Comment se libérer des schémas comportementaux
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Conférence Se libérer des schémas comportementaux qui nous empêchent d’être nous-mêmes Le 15/10/2009 au SPA d’air et d’eau à Seyssinet-Pariset de 20h à 21h30 Se libérer des schémas comportementaux qui nous empêchent d’être nous-mêmes Notre comportement dépend de plusieurs facteurs. Outre notre éducation, notre évolution au sein de notre famille, nous portons des schémas comportementaux qui viennent de notre enfance, de notre vie intra utérine, du jour de notre conception et/ou de nos ancêtres. Ils peuvent être conscients, à moitié conscients ou totalement inconscients. Nous allons voir ensemble comment ces comportements s’insèrent à l’intérieur de notre cerveau et comment nous allons faire pour les changer. I – Notre arrivée dans la vie A la date précise de notre conception, au moment X de notre création, nous enregistrons dans notre cerveau archiviste le climat, les projets et les conflits des parents et pendant tout le temps de notre gestation. Le climat de la conception représente l’ambiance de la vie de la planète et l’ambiance du cadre familial (guerre, paix, famine, luxe, séparation, deuil…) Les projets des parents peuvent être d’ordre financier, professionnel, affectif… Les conflits sont d’ordre conscient ou inconscient et représentent la plus lourde partie que l’enfant va porter. ………………………………………………………….. Naissance 6/7 ans Conception Pendant les neuf mois de A la naissance L’enfant continue à prendre ...

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Langue Français

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Conférence Se libérer des schémas comportementaux qui nous empêchent d’être nous-mêmes Le 15/10/2009 au SPA d’air et d’eau à Seyssinet-Pariset de 20h à 21h30 Se libérer des schémas comportementaux qui nous empêchent d’être nous-mêmes Notre comportement dépend de plusieurs facteurs. Outre notre éducation, notre évolution au sein de notre famille, nous portonsdes schémas comportementaux qui viennent de notreenfance, de notre vie intra utérine, du jour de notre conception et/ou de nos ancêtres. Ils peuvent être conscients, à moitié conscients ou totalement inconscients. Nous allons voir ensemble comment ces comportements s’insèrent à l’intérieur de notre cerveau et comment nous allons faire pour leschanger. I – Notre arrivée dans la vie A la date précise de notre conception, au moment X de notre création, nousenregistrons dans notre cerveau archiviste le climat, les projets et les conflits des parents et pendant tout le temps de notre gestation. Le climat de la conception représente l’ambiance de la vie de la planète et l’ambiance du cadre familial (guerre, paix, famine, luxe, séparation, deuil…) Les projets des parents peuvent être d’ordre financier, professionnel, affectif… Les conflits sont d’ordre conscient ou inconscient et représentent la plus lourde partie que l’enfant va porter. …………………………………………………….. Naissance 6/7 ans Conception Pendant les neuf mois de A la naissance L’enfant continue à prendre grossesse il a un grand les programmes et a un grand l’enfant à naître pourcentage de besoin de contact à la mère continue de se programmes et pré programmer très peu de libre arbitre Par exemple, je prends le cas d’une de mes patientes, que l’on appellera Marie. Le père et la mère de Marie s’entendaient très bien mais à sa conception la mère de Marie se doutait que son mari la trompait (Climat : doutes, adultère ; Projet : séparation ?). Un jour, le doute était si fort qu’elle l’a suivi lors d’un de ses déplacements. Et là, devant ses yeux, elle le découvre avec une de ses collègues, passer la porte de l’hôtel, enlacés et amoureux (= traumatisme). Enceinte de trois mois, elle est rentrée chez elle bouleversée et par crainte de perdre son mari, elle n’a jamais rien dit… Marie est venue me voir pour un problème de relation amoureuse,
Patricia Gros d’Aillon– Thérapie Brève 61 Avenue de la république – 38170 Seyssinet-Pariset Tél : 06 65 53 15 57 – 04 76 21 76 14 – mail :patriciagrosdaillon@yahoo.frSIRET : 51471404700016 – APE 8690 F
