Revue des revues; bibliographie analytique, des articles de périodiques relatifs à l antiquité classique
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Revue des revues; bibliographie analytique, des articles de périodiques relatifs à l'antiquité classique

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•^ Jl 5 5 \ ' ^ 1'•-' B- lisiii de la Métaphysique, dont le 12^ livre est encore cité dans les « Grandes morales «, dans le r.z^X î^fotov x'-vrlasto; (ouvrage anonyme 3*^du siècle av. J.-C), et lel°'' dans l'écrit pseudo-aristotélique sur 15 — ALLEMAGNE.1878.4 plus ancien que Pé-et Gorgias (ouvrage notablementXénophanoMélissus, fut entre lesRhodes). La Métaphysique d'Aristoted'Andronicus depoquc autres péripatéticiens antérieurs àet, après lui, desde Théophrastemains écrit qu'en ce quiaussi bien en ce qui concerne cet :Tédition racontent Strabon et Plutarqueœuvres d'Aristote, ce queles autres5 concerne être consi-dans la cave de Skepsis ne peutd'Aristote enferméssur les mss. Cil Graux.légendaire.que commedéré ^ clerSiichsisclien Oesellscliaft«lerAblianclluiigen Leges regiae [M. Yoigt]. ii. Les tra-T. 8. Sources desWisseiiscliafteii. 1» nousdivisent en deux classes : les unesclassiques sur ce sujet se10 ditions regiae 2° d'autres nous en révèlentmêmes des Leges ;connaître les termesfont aux sources originales, pour connaître laNécessité de remonterle contenu. les Libri regum, sacerdotum,Ces sources sont :valeur de ces témoignages. le Jus Papirianum, et les annales dela loi des Douze Tables,magistratuum, Denys d'Halicarn. a empruntéValerius Antias auxquelles15 Lic'inius Maceretde l'époque royale.

