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Extrait

Du contrat socialou Principes du droit politiqueJean-Jacques Rousseau1762Éditions disponibles :1762 :        Édition originale Texte entier1772 : Édition avec une Lettre de l’Auteur au seul Ami qui lui reste dans le monde1782 : Collection complète des œuvres, tome 1 avec des variantes1896 : éd. Edmond Dreyfus-Brisac avec la première version (pp. 243-303)1903 : éd. Georges Beaulavon Texte entierTexte sans scans :Livre I | Livre II | Livre III | Livre IV | Texte entier, version imprimableDu contrat social : Édition 1762Jean-Jacques RousseauDu contract social ;ou,Principes du droit politiqueÉdition de 1762Texte entierDUCONTRACT SOCIAL ;DUCONTRACT SOCIAL ;OU,PRINCIPESDUDROIT POLITIQUE.Par J. J. ROUSSEAU,CITOYEN DE GENEVE.fœderis æquasDicamus leges.Æneid. XI
ITERSIVRESEIIIE  EE IVEI IITETT RRTH.ACIPCH.APIRRPI>>>>>>>>>>>>>>>>A AMSTERDAM,Chez MARC MICHEL REY.MDCCLXII.LLSIIPH.ACAVERTISSEMENT.Ce  traipté est eextrait d’uni ouvrtage plus étendu, entrepris autrefois sansavoir consulté mes forces, & abandonné depuis long-tems. Des divers morceauxqu’on pouvoit tirer de ce qui étoit fait, celui-ci est le plus considérable, & m’a paru lemoins indigne d’être offert au public. Le reste n’est déja plus.TABDES ET DECH.APLI.VROÙ LON RECHERCHE COMMENT LHOMME PASSE DE L’ETAT DE NATURE À LÉTAT CIVIL, &quelles sont les conditions essencielles du pacte.CH.API>>CH.APIRRRRRTTTIPH.ACIPH.ACTTPICH.AHA.CIII VEXI EE VE V IIEIV
E IE IEI  VEVI EIIII EIVIE VE VEXI VIE II EIXEX E XIIIIITETR R.APILI.VROù il est traité de la Législation.CH.API>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>CHCH.ACH.ALI.VOù il est traité des loix politiques, c’est-à-dire, de la forme du Gouvernement.CH.A>>>>>>>>>>>>CH.ACH.ARPIPIPIPIPIETTTTT RRRRRRIT.APCHRRRRRRRRTTTTTTRTIIIIIITTPPPPPIIIA..A.A.APPPP.AHHH.A.A.A.AHHCCHHHHCCCCCCCE IV EIII IEII EII
RRRTTTTTIIIIIPPPHHHHCCCCCCCC RETRRRRCRTTRRTCH.APITTCH.APICH.APICH.APICH.APIA.A.PPHA..AA.HHHHCCCCTTTTRRRRRRRRLI.VROù continuant de traiter des loix politiques on expose les moyens d’affermir la constitution de l’Etat.CH.API>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>HHHH.A.AA..A.A.A.AA.PPPPPPPPIIIIIIIITTTTEI I IIEE IIIV EE VVEX IIIIV EIIVE E VIVIIE IIE XEIX II EXE IX EE XVII EVXIIIVXIXVE X EIV
>>>>>>>CH.APICHA.PICH.APIDu contrat social : Édition 1762 : Texte entierJean-Jacques Rousseau : Du contrat social (Édition de 1762)DUCONTRACT SOCIAL ;DUCONTRACT SOCIAL ;OU,PRINCIPESDUDROIT POLITIQUE.Par J. J. ROUSSEAU,CITOYEN DE GENEVE.fœderis æquasDicamus leges.Æneid. XIA AMSTERDAM,Chez MARC MICHEL REY.MDCCLXII.AVERTISSEMENT.Ce  traipté est eextrait d’uni ouvrtage plus étendu, entrepris autrefois sansavoir consulté mes forces, & abandonné depuis long-tems. Des divers morceauxqu’on pouvoit tirer de ce qui étoit fait, celui-ci est le plus considérable, & m’a paru lemoins indigne d’être offert au public. Le reste n’est déja plus.TABTTTLRRREEEE   VVIIIXIII
IRTSEIVSREEI H.ARIPCLI.VROÙ LON RECHERCHE COMMENT LHOMME PASSE DE L’ETAT DE NATURE À LÉTAT CIVIL, &quelles sont les conditions essencielles du pacte.CH.API>>PIRRLI.VROù il est traité de la Législation.CH.APIRETCH.API RTTTRRR R>>>>>>>>>>>>>>>>H.ACCH.APITETH.APICH.APICH.APITTITRRTTPHA.CIH.APCCEI IIIIE VI EV EI VE EIVIE VIIIEXI II EIIIE III EE IV EIV EVTTTTRRRR>>>>>>>>>>DES ET DECH.APLSICH.APICH.APICH.APICH.API
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DUCONTRACT SOCIAL ;OU,PRINCIPESDU>>>>>>>>>>>>LI.VROù continuant de traiter des loix politiques on expose les moyens d’affermir la constitution de l’Etat.CH.API>>>>>>>>>>>>>>>>>>ET RRRRRRTCH.APCH.APPICHA.CH.ACH.APCH.APCH.APCH.APPCH.APICHA.PICHA.PICHA.PITTTTRRRRRRRCHA.PITTTTTTRTIIIIIITII EVEII III E EIXI EIII VEII VEIV EVE VIE XVIIIEX IVI EVIXEX IVE XV