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Conférence Se libérer des schémas comportementaux qui nous empêchent d’être nous-mêmes Le 15/10/2009 au SPA d’air et d’eau à Seyssinet-Pariset de 20h à 21h30 nous avons regardé ensemble les schémas comportementaux et nous nous sommes dirigées vers le transgénérationnel. Heureusement, Marie connaissait l’histoire des femmes de « son clan familial » (c’est plus délicat de découvrir les secrets familiaux en hypnose, ça remue beaucoup…). Nous nous sommes rendu compte que l’histoire de sa mère est similaire à celle de sa grand-mère et de son arrière grand-mère ! Toutes ont été trompées et n’ont jamais rien dit… Il est donc logique que Marie, inconsciemment, n’ait aucune confiance en l’amour ni au couple, c’est pourquoi sur son chemin, elle rencontrait tout le temps le même genre d’hommes, plus ou moins fidèles qui, au bout de trois mois, ne lui correspondaient plus… Je vous laisse faire le lien des trois mois ! Comme chacun de nous, son rôle, sa mission est de casser la chaîne de certains schémas remplis de stress et d’angoisse, de reprendre du libre arbitre et de « sauver » les générations à venir… C’est pourquoi Marie avait tant de mal à s’épanouir dans une relation amoureuse. Aujourd’hui Marie a compris, et vit pleinement une relation qui dure bien plus que trois mois ! On pourrait imaginer que les schémas comportementaux que nous avons enregistrés à la naissance forment comme une toile d’araignée et que chaque branche de la toile représente un comportement. Tout au long de notre vie cette toile va évoluer, l’intérêt étant de la faire évoluer dans le sens désiré. Parce que durant toute notre vie, nous allons traduire le sens de ces programmes inconscients, attirer à nous les gens qui sont programmés comme nous et nous allons reproduire ensemble ces programmes (dans un système binaire +/-, le même programme ou le programme inverse), jusqu’au jour oùgrâce à une prise de conscience nous souhaitons nous en libérer.Alors, à ce moment-là, nous faisons place à l’évolution (de nous- mêmes et de nos descendants) et nousrécupérons du libre arbitre. II – Récupérer du libre arbitre par un changement de comportement conscient Comment récupérer du libre arbitre ? En libérant l’arbitre, comment libère t-on l’arbitre, le juge ? En arrêtant de juger les autres et les faits, se mettre à la place des autres, les comprendre et vivre dans l’amour au moment présent, à chaque seconde que l’on vit ! Voilà la clé du bonheur… L’important ici est de bien comprendre que les gens ne parlent que d’eux mêmes. Voyons rapidement la distorsion qui empêche lacommunication efficace(autre conférence). Nous sommes nés avec des schémas comportementaux et nous avons grandi en vivant des expériences et donc, par ce biais, en se créant des croyances. Ces croyances se sont donc mises en place grâce à ce que l’on a vu (visuel), ce que l’on a entendu (auditif), ce que l’on a ressenti (kinesthésique), ce que l’on a senti (olfactif) et ce que l’on a goûté (gustatif). On l’appellera ici le VAKOG (Visuel, Auditif, Kinesthésique, Olfactif et Gustatif). Evaluation Expérience Croyance (VAKOG)
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Conférence Se libérer des schémas comportementaux qui nous empêchent d’être nous-mêmes Le 15/10/2009 au SPA d’air et d’eau à Seyssinet-Pariset de 20h à 21h30 Lorsque les personnes parlent, elles utilisent donc leur VAKOG. Par exemple, elles parlent de leurs vacances, de ce qu’elles ont vu, ce qu’elles ont mangé, ce qu’elles ont fait comme activité… Et malheureusement, ce qui empêche la communication efficace et qui crée la plupart des conflits, c’est que nous avons tendance à faire sans arrêt de la distorsion. Même quand la personne parle, nous pensons tout de suite à ce qu’on va lui répondre au lieu de l’écouter. Et le pire, c’est que nousinterprétons ses propos, sans lui demander si ce qu’on a compris, c’était bien ce qu’elle voulait nous dire. Nous ramenons tout dans notre propremodèle du monde: « » Et voilà laMoi aussi, j’y suis allé…. communication efficace est rompue ! L’idéal est de répondre « Ah oui, et c’était bien ? Ça t’a plu, tu as eu beau temps ?… ». S’intéresser à l’autre, lui poser des questions qui vont la faire parler de d’elle et dans uncadre gagnant-gagnant: j’apprends également des choses intéressantes.
