Rodrigue de Villandrando, l un des combattants pour l indépendence française au quinzième siècle
374 pages
Français

Rodrigue de Villandrando, l'un des combattants pour l'indépendence française au quinzième siècle

Le téléchargement nécessite un accès à la bibliothèque YouScribe
Tout savoir sur nos offres
374 pages
Français
Le téléchargement nécessite un accès à la bibliothèque YouScribe
Tout savoir sur nos offres

Description

H :to •ar la reine Isabelle la Catholique dont il étaitEnvoyé à Louis secrétaire. Nous avons sa lettre de créance, qu'il présenta le 18 mars la la mention d'un 1 175 (Ms. lat. 6024, fol. 188, h Bibliolh. nal.)i et 1 que le roi de Francecadeau d'argenterie (deux flacons et don/' hanaps) lui lit à celle occasion. Ms. français 200^5, f. 632. 4 VIE DE RODRIGUE partie de la vie du capitaine espagnol qui se passa en France. Villandrando ou, conformément à la signature de Rodrigue lui-même, Yilla-Andrando, csl un village de la Vieille Castillc entre Burgosel Valladolid. La l'a ni il le ai' une serait laGoth femme, et cette femme mère '.du pape Clément \ est que Clément Y, de deIl notoire son nom gentil- homme Bertrand de Goth, naquit à Villandraut; mais le du de Pellizer un tissu d'hxpo-tout reste récit est thèses et de rapprochements forcés, qui a pour unique l'identité apparente des deux noms Villan-fondement \ n'est ladrando et Villandraut. Or illandraut que pro- altérée d'un nom qui s'est dit d'abord ennonciation latin vinca Andraldi et qui, au quatorzième siècle, l --a I .s'écrivait encore dans forme romane inhandraut 1 h. .Inm l calidadPellizer, Informe del origen, antiguedad, mo-y '/. riBenauges, 1rs vicomtes de Breuilhois d'Auvillars cl les pays de Vil- landraut r! de Cayran, 75. Bordeaux, 1878.y. DE VILLANDRANDO. desCe qu'on rapporte Villandrando de Valladolid offre plus de certitude. De père en Gis ils exercèrenl «les fonctions administratives.

Informations

Publié par
Nombre de lectures 7
Licence :
Langue Français
Poids de l'ouvrage 17 Mo

Extrait

H
:to
•<£)
•tO
coRODRIGUE
DE YILLANDRANDO22614. — PARIS, TYPOGRAPHIE A. LAHURE
Rue de Fleuras, 9RODRIGUE
VILLAND1UNDODE
DES COMBATTANTSL'UN
FRANÇAISEL'INDÉPENDANCEPOUR
MAL' QUINZIÈME SIÈI
QUICHERATJ.
'
1: CHAEII -b E L L C o I. DESDIRECTEUR
PARIS
G"ETHACHETTELIBRAIRIE
79SAINT-GERMAIN"9, BOULEVARD s
1879
rtaexvt»etd' traductionDroit» do propriel»FEB 31955 ))((
%,
SlTY CFT^^
5'8'9 2 41PRÉFACE
arti-Ce livre est le remaniement de plusieurs
publiai, il trente ans,cles que je a plus dey
Je lisdans la Bibliothèque de l'École des Chartes.
connaissance avec le personnage qui en est le sujet
pendant que je recueillais les matériaux de mon
avoir étéédition des procès de Jeanne d'Arc. Sans
l'un des compagnons d'armes de la Pucelle, Ro-
drigue de Yillandrando faisait parler de lui dans
le temps qu'elle parut. Je le trouvai tant de ibis
les événements dementionné avant et après 1429,
qu'un homme dont le nomque je me persuadai
rempli un rôle impor-revenait si souvent avait
correspondance et des dé-tant. Je profitai de la
m'obligeait la préparation deplacements auxquels
par lamon me renseigner,grand travail pour
Rodrigue. En peu de tempsmême occasion, sur ce
se for-pour voirj'eus réuni assez de matériauxn PRÉFACE.
mer un ensemble qui me parut succpliblc d'être
mis œuvre.en
Je croyais alors avoir épuisé la matière. Lors-
que ma notice eut vu le jour, je m'aperçus com-
bien j'étais loin de compte. Comme il arrive à
ceux qui ne sont pas rompus aux pratiques de l'é-
rudition, j'avais négligé des sources de première
D'autres, auxquelles je m'étais adressé,importance.
l'objet d'un mauvais em-avaient été de ma part
s'étendait bien au delàploi. Et puis le sujet des
limites où s'étaient renfermées mes recherches.
étranger a laissé des traces dans une infinitéCet
ne soupçonnais pas qu'il lut allé.de lieux où je
preuve par le nombre de textesJ'en acquis la
me furent signalés depuis. Je tinsnouveaux qui
qui se présentait, et c'est à l'aideregistre de tout ce
d'informations que je reviensde ce supplément
dans un tropsur un récit qui est devenu inexact
nombre de ses parties.grand
honteconfesse sans regret et sans l'insuffi-Je
mon premier travail, d'abord parce que,sance de
faireparut, il était tout ce que j'avais pulorsqu'il
fut, il ré-parce que, tel qu'ilde mieux ensuite;
peu prèsconnaissance d'un nom àpandit la
grâce à ce que l'attention avaitignoré, et que c'est
découverteslui qu'eurent lieu leséveillée surété
aujourd'hui.dont je profite

  • Univers Univers
  • Ebooks Ebooks
  • Livres audio Livres audio
  • Presse Presse
  • Podcasts Podcasts
  • BD BD
  • Documents Documents