DROIT POLITIQUE.LIVRE I.Je  chevrcher esi dansu lordrxe civil il peut y avoir quelque regle dadministration légitime & sûre, en prenant les hommes telsqu’ils sont, & les loix telles qu’elles peuvent être : Je tâcherai d’allier toujours dans cette recherche ce que le droit permet avec ce quel’intérêt prescrit, afin que la justice & l’utilité ne se trouvent point divisées.J ene matienre satns proruver leimportance de mon sujet. On me demandera si je suis prince ou législateur pour écrire sur laPolitique ? Je réponds que non, & que c’est pour cela que j’écris sur la Politique. Si j’étois prince ou législateur, je ne perdrois pasmon tems à dire ce qu’il faut faire ; je le ferois, ou je me tairois.Né  dun cEtat liibre, &t memobre du ysouverain, qnuelque foible influence que puisse avoir ma voix dans les affaires publiques,le droit d’y voter suffit pour m’imposer le devoir de m’en instruire. Heureux, toutes les fois que je médite sur les Gouvernemens, detrouver toujours dans mes recherches de nouvelles raisons d’aimer celui de mon pays !CHAPITRE I.Sujet de ce premier Livre.Lh eost né libmre, & pmar-toute il est dans les fers. Tel se croit le maître des autres, qui ne laisse pas dêtre plus esclave queux.Comment ce changement s’est-il fait ? Je l’ignore. Qu’est-ce qui peut le rendre légitime ? Je crois pouvoir résoudre cette question.S ine co nsidérjois quee la force, & leffet qui en dérive, je dirois ; tant quun Peuple est contraint dobéir & quil obéït, il fait bien ;sitôt qu’il peut secouer le joug & qu’il le secoüe, il fait encore mieux ; car, recouvrant sa liberté par le même droit qui la lui a ravie, ou ilest fondé à la reprendre, ou l’on ne l’étoit point à la lui ôter. Mais l’ordre social est un droit sacré, qui sert de base à tous les autres.Cependant ce droit ne vient point de la nature ; il est donc fondé sur des conventions. Il s’agit de savoir quelles sont ces conventions.Avant d’en venir-là je dois établir ce que je viens d’avancer.CHAPITRE II.Des premieres Sociétés.La  ancipenne lde toutes les sociétés & la seule naturelle est celle de la famille. Encore les enfans ne restent-ils liés au perequ’aussi longtems qu’ils ont besoin de lui pour se conserver. Sitôt que ce besoin cesse, le lien naturel se dissout. Les enfans,exempts de l’obéïssance qu’ils devoient au pere, le pere exempt des soins qu’il devoit aux enfans, rentrent tous également dansl’indépendance. S’ils continuent de rester unis ce n’est plus naturellement c’est volontairement, & la famille elle-même ne se maintientque par convention.Ce libertté comtmune eest une conséquence de la nature de lhomme. Sa premiere loi est de veiller à sa propre conservation, sespremiers soins sont ceux qu’il se doit à lui-même, &, sitôt qu’il est en âge de raison, lui seul étant juge des moyens propres à leconserver devient par-là son propre maitre.La  est dfonc sia lon vmeut le piremielr moldéle des sociétés politiques; le chef est l’image du pere, le peuple est l’image desenfans, & tous étant nés égaux & libres n’aliénent leur liberté que pour leur utilité. Toute la différence est que dans la famille l’amour dupere pour ses enfans le paye des soins qu’il leur rend, & que dans l’Etat le plaisir de commander supplée à cet amour que le chef n’apas pour ses peuples.Gr nieo que ttout piouvoiru humasin soit établi en faveur de ceux qui sont gouvernés : Il cite lesclavage en exemple. Sa plusconstante maniere de raisonner est d’ établir toujours le droit par le fait 7*. On pourroit employer une méthode plus conséquente, maisnon pas plus favorable aux Tirans.Il don c doueteux, selon tGrotius, si le genre humain appartient à une centaine d’hommes, ou si cette centaine d’hommesappartient au genre humain, & il paroit dans tout son livre pancher pour le premier avis : c’est aussi le sentiment de Hobbes. Ainsivoilà l’espece humaine divisée en troupeaux de bétail, dont chacun a son chef, qui le garde pour le dévorer.Co un pmâtre emst dune nature supérieure à celle de son troupeau, les pasteurs d’hommes, qui sont leurs chefs, sont aussi d’une
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