Nouvelles lettres et opuscules inédits de Leibniz
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:> NOUVELLES LETTRES ET OPUSCULES i'- ISEDITS LEIBNIZ.DE i TYI'OGUAPUIE URNNUYER, HUE DU BOULEVAliD, 7, BaTIGNOLLES. extérieur de Paris.)(ISuu)evard ^^NOUVELLES LETTRES «4 ET OPUSCULES INEDITS DE LEIBNIZ y r PRECEDES D UNE INTRODUCTION 1»A« A. FOUCIIER DE CAREIL LKTTHES Sl'R HESCAIITES ÏT r.F. CAtlTtSlANlSVr. LFIKXIZ PLATONISAM, OU LK PHRDON FT LE TIlÉÉTÈTli TUADriTS. H^LA^GES. nEMAnilf-S suit -WElGEl. rnAGMENT SI n LA LIKEnit. — LETTHES A II0B1;E'! APii'Nuirs coMtrïA^r les lettres a arnadld et a eardell». SA vu; ET SON POniRilT PAR IDI-MibtB. PARIS AUGUSTE DURAND, LIBRAIRE, RUE DES C.RES, T, 1857 ? wm ?-? ^ -J^f^ Ni PRÉFACE. lun de ses cor-Leibniz, déjà vieux, écrivait à nisi editis novit, non novil.lespondanls : Qui menon « que par ce qu'on a pu-Celui qui ne me connaît pas. » Ces paroles fontblié de moi ne me « j'ai donnéréfléchir. Leibniz disant : Ce que au )^public n'est rien auprès de ce qui reste, semblait Hannover,montrer du doigt la bibliothèque de à partie son œuvre,laquelle il a légué cette de comme le lieu d'où sortirait la lumière sur ses écrits. On pourrait voir dans ces paroles un sens caché, sur-et l'Allemagne nous réservait cette nouvelle prise : M. Kuno Fisher, auteur d'une publication récente et très-étendue sur Leibniz, croit avoir re- trouvé sa doctrine secrète.

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NOUVELLES LETTRES ET OPUSCULES
i'-
ISEDITS
LEIBNIZ.DEi
TYI'OGUAPUIE URNNUYER, HUE DU BOULEVAliD, 7, BaTIGNOLLES.
extérieur de Paris.)(ISuu)evard^^NOUVELLES LETTRES
«4
ET
OPUSCULES
INEDITS
DE LEIBNIZ
y r
PRECEDES D UNE INTRODUCTION
1»A«
A. FOUCIIER DE CAREIL
LKTTHES Sl'R HESCAIITES ÏT r.F. CAtlTtSlANlSVr.
LFIKXIZ PLATONISAM, OU LK PHRDON FT LE TIlÉÉTÈTli TUADriTS.
H^LA^GES.
nEMAnilf-S suit -WElGEl. rnAGMENT SI n LA LIKEnit. — LETTHES A II0B1;E'!
APii'Nuirs coMtrïA^r les lettres a arnadld et a eardell».
SA vu; ET SON POniRilT PAR IDI-MibtB.
PARIS
AUGUSTE DURAND, LIBRAIRE, RUE DES C.RES, T,
1857
?wm
?-? ^ -J^f^Ni
PRÉFACE.
lun de ses cor-Leibniz, déjà vieux, écrivait à
nisi editis novit, non novil.lespondanls : Qui menon
« que par ce qu'on a pu-Celui qui ne me connaît
pas. » Ces paroles fontblié de moi ne me
« j'ai donnéréfléchir. Leibniz disant : Ce que au
)^public n'est rien auprès de ce qui reste, semblait
Hannover,montrer du doigt la bibliothèque de à
partie son œuvre,laquelle il a légué cette de
comme le lieu d'où sortirait la lumière sur ses
écrits.
On pourrait voir dans ces paroles un sens caché,
sur-et l'Allemagne nous réservait cette nouvelle
prise : M. Kuno Fisher, auteur d'une publication
récente et très-étendue sur Leibniz, croit avoir re-
trouvé sa doctrine secrète. Leibniz aurait eu, d'après
lui, une philosophie plus intime, plus profonde,
plus ésotérique enfin, à laquelle il fait parfois allu-
sion dans ses lettres, que Wolf, expositeur par trop
populaire système n'a point dontdu , connue, et
M. Fisher Essaisressaisit la trace dans les Nouveaux
sur l'entendement, ouvrage qui quecet ne vit le jour
soixante aprèsans la mort de son auteur.
J'ai à cetteété Hannover et je ne puis croire àM PHLFACE.
philosophie d'initiés. J'ai vu s'évanouir cette ombre
iniaii,inaire et tomber jusqu'aux derniers voiles de
la doctrine. A mesure que je pénétrais plus avant,
je voyais reparaître l'ordre et la proportion, la
formes grecques,beauté et l'eurhythmie des et
qui ne craint pascette grande et saine philosophie
la lumière.
de doctrine secrète;Non, Leibniz n'a point eu
s'il a refusé de donner à l'impression ses Nouveaux
Essais , c'est par un motif qui l'honore. Locke
plus l'époque où cet ouvrage, com-n'existait à
mencé vivant, fut prêt à jour. Lade son voir le
sans l'empêcha publier lamême raison doute de
de Spinoza, qui était aussi renferméeRéfutation
archives de Hannover, d'où nous l'avonsdans les
la Correspondance avec Arnauld, qui pour-tirée;
à bon droit passer pour le plus ésotérique derait
écrits, était promise aux libraires d'Amsterdam.ses
Mais Leibniz, pressé de produire, ne pouvait s'as-
treindre au rôle d'éditeur. Il aurait cru perdues
données àpour la philosophie les heures qu'il eût
gloire d'écrivain.sa
publication desIl est très-vrai cependant que la
marque une ère nouvelle pour sonNouveaux Essais
Lessing, Herder, Jacobi,système : c'est l'époque où
étudié pour le compareret Gœthe lui-môme, l'ont
Spinoza. La publicité donnée paravec celui de
a donc servi à faire connaîtreRaspe à ce document
véritable esprit de Leil)niz.et à répandre le

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