Code Comportemental Structure de surface Langage Mots Emis
On sait aujourd’hui que 93% de la communication est non-verbale contre 7 % de verbale
Structure profonde Distorsion Nous l’emmenons dans Vécu VAKOG notre modèle du monde Expérience Il est très important de comprendre queles personnes ne parlent que d’elles-mêmes, je me répète mais c’est tellement important.L’effet miroir c’est ça. Et même quand elles disent « Tu » ou « Il » la plupart du temps ça veut quand même dire « Je » ! Tout le monde sait que « C’est celui qui dit qui est ! » ou ce proverbe qui énonce : « On reproche toujours aux autres ce qu’on se reproche à soi-même »… Expérimentez-le, écoutez les autres parler… Je me souviens une fois à Paris dans le métro, j’entendais une dame qui disait « Je ne supporte pas les gens qui critiquent… ». Cinq minutes plus tard, elle critiquait sa responsable de service d’une manière très sévère !... C’est ça… Quand quelqu’un vous insulte ou vous reproche des choses qui ne sont pas « justes » à vos yeux, vous pouvez lui dire « Tu parles de toi ? ». Ramenez à vous uniquement les apprentissages constructifs, laissez aux autres leurs jugements et critiques, ils ne parlent que d’eux-mêmes… Un fait ou un événement va créer automatiquement à vitesse grand V une croyance, une présupposition et/ou un jugement, qui va automatiquement créer un ressenti, une émotion qui va dans la même lignée créer un comportement. Patricia Gros d’Aillon– Thérapie Brève 3 61 Avenue de la république – 38170 Seyssinet-Pariset Tél : 06 65 53 15 57 – 04 76 21 76 14 – mail :patriciagrosdaillon@yahoo.frSIRET : 51471404700016 – APE 8690 F
Conférence Se libérer des schémas comportementaux qui nous empêchent d’être nous-mêmes Le 15/10/2009 au SPA d’air et d’eau à Seyssinet-Pariset de 20h à 21h30 Par exemple, le fait est que mon mari fait la tête, je pourrais me mettre à croire que c’est de ma faute, présupposer qu’il n’a pas aimé ma cuisine et me dire à moi-même « quel con ! ». Du coup, je suis stressée, énervée, ce qui entraîne un comportement agressif, je lui dis « j’en ai marre, avec toi c’est toujours pareil… ! ». Alors que si je m’en tiens au fait ! Seulement au fait, je le laisse faire la tête, peut-être parce qu’il en a besoin, peut-être que ça lui fait bien, je ne sais pas, mais ce qui est sûr c’est que ça ne veut rien dire de moi, ça veut juste dire qu’il fait la tête ! Fait Croyance Ressenti Comportement Evénement Présupposé Etat Interne Ex : maladie Jugement C’est à partir de là (des croyances principalement) que l’on travaille en PNL pour changer les ressentis et les états internes qui vont changer le comportement. On va s’arrêter au fait et changer la croyance négative en croyance positive. Pour ce faire, j’utilise principalement la technique de larestructuration des histoires de vie. Je vais partir d’unancragesimilaire au ressenti et ramener la personne au moment X de l’expérience qui a crée l’évaluation. Dans la plupart des cas, on arrive dans la petite enfance. Selon le contexte, je vais changer l’évaluation, la croyance, transformer la croyance limitante en croyance aidante, intéressante pour l’avenir. Par exemple, je prends le cas d’une patiente, qu’on va appeler Rosa, qui avait du mal à aimer ses enfants. Avec cette technique, nous arrivons en classe de maternelle. Rosa a 3 ans et la maîtresse demande aux élèves « Comment votre maman vous réveille le matin ? » et là, Rosa entend plusieurs enfants décrire des mamans douces, câlines, aimantes et se décompose au fur et à mesure parce que, pour elle, ce n’est pas le cas. La maman de Rosa ouvre la porte violemment, allume la lumière et crie « Debout ». Là, Rosa se bloque et commence à pleurer. La maîtresse n’ayant pas compris son