Théodore de Banville; contributions à l'histoire de la poésie française pendant la seconde moitié du 19e siècle

Max Fuchs

Description

ExJ^ris * PROFESSORJ.S.WILL Théodore de Banville Théodore de Banville Contributions à l'Histoire de ta Poésie française moitié du xiX' sièclependant la seconde « Ce qui fait le poète, le voici : toutes ces douleurs inconnus,des autres, il les souffre ; tous ces pleurs toutes ces plaintes si faibles, tous ces sanglots qu'on voix. »ne pouvait pas entendre, passent dans sa viii.)(Gringoire, se. Thèse pour le Doctorat es I-^ttres Présentée à la Faculté des Lettres de l'Université de Paris Max. FUCHS Ancien Elève de la Faculté des Lettres de Paris Agrégé des Lettres Professeur au Lycée de Charleville \ 1-3.^2 iii-o, lir., cou\. (J'iViitil qiipp., u fftit l'objet d'une Thèse de Doctorat èi IHtres). (Rechorché). 100 fr I. Banville avant ISe"!. La Famille et la jeu nej.s6 (le Banville. Les Œuvres de jeuiie!«s.e. Li Poète funambulesque. Le* Exilés. — II. Ban ville après 18G". La Seronde manière fnnambn lesque. Le Théâtre de Banville. L'tEiivre ei iirnse et les (ierniers vers f?3 '71i77i I A ma Mère A Monsieur Gustave Lanson Avant-Propos d'Aurevilly, peu suspect de tendresse pour Théodore deBARBEY voyait en lui un plus remarquables écrivainsBanville, des et il craignait d'ajouter que la postérité rati-duxix^ siècle, ne pas jugement :fierait son et desTout le monde sait la place que l'auteur des Cariatides dans la poésie française, et cette place, même ceuxStalactites occupe vibrent pas en accord parfait avec sa poésie, ne la lui contestentqui ne jour, l'His-pas.

Sujets

• Banville

Informations

• Publié par: les_archives_du_savoir
• Nombre de lectures: 10
• Langue: Français
• Poids de l'ouvrage: 25 Mo

Extrait

ExJ^ris
*
PROFESSORJ.S.WILLThéodore de BanvilleThéodore
de Banville
Contributions à l'Histoire de ta Poésie française
moitié du xiX' sièclependant la seconde
« Ce qui fait le poète, le voici : toutes ces douleurs
inconnus,des autres, il les souffre ; tous ces pleurs
toutes ces plaintes si faibles, tous ces sanglots qu'on
voix. »ne pouvait pas entendre, passent dans sa
viii.)(Gringoire, se.
Thèse pour le Doctorat es I-^ttres
Présentée à la Faculté des Lettres de l'Université de Paris
Max. FUCHS
Ancien Elève de la Faculté des Lettres de Paris
Agrégé des Lettres
Professeur au Lycée de Charleville
\ 1-3.^2 iii-o, lir., cou\. (J'iViitil qiipp.,
u fftit l'objet d'une Thèse de Doctorat èi
IHtres). (Rechorché). 100 fr
I. Banville avant ISe"!. La Famille et la jeu
nej.s6 (le Banville. Les Œuvres de jeuiie!«s.e. Li
Poète funambulesque. Le* Exilés. — II. Ban
ville après 18G". La Seronde manière fnnambn
lesque. Le Théâtre de Banville. L'tEiivre ei
iirnse et les (ierniers versf?3
'71i77iI
A ma Mère
A Monsieur Gustave Lanson