Recherches historiques sur l'Anjou

Jean François Bodin

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RECHERCHES HISTORIQUES SUR L'ANJOU >,Vl\fl «y IITOME -lj:: I IMPRIMERIE DE COSNIER ET LACHÈSE CHAUSSÉE-SAINT-PIERBE jl,-fo WDIDIIi RECHERCHES HISTORIQUES L'ANJOUSUR r Seconde Édition TOME SECOND 1 / LdjnW i.l; I I M IIKSK IMl'KIMRlk^ l.llîUAinKj^ ^t RECHERCHES HISTORIQUES L'ANJOU.SUR SKCOIVUE PARTIE. CHAPITRE PREMIER. par Louis XI î'i la ville —Charte octroyée d'Angers. Origine de — INoblesse angevine. — Hôlel-de-Ville.—la mairie. Ses ar- moiries.— Privilèges accordés aux habitants d'Angers.— Les mis en vente.offices municipaux venons de parcourir les quinze premiersNous siècles fie l'histoire d'Anjou. Dans coite longue période coin- ('; i)ien aYons-notjJkûiiv d'gnnoes de paix et deiMm- les qui seheur? Parmi tous priâtes sont succéda rodogouvernciïteBt de ])r()vincel;ins le , coml)ien en soin deHivons-nousiu s'occuper «lu riMulre luMireux ^. "''- I iiir M ' , ;. ,|,. in.'iinla quoiid^oii X i!oii(îfer| et, «n Jfpcler lp.iiiic, (pi l|sçKsciift6B|g^e ces com-Quel(|nos ics l'avonsmunes, habfjl^xjjlj^^'comd^nous si (1b'leur comte, imc {i mal-115); fi* 1 5SDR L'AiYlOU. qu'avaient obtenus lespou près semblables a ceux de nommer.

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• Langue: Français
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RECHERCHES
HISTORIQUES
SUR L'ANJOU
>,Vl\fl
«y
IITOME-lj::
I
IMPRIMERIE DE COSNIER ET LACHÈSE
CHAUSSÉE-SAINT-PIERBEjl,-fo WDIDIIi
RECHERCHES
HISTORIQUES
L'ANJOUSUR
r
Seconde Édition
TOME SECOND
1
/
LdjnW
i.l; I I M IIKSK IMl'KIMRlk^ l.llîUAinKj^
^tRECHERCHES HISTORIQUES
L'ANJOU.SUR
SKCOIVUE PARTIE.
CHAPITRE PREMIER.
par Louis XI î'i la ville —Charte octroyée d'Angers. Origine de
— INoblesse angevine. — Hôlel-de-Ville.—la mairie. Ses ar-
moiries.— Privilèges accordés aux habitants d'Angers.— Les
mis en vente.offices municipaux
venons de parcourir les quinze premiersNous siècles
fie l'histoire d'Anjou. Dans coite longue période coin-
(';
i)ien aYons-notjJkûiiv d'gnnoes de paix et deiMm-
les qui seheur? Parmi tous priâtes sont succéda
rodogouvernciïteBt de ])r()vincel;ins le , coml)ien en
soin deHivons-nousiu s'occuper «lu riMulre luMireux ^.
"''- I iiir M
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RFXIIEUCIIES2
primerie, qui aurait dû servira éclairer plus loties
gouvernants et les gouvernes sur leurs devoirs réci-
proques. Mais alors, il faut bien le reconnaître, les
croyaient avoir que des droits a exercer,j)rcmiers ne
et point de devoirs a remplir; les seconds, dépourvus
d'organes pour faire entendre leurs plaintes au pou-
silence, murmuraient en-voir, souffraient d'abord en
suite finissaient par se révolter. Ces désordres
, et
enfinsouvent renouvelés, donnèrent lieu a une insti-
tution qui améliora peu a peu le sort des habitants des
lagrandes villes;'' cette institution est création des
êtrecommunes , création qui doit considérée comme
événements de notre histoireun des plus mémorables
nationale.
siècle , le peuple , ne pouvantVers la fin du onzième
de ses seigneurs, se révoltaplus supporter la tyrannie
mais plus particulièrementdans quelques provinces,
ecclésiastiques, parce que leursdans les domaines
pouvant se faire obéir la lance a lapossesseurs ne
soustraire a leur domi-était plus facile de seffl9JJiyi^l_^ ^i
-*^~^^ documents histo-Ausshtrouve-t-on parmi lesna^iioM
^plus anciennes chartesriques de ce tcmps-la les^ue
communes sont celles de Noyon, deaccordées aux
Laon d'Amiens, etc. dont les évêqueslîeauvais, de , ,
étaient seigneurs temporels.
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ics l'avonsmunes, habfjl^xjjlj^^'comd^nous
si (1b'leur comte,
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