Electrencéphalogrammes. - compte-rendu ; n°1 ; vol.41, pg 293-304
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Description

L'année psychologique - Année 1940 - Volume 41 - Numéro 1 - Pages 293-304
12 pages
Source : Persée ; Ministère de la jeunesse, de l’éducation nationale et de la recherche, Direction de l’enseignement supérieur, Sous-direction des bibliothèques et de la documentation.

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Publié le 01 janvier 1940
Nombre de lectures 10
Langue Français

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g) Electrencéphalogrammes.
In: L'année psychologique. 1940 vol. 41-42. pp. 293-304.
Citer ce document / Cite this document :
g) Electrencéphalogrammes. In: L'année psychologique. 1940 vol. 41-42. pp. 293-304.
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/psy_0003-5033_1940_num_41_1_5902.
ÉLECTRENCÉPHAkOGRAMMES" . 293
' disseminated encephalopathy in the monkey (Encéphalopathie
expérimentale chez le singe). — Ar. of N.., 43, fév. 1940, p. 195-210.
Injection à des singes d'extraits aqueux et alcoolique de cerveau
normal de lapin jusqu'à l'apparition des signes cliniques de souffrance
du système nerveux central : ataxie, nystagmus, ptosis, parésie.
La vérification anatomique montre des lésions disséminées : lésions
périvasculaires, de myélinisation, apparition de cellules de graisse.
Une discussion pathogénique est amorcée sur le rôle de divers facteurs
dans les encéphalopathies expérimentales et cliniques : embolies,
neurotoxines. . R. B.
g) Bleclr encéphalogrammes
110. — P. O. THERMAN,. A. FORBES et R. GALAMBOS. —
Electric responses derived from the superior cervical ganglion
with micro-electrodes (Réponses électriques dérivées du
cervical supérieur avec des micro-électrodes ). — J. of Neurophysiol.,
III, 3, 1940, p. 191-200. ■. .
Étude oscillographique de l'activité électrique du ganglion cervi
cal supérieur chez le chat et le lapin, avec des électrodes pouvant
avoir moins de 10 jx d'ouverture. On arrive à recueillir la réponse d'une
seule cellule, réponse qui dure moins de 2.millisec, et a tousles
caractères d'une variation par tout ou rien comme celle du nerf.
De faibles variations consécutives, lentes, s'observent à la suite de
cette réponse. A. F.
111. — H. ROHRACHER. — Fehlerquellen und Kontroll-methoden
bei gehirnelektrischen Untersuchungen (Sources d'erreur et
méthodes de contrôle dans les recherches électrocérébrales ). —
Pf. A., CGXLII, 1939, p. 389-402.
Exposé, avec figures, des perturbations apportées aux enregistre
ments électriques de grande amplification, en particulier sous l'i
nfluence du courant alternatif.
Analyse des perturbations provenant des sources de cou
rant, quand baisse la tension, avec déclenchement d'oscillations
rythmiques.
Examen des interférences de l'électrocardiogramme, même avec
enregistrement correct de l'eeg., lorsqu'il y a de très forts battements
ardiaques. ' HP.
112. — H. HUGGER. — Zur objektiven Auswertung des Elektren-
cephalogramms unter besonderer Berücksichtigung des gle
itenden Koordination (Sur revaluation objective de V électrencéphalo-
gramme, particulièrement au sujet de la coordination variable). —
Pf. A., CCXLIV, 1941, p. 309-336.
Examen des accofds de phase et des déphasages entre ondes
électriques simultanément recueillies dans des régions symétriques
des deux hémisphères.
Entre les régions occipitales l'accord est normalement très fr
équent (70 à 80 % des cas) avec faible variabilité intra-individuelle,
mais forte interindividuelle, et l'accord est de plus en plus fréquent ANALYSES BIBLIOGRAPHIQUES 294
au fur et à mesure qu'on passe aux zones antérieures (80 % entre
régions pariétales, 90 % entre précentrales, 100 % entre frontales
dans un cas).
Entre régions différentes d*un même hémisphère la coordination
des phases est plus variable, et de moindre fréquence moyenne, et
il y â fréquente opposition entre zones frontale et occipitale.
L'accord est moindre, entre les 2 hémisphères dans les affections
cérébrales (par exemple 19 à 50 % dans les tumeurs occipito-pariéto-
temporales).
Des oscillations périodiques dans les durées des phases (2 à
4 p. sec), donnent à penser à une influence exercée par des rythmes
probablement sous-corticaux ayant une fréquence déduite de 6 à 8 par * H. P. seconde.