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mi":^'
,;REVUE DES REVUES
in
PUBLICATIONS D'ACADÉMIES
RELATIVES
A L'ANTIQUITE CLASSIQUE
n eeA n^m"^^^ ^ ^^ ^Troisième année
PUBLIÉS EN 1878-7^FASCICULES
Rédacteur en chef : Charles Graux.
K. DK riiiLOL. : Avril 1879,— lievite des Revues de iS7b\ —III. Ip/^
2,
634403^DES REVUESREVUE
ET
D'ACADÉMIESPUBLICATIONS
RELATIVES
A L'ANTIQUITE CLASSIQUE
FASCICULES PUBLIES EN 1878.
— Nous rappelons que les journaux purement critiques, à quelque paysAVIS.
dans la Revue des Revues, sans quitter pourqu'ils appartiennent, constituent
leur assigne Tordre alphabétique dans leurs pays respectifs, unecela le rang que
Rédacteurdivision à part, dont M. Éd. Tourn'ier a bien voulu accepter d'être le
des rédacteursgénéral. Ces journaux, sur lesquels ne s'étend point la surveillance
de diriger le travail pour chaque pays, sont les suivants : Gôt-généraux chargés
gelehrte Anzeigen^ Jahresherichle des philologischen Vereins zutingische
Berlin^ Jahresberichf ûber die Fortschritte der classischen AlterthiimsiDis-
Deutschland,senschaft, Je)iaerLiteratitrzeitimg, Literarisches Centi\dblat fur
aus der historischen Litteratur, Philologischer Anzeiger,Mittheilungen
Jouî'nal des savants, Revue critique d'histoire et de littérature, Acadeniy,
Athe7iaeuni.
On trouvera à la fin de cette Revue, et immédiatement avant les Tables, une
ounotice sommaire de tous les recueils dont nous avons donné l'an dernier
donnons cette année pour la première fois l'analyse.
Emile Châtelain a bien voulu prêter cette année le concours le plus dévouéM.
et le plus efficace à la conduite de la Revue des Revues. Nous lui en adressons
ici nos vifs et sincères remerciements.
ALLEMAGNE.
Rédacteur général : Eugène Benoist.
Al>lisiii<lliiii^eii dci* Akaclciiiie cici* Wi^seiii^cliaftcii
zii Berlin. 1877. Section UeberdieBenutzungde philosophie et d'histoire.
derAristotclischen Mctaphysik in den Schriften der allercnPeripatetiker [Zel-
1er]. Le fragment 12 (Wimmer) de Thôophroste ('E-/. twv \xzxk ta ^uatxà) con-
tient des emprunts aux livres 6, probablement aussi 14, mais surtout4, 9, 5
au livre 12 de la Métapliysique d'Aristote les fragments 40-46, 48 et 52,
;
montrent que, dans son Histoire de la Physique, Thôophraste suivait l'expo-
1°''sition des principes philosophiques faite par Aristote au livre de la Mé-
taphysique. Discussion de la double tradition concernant la part qu'aurait
eue Eudème de Rliodes dans la publication ou la non publication de la Meta- 10
physique d'Aristote. Emprunts à ce même livre signales dans rÉlhiquceudé-
miennc et dans les fragments conservés de la Physique d'Eudùme. Le physi-
cien Straton s'est servi du livre V> de la Métaphysique, dont le 12^ livre est
encore cité dans les « Grandes morales «, dans le r.z^X î^fotov x'-vrlasto; (ouvrage
anonyme 3*^du siècle av. J.-C), et lel°'' dans l'écrit pseudo-aristotélique sur 15— ALLEMAGNE.1878.4
plus ancien que Pé-et Gorgias (ouvrage notablementXénophanoMélissus,
fut entre lesRhodes). La Métaphysique d'Aristoted'Andronicus depoquc
autres péripatéticiens antérieurs àet, après lui, desde Théophrastemains
écrit qu'en ce quiaussi bien en ce qui concerne cet :Tédition
racontent Strabon et Plutarqueœuvres d'Aristote, ce queles autres5 concerne
être consi-dans la cave de Skepsis ne peutd'Aristote enferméssur les mss.
Cil Graux.légendaire.que commedéré
^
clerSiichsisclien Oesellscliaft«lerAblianclluiigen
Leges regiae [M. Yoigt]. ii. Les tra-T. 8. Sources desWisseiiscliafteii.
1» nousdivisent en deux classes : les unesclassiques sur ce sujet se10 ditions
regiae 2° d'autres nous en révèlentmêmes des Leges ;connaître les termesfont
aux sources originales, pour connaître laNécessité de remonterle contenu.
les Libri regum, sacerdotum,Ces sources sont :valeur de ces témoignages.
le Jus Papirianum, et les annales dela loi des Douze Tables,magistratuum,
Denys d'Halicarn. a empruntéValerius Antias auxquelles15 Lic'inius Maceretde
l'époque royale. Étude spéciale de chacunede son histoire pourles matériaux
l'existence et la valeur résultent des nombreuses tracesde ces sources dont
Conclusion les Leges regiae ont réel-dans les auteurs. :qu'on en retrouve
conserver aucun doute ni sur leur anthenticité, nilement existé; on ne peut
État de la critique moderne surcaractère de lois proprement dites.20 sur leur
des objections présentées par des auteurspoint. Exposé et réfutationce
contre l'authenticité des Leges regiae (Dirksen, Schwegler),modernes soit
(Rubino, Marquardt, Lange).soit contre leur caractère législatif
MiSPOULET.
Erlaiigcnsis* T.l. CatullianaActa Semiiiarll pliilologicl25
Rome la poésie lyrique et élégiaque. Il imite les[Siiss]. Catulle a implanté à
Alexandrins a su rester original. Son recueil a été publié peu avant sa mort
;
préfaces, l'une est la pièce l'autre place54av. J.-C). Son livre a deux 1, se(f
formée des trois derniers vers de2 précédés du fragment 14^. Ob-après 2 et est
servationssur lesimitationsdontCatullea été l'objet. L'auteur repousse l'hypo-30
nous avons perdu une grande partie des poëmesthèse de Bernhardy que de
Catulle. On peut reconnaître dans le "Catulli liber" trois parties (1-60 61-64
; ;
liées65-116), d'ailleurs habilement entre elles, par la variation, les mètres
et les sujets. Nous avons les pièces de Catulle dans l'ordre lui-mômeoù les
35 a disposés. Influence des poètes grecs sur Catulle, influence de son origine
gauloise; comment il introduit dans ses poèmes les termes de la langue vul-
gaire et l'archaïsme. Observationes criticae in Galeni r.epl twv /aO' 'Ititto-^
xpàxTiv a-uoiyetcov libros [G. lielmreich]. Objet de Galien : expliquer Hippocrate,
surtout les mots importants. Liste des mss. collationnés par Karrer. Gloses
introduites dans le texte de Galien. Valeur relative des mss.40 Passages altérés
que l'on corrige avec leur aide. De Callini elegiarum aetate [Geiger],^ Les
fragments de Callinus les deux prises
; C. a vu de Sardes sous Gygès et
sous Ardys, mais non la prise de Magnésie par les Trères; il est antérieur à
Archiloque; les inscriptions cunéiformes nous renseignent sur les faits du
45 règne de Gygès et d'Ardys G. a vécu vers l'an 652; av. J.-C. Le troisième^
fragment de Tyrtée dans l'éd. de Bergk [Kôhler]. Ces vers ne sont pas de
Tyrtée, mais c'est une formule d'oracle que l'abréviateur de Diodore, fr.7,
éd.Bekker, a ajoutée13, à des vers réellement de T. Les élégies de^ Sulpicia
[W.]. La pièce 7 doit être attribuée à Tibulle et non à Sulpicia. Des parti-^
cularités de langue qui50 se trouvent dans les premiers discours de Cicéron
[H. Hellmuth]. Ces discours sont ceux de 81 à 69 av. J.-C. Cicéron a modifié
son style et sa langue avec le temps; il multipliait d'abord les synonymes;
il acceptait l'allitération il usait; du langage familier. Plus tard il s'est

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