stress, la punit et la petite se met à croire « personne ne m’aime ». Alors là, nous changeons le contexte, nous faisons entrer en scène elle adulte ou une fée ou la marraine de Cendrillon, peu importe, et nous apportons une leçon à la petite Rosa. Là il est nécessaire qu’elle sache bien que le comportement de sa maman et celui de la maîtresse ne veulent rien dire d’elle. Que la vie a fait qu’elle a vécu cet évènement pour lui montrer comment réveiller ses enfants. Parce qu’elle va grandir et elle va en avoir des enfants, il ce serais bien qu’elle les aime comme ces mamans là aiment leurs enfants... Une fois que la croyance est modifiée et aidante pour l’avenir, le ressenti devient plus joyeux et le comportement se modifie. Ensuite je demande au cerveau inconscient de le généraliser à toutes les expériences similaires et il s’ensuit une grande libération, une acceptation qui entraîne un lâcher prise total dans la joie de vivre et le comportement change automatiquement… Il est important de comprendre quela vie est un apprentissage, telle une classe d’école. Les expériences ne sont que des expériences. Il n’y a pas de bien ni de mal, il n’y a que des
Patricia Gros d’Aillon– Thérapie Brève 61 Avenue de la république – 38170 Seyssinet-Pariset Tél : 06 65 53 15 57 – 04 76 21 76 14 – mail :patriciagrosdaillon@yahoo.frSIRET : 51471404700016 – APE 8690 F
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Conférence Se libérer des schémas comportementaux qui nous empêchent d’être nous-mêmes Le 15/10/2009 au SPA d’air et d’eau à Seyssinet-Pariset de 20h à 21h30 expériences. « L’échec n’existe pas, ce n’est qu’un pass vers la réussite » (présupposé de la PNL). III – Récupérer du libre arbitre par un changement de comportement semi conscient Les techniques que l’on utilisera ici seront diverses et multiples, cependant à chacune de ces techniques j’utilise avant tout : lanégociation des parties; nous sommes des êtres à multi facettes et si à l’intérieur de nous-mêmes on a une partie qui fume, ou une partie qui est malade ou une partie qui s’énerve tout le temps et une autre qui veut respirer, ou être en bonne santé ou rester calme, alors il est nécessaire en premier lieu de connaître l’intention de la partie qui nous gêne le plus. Cette technique est souvent une véritable révélation, l’on ne s’attend pas à ce que son intention soit si positive et il est nécessaire, avant de changer le comportement, de satisfaire son intention car sinon, le problème aura des chances de revenir. C’est également ici que nous allons nous intéresser aux Niveaux Logiques de la pensée et aux Métaprogrammes. Les niveaux logiques de la pensée Le rôle d’un niveau est de solutionner celui qui est en-dessous. Mission Vision Identité Croyances / Valeurs
Emotions Capacités Comportement
Environnement Lorsque nous regardons les niveaux logiques de la pensée, l’on se rend bien compte que par exemplece n’est pas l’environnement qui va satisfaire nos valeurs. C’est notre identité « Qui suis-je ? ». Suis-je quelqu’un de génial, d’extraordinaire ? ou…Ce sont nos croyances qui conditionnent nos émotionset notre mission qui solutionne tous les autres niveaux. En d’autres termes si je prends par exemple la mission d’être une femme aimante pour mon mari. Alors ma vision du couple idéal sera l’entente parfaite à tous les niveaux. J’aurais dans mes valeurs : la complicité, la communication, l’affection, l’amour, la famille … Et tant que tout cela je le partage avec mon mari, alors je suis une femme aimante et donc toutes mes valeurs sont satisfaites ; je crois que je suis quelqu’un de bien, et donc forcément je vais bien, j’ai la pleine capacité pour mener à bien ma mission, j’ai un comportement amoureux et mon mari est heureux. Patricia Gros d’Aillon– Thérapie Brève 5 61 Avenue de la république – 38170 Seyssinet-Pariset Tél : 06 65 53 15 57 – 04 76 21 76 14 – mail :patriciagrosdaillon@yahoo.frSIRET : 51471404700016 – APE 8690 F
