:(T> ÏOO Ventilabis eos éventas tolleî M ^$Été&U~0M v immmtm^m /\AAkj QA^VaA AA/vAn fôHWfl ffi$™^ : AAAr »* AaAaA^ AAAA"AÀÀa \aAAma ^aâty/s A aVS \Pv. 'AnAa C&rtëifMiï V-W'W/NHA\ ma rnîMmmi^Hr\fcfc AAAAA^AAhO^AAA? aAaAAaAA mrw V %_ 1? JWfll ..••• Hiiiiii miifin»•"• iihh:ihm»iiiMPilaiiMHi Texte et Dessins naïfs ame™ DU CONSUL iivif;R.ari]i!iiiiîtfi»M h'IMIlll 1 VE IV Kl- mmm ***** THÉÂTRENOUVEAU DES PUPAZZI 1 OUVRAGES DI I. Pupazzi (i&t,t md in-18 jésus, illustré par l'auteur. Dentu, éditeur. — 2°>*Paris Pantin (1868). série de .^and in-18 jésus illustré par 1 v éditeurs. (Kpuisé.) Le Théâtre di avec 18 eaux- tes de Pupazzi di olume petitLes in-4», illustré \ :cur. Contes dfLes in-4 illustré par depetit B. ntaut, Geoffroy, Kauffmam. ;nonolo£ues, scènes et saynètes. I fort volume in-i .eur. qutLjues txtmpl :// a été tiré : v« ; —iin ! Je Yaprc Comm CI« Parle, — S :J'ai ne il fau: Qui bouleversent tout, afin de Du troub' ur la lih Qu'ils nt qu'uni Leur donnait le pouvoir CICI Parle! C ROS( qu'ils sont ar: Qu'ils ont réalisé tous leurs espo: SCÈNE IV 13 Qu'ils temps, lesont,enmême honneurs, la fortune, —Ces héros ne sont plus héros qu'à la tribune. Ne leur demandez pas de marcher au combat : Au moindre bruit de guerre on sent leur cœur qui bat ! On les eût vus jadis partir pleins de vaillance, —Alors qu'ils n'étaient rien. Maintenant la prudence Semble avoir remplacé leur primitive ardeur : C'est théoriquement qu'ils ont de la valeur ! CICÉRON —Ah! je me reconnais !
*Paris Pantin (1868). série de .^and in-18 jésus illustré par 1 v éditeurs. (Kpuisé.) Le Théâtre di avec 18 eaux- tes de Pupazzi di olume petitLes in-4», illustré \ :cur. Contes dfLes in-4 illustré par depetit B. ntaut, Geoffroy, Kauffmam. ;nonolo£ues, scènes et saynètes. I fort volume in-i .eur. qutLjues txtmpl :// a été tiré : v« ; —iin ! Je Yaprc Comm CI« Parle, — S :J'ai ne il fau: Qui bouleversent tout, afin de Du troub' ur la lih Qu'ils nt qu'uni Leur donnait le pouvoir CICI Parle! C ROS( qu'ils sont ar: Qu'ils ont réalisé tous leurs espo: SCÈNE IV 13 Qu'ils temps, lesont,enmême honneurs, la fortune, —Ces héros ne sont plus héros qu'à la tribune. Ne leur demandez pas de marcher au combat : Au moindre bruit de guerre on sent leur cœur qui bat ! On les eût vus jadis partir pleins de vaillance, —Alors qu'ils n'étaient rien. Maintenant la prudence Semble avoir remplacé leur primitive ardeur : C'est théoriquement qu'ils ont de la valeur ! CICÉRON —Ah! je me reconnais !" />
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