du pour
Royalecette époque. Comme il était membre de la Société de
Londres et de l'Académie Royale de Paris, et qu'il était en correspon-
dance avec un grand nombre de personnages célèbres en Angleterre, en
France et en Allemagne, nous pouvons présumer qu'il a fait de temps en
temps des voyages, quoique nous n'en trouvions aucune mention, ni dans
ses écrits, ni ailleurs. Nous relevons parmi ses correspondants lesnoms du
professeur G. de l'Isle, de Paris, du professeur S. KoenUt, de Franeker,
la commune d'Amsterdam, a IVibli-^) Feu Mr. N. de Roever, archiviste de eu
geance curiosité, note écrite parde me montrer, à titre de une et acquittée
leçonsN. Struyck en Il réclame un cachet de florins pour un mois de1735. 5
de comptabilité, l'encre, 6 sous pour le feu.sous pour la chandelle, les plumes et et9

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