Conférence Se libérer des schémas comportementaux qui nous empêchent d’être nous-mêmes Le 15/10/2009 au SPA d’air et d’eau à Seyssinet-Pariset de 20h à 21h30 Maintenant imaginons que mon mari s’énerve parce que le repas n’est pas prêt. Si je ne connais pas certaines lois commel’effet miroirce que nous avons vu plus haut sur la ou communication efficace, ma mission va être automatiquement bouleversée. Et là, catastrophe, je crois que c’est un reproche ! Du coup, ma vision du couple parfait en prend un coup, mes valeurs sont bafouées, je me sens en colère, ou j’ai peur, ou je suis triste, je ne suis plus capable de lui donner de l’affection et je me fâche, ou je boude, et mon mari est également déstabilisé. Comment faire pour que ce genre de situation n’arrive pas ? Et bien, déjà la première chose à faire, c’est de se dire que ça ne veut rien dire de nous. Ensuites’orienter directement solution: quelles pourraient être les solutions à ce problème ? Dans cet exemple, on se dira donc, « Tu veux manger à quelle heure ? » et on s’adapte… Ne surtout pas remettre en cause notre identité ou notre vision. Et ce n’est pas l’environnement qui satisfait nos valeurs, c’est notre identité… C’est pourquoi, dès que vous avez l’impression que quelqu’un vous agresse, en fait il n’agresse que lui-même.Cela ne veut rien dire de vous, ça veut juste dire qu’il a perdu le contrôle… Dans cet exemple, on peut imaginer qu’il a une règle rigide du genre : le repas doit être préparé par ma femme à 18h30 pour passer à table au plus tard à 19h30. La sagesse bienveillante voudrait qu’on l’aide à lui enlever cetterègle rigide qui l’empêche d’être heureux… Pour ce faire, nous avons besoin des techniques decommunication efficace.Les métaprogrammes Ce sont des programmes inconscients qui nous emmènent vers la réussite ou vers l’échec
RATER
REUSSIR
IL faut, je dois Je veux , j'ai envie, je peux Ressasser le passé Ici et maintenant je crée mon futur Etre dans la comparaison, la similitude Savoir qu’on est différent Se positionner en cadre de référence externe Se positionner en cadre de référence interne Branché interne : s’intérioriser Branché externe : observer Je vois ce qu’il me manque Je fais avec ce que j'ai Je suis pressé J’ai un délai réaliste J’improvise Je suis procédure Je travaille sur le global Je travaille sur le spécifique Evitement des problèmes à court terme Recherche du plaisir à long terme Il vaut mieux se dire « je veux » que « il faut », (il faut = c’est faux), attention aupouvoir créateur des mots, mieux vaut être dans une énergied’ici et maintenantque de ressasser le passé continuellement. C’est également plus aidant de se dire qu’on est différent plutôt que de sans arrêt se comparer aux autres. De même, il est plus intéressant de faire les choses par soi-même au lieu de laisser faire les autres ou de demander aux autres de les faire pour nous. Celui qui regarde son « petit moi » sera forcément moins performant que celui qui observe. Faire avec ce que nous avons plutôt que de se concentrer sur ce que nous n’avons pas est bien plus aidant. De même, faire les choses à grande vitesse est bien moins efficace que de prendre
