Généralités. Théories. Lois générales. Phénomènes entoptiques. Excitation électrique. Processus physiologiques. Pourpre. Pupille. Cristallin. Rétinogrammes. Dominance oculaire. - compte-rendu ; n°1 ; vol.45, pg 495-506
13 pages
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Généralités. Théories. Lois générales. Phénomènes entoptiques. Excitation électrique. Processus physiologiques. Pourpre. Pupille. Cristallin. Rétinogrammes. Dominance oculaire. - compte-rendu ; n°1 ; vol.45, pg 495-506

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Description

L'année psychologique - Année 1944 - Volume 45 - Numéro 1 - Pages 495-506
12 pages
Source : Persée ; Ministère de la jeunesse, de l’éducation nationale et de la recherche, Direction de l’enseignement supérieur, Sous-direction des bibliothèques et de la documentation.

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Publié le 01 janvier 1944
Nombre de lectures 31
Langue Français

Extrait

a) Généralités. Théories. Lois générales. Phénomènes
entoptiques. Excitation électrique. Processus physiologiques.
Pourpre. Pupille. Cristallin. Rétinogrammes. Dominance
oculaire.
In: L'année psychologique. 1944 vol. 45-46. pp. 495-506.