113. — FR. BREMER. — L'activité électrique spontanée de la
moelle épinière. — Le tétanos strychnique et le mécanisme de
la synchronisation neuronique. — B. B., CXXXIII, 1940,
p. 685-689 .et 687-693, et Ar. int. de Ph., XLI, 1941, p. 51-84
et p. 211-260.
Avec une fine électrode à pointe seule conductrice enfoncée dans
la substance grise de la corne extérieure de la moelle chez le chat
çurarisé et légèrement anesthésié, on recueille une succession continue
d'ondes rapides, irrégulières, de faible voltage, avec parfois de&.
trains d'ondes de plus basse fréquence et plus amples. Sur ce fond
continu se marquent les potentiels réflexes (grandes ondes tri-
phasiques) qui régularisent et intensifient l'activité spontanée
consécutive.
La résistance à l'asphyxie est plus grande que celle de l'ecorcé
cérébrale. Par inhalation d'éther, on affaiblit activités spontanées et
réflexes. La strychnine fait apparaître de grandes pulsations, déclen
chant des trains d'onde dans l'écorce, comme inversement les pulsa
tions épileptiques de l'écorce engendrent des trains d'onde spinaux.
Dans le tétanos strychnique, il y a une synchronisation spinale
générale de grandes ondes, donnant naissance à de puissantes
décharges d'influx centrifuges par les neurones moteurs de la corne
antérieure.
Le rythme spontané des ondes tétaniques s'accorde au rythme
des stimulations lorsque celui-ci est de fréquence voisine.
La synchronisation" n'est pas compatible avec une transmission
synaptique et doit relever d'une interaction électrique directe (deux
«egments voisins de la moelle restant en contact après transsection^
continuent à synchroniser). H. P.
114. — J. F. VON1EDEBUR. — Ueber die Auslösung von Krampf-
strömen im Zentralnervensystem des Frosches bei der Durch
strömung mit einem Konstanten elektrischen Strom (Sur la
prçduction de courants de convulsion dans le système nerveux
central de la Grenouille par le passage d'un courant électrique
constant). — J. f. Psych. u. Neurol., 50, 1941^ p. 23-31.
Production de décharges rythmiques sous l'influence d'un courant
constant (de sens indifférent) traversant un encéphale de Grenouille.
Il y a synchronisme dans toutes les aires. A. F. •
'
.
'
295 ÉLECTRENCÉPHALOGRAMMES
115.— J. F. VON LEDEBUR. — Ueber die bioelektrischen Erschei
nungen im Nervensystem des Frosches bei der Strychninvergiftung
(Sur les phénomènes bioélectriques du système nerveux dp la
Grenouille dans V intoxication strychnique ) . — J. f. Psych, u.
Neurol., 49, 1940, p. 349-366.
Enregistrements simultanés au scripteur des ondes strychniques
spontanées et p/ovoquées qui siègent dans le cerveau et dans la
moelle dorsale. Le nerf périphérique est également interrogé comme
vecteur'des décharges motrices. L'activité centrale révélée dans ces
trois cas se montre très analogue, en nombre et fréquence des
décharges, mais pas en amplitude. A. F.
116. — J. F. VON LEDEBUR. — Hirnbioelektrische Untersuchung
en. Ueber sogenanntè a- Wellen beim Kaninchen (Recherches
bioélectriques sur le cerveau. Sur les ondes dites alpha chez le
Lapin). — J. f. Psych. u. Neurol., 49, 1940, p.- 420-431.
Confirmation, sur les aires post- et précentrale du cerveau du
Lapin, des données de Kornmüller sur la spécificité bioélectrique
régionale. La narcose (dial) tend à effacer les différences. Une excita
tion les fait reparaître. *■ • A. F.
117. — B. RENSHÀW, A. FORBES et B. R. MORISON. — Activity
of isocortex and hippocampus : electrical studies with micro-
electrodes (Activité de Uisocortex et de V hippocampe : recherches
électriques avec des micro-électrodes). - — J. of Neurophysiol., Ill,
1940,' p. 74-105. . 1,
Recherches entreprises en vue de recueillir dans les masses ner
veuses centrales des ondes bioélectriques aussi simples et localisées
que possible., La première phase a consisté en la mise au point
d'électrodes ultra-fines, en forme de micro-pipettes pouvant des
cendre ä 15 y. de diamètre extrême, et parfois acoolées par paires
de façon que l'une devance l'autre d'environ 0,1 mm. L'ensemble,
enfoncé dans le cortex (Chat, Lapin, Poulet), fournit encore des
ondes complexes, qui se simplifient en s'amplifiant dans l'anesthésie
profonde au pentobarbital sodi

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