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Conférence Se libérer des schémas comportementaux qui nous empêchent d’être nous-mêmes Le 15/10/2009 au SPA d’air et d’eau à Seyssinet-Pariset de 20h à 21h30 son temps et construire un projet étape par étape avec une procédure est bien plus performant. De plus, si l’on estspécifique, si l’on travaille sur le précis, petit à petit on arrive bien mieux. Aussi, quand onrecherche le plaisir à long terme, le résultat est bien plus intéressant que lorsque l’on évite les problèmes à court terme. Par exemple, on peut « éviter d’être en retard » ou bien « rechercher à être en avance ». Ce sont très souvent les parents qui mettent les enfants en cadre de référence externe et qui les empêchent d’être branchés externes. Je me souviens d’une maman qui tenait son fils par la main dans la rue et tout d’un coup il tombe. Elle lui a dit « Méchant trottoir » ! Evaluation : il croit que c’est la faute du trottoir s’il est tombé ! Cadre de référence externe (c’est la faute du trottoir) et branché interne (il pleure). Et bien non, ce n’est pas aidant pour le petit. Le mieux aurait été de lui dire « Regarde devant toi quand tu marches » ou « Attention où tu mets les pieds » ! Evaluation : je suis responsable. Il est important de guider ses enfants vers la réussite en leur inculquant des valeurs et des métaprogrammes aidant. Voyez à quel point les enfants aiment avoir une mission. Confiez-leur des tâches, laissez-leur prendre des décisions, même infimes comme : « Tu préfères mettre des chaussettes rouges ou des chaussettes bleue ? » Pour nous c’est rien, mais pour eux c’est immense : avoir le choix ! Laissez-les expérimenter la vie et en tirer des apprentissages, tels qu’ils soient… La vie est une école… IV - Récupérer du libre arbitre par un changement de comportement inconscient Le plus souvent les comportements inconscients trouvent leur solution dans l’arbre généalogique. Comme nous l’avons vu plus haut,nous reproduisons certains schémas de nos aïeuxselon notre date de naissance, nos prénoms, notre numéro de fratrie… En regardant le carré magique élaboré par les créateurs de lapsychogénéalogie, on remarquera que l’on appartient à une case : les uns, les deux ou les trois. Les uns seront en phase avec les quatre, les sept, les dix, les treize 1 2 3 4 5 6 tout comme les deux seront en lien avec les cinq, les huit, les onze 7 8 9 et les trois avec les six, les neuf, les douze… 10 11 12 Prenez comme exemple votre arbre généalogique (inclure les fausses couches et les IVG) Montez votre arbre et regardez les numéros qui correspondent à votre rang. Voyez s’il y a des similitudes de schémas comportementaux. Pour lâcher ce genre de schémas, il suffit parfois de simplement en prendre conscience ou de pratiquer des techniques vues plus haut. Contactez-moi en cas de besoin ou d’éclaircissement, je reste à votre disposition. Patricia Gros d’Aillon
Patricia Gros d’Aillon– Thérapie Brève 61 Avenue de la république – 38170 Seyssinet-Pariset Tél : 06 65 53 15 57 – 04 76 21 76 14 – mail :patriciagrosdaillon@yahoo.frSIRET : 51471404700016 – APE 8690 F
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Conférence Se libérer des schémas comportementaux qui nous empêchent d’être nous-mêmes Le 15/10/2009 au SPA d’air et d’eau à Seyssinet-Pariset de 20h à 21h30 Bibliographie Se libérer du temps généalogique, comment déprogrammer son destin par la psychogénéalogie– Elisabeth Horowitz et Pascal Reynaud – Editions Dervy – Paris, 2002 Le syndrome du Gisant, un subtil enfant de remplacement– Salomon Sellam – Editions Bérangel – Saint-Drézéry, 2003 Etre l’auteur de sa vie, choisir sa vie– Michelle-J. Noel – Editions Quintessence – Aubagne, 2006 Les cinq blessures qui empêchent d’être soi-même– Lise Bourbeau – Editions E.T.C. inc – Québec, 2000
Patricia Gros d’Aillon– Thérapie Brève 61 Avenue de la république – 38170 Seyssinet-Pariset Tél : 06 65 53 15 57 – 04 76 21 76 14 – mail :patriciagrosdaillon@yahoo.frSIRET : 51471404700016 – APE 8690 F
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