La lecture à portée de main
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Publié par | les_archives_du_savoir |
Nombre de lectures | 7 |
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Langue | Français |
Poids de l'ouvrage | 17 Mo |
Extrait
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coRODRIGUE
DE YILLANDRANDO22614. — PARIS, TYPOGRAPHIE A. LAHURE
Rue de Fleuras, 9RODRIGUE
VILLAND1UNDODE
DES COMBATTANTSL'UN
FRANÇAISEL'INDÉPENDANCEPOUR
MAL' QUINZIÈME SIÈI
QUICHERATJ.
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1: CHAEII -b E L L C o I. DESDIRECTEUR
PARIS
G"ETHACHETTELIBRAIRIE
79SAINT-GERMAIN"9, BOULEVARD s
1879
rtaexvt»etd' traductionDroit» do propriel»FEB 31955 ))((
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5'8'9 2 41PRÉFACE
arti-Ce livre est le remaniement de plusieurs
publiai, il trente ans,cles que je a plus dey
Je lisdans la Bibliothèque de l'École des Chartes.
connaissance avec le personnage qui en est le sujet
pendant que je recueillais les matériaux de mon
avoir étéédition des procès de Jeanne d'Arc. Sans
l'un des compagnons d'armes de la Pucelle, Ro-
drigue de Yillandrando faisait parler de lui dans
le temps qu'elle parut. Je le trouvai tant de ibis
les événements dementionné avant et après 1429,
qu'un homme dont le nomque je me persuadai
rempli un rôle impor-revenait si souvent avait
correspondance et des dé-tant. Je profitai de la
m'obligeait la préparation deplacements auxquels
par lamon me renseigner,grand travail pour
Rodrigue. En peu de tempsmême occasion, sur ce
se for-pour voirj'eus réuni assez de matériauxn PRÉFACE.
mer un ensemble qui me parut succpliblc d'être
mis œuvre.en
Je croyais alors avoir épuisé la matière. Lors-
que ma notice eut vu le jour, je m'aperçus com-
bien j'étais loin de compte. Comme il arrive à
ceux qui ne sont pas rompus aux pratiques de l'é-
rudition, j'avais négligé des sources de première
D'autres, auxquelles je m'étais adressé,importance.
l'objet d'un mauvais em-avaient été de ma part
s'étendait bien au delàploi. Et puis le sujet des
limites où s'étaient renfermées mes recherches.
étranger a laissé des traces dans une infinitéCet
ne soupçonnais pas qu'il lut allé.de lieux où je
preuve par le nombre de textesJ'en acquis la
me furent signalés depuis. Je tinsnouveaux qui
qui se présentait, et c'est à l'aideregistre de tout ce
d'informations que je reviensde ce supplément
dans un tropsur un récit qui est devenu inexact
nombre de ses parties.grand
honteconfesse sans regret et sans l'insuffi-Je
mon premier travail, d'abord parce que,sance de
faireparut, il était tout ce que j'avais pulorsqu'il
fut, il ré-parce que, tel qu'ilde mieux ensuite;
peu prèsconnaissance d'un nom àpandit la
grâce à ce que l'attention avaitignoré, et que c'est
découverteslui qu'eurent lieu leséveillée surété
aujourd'hui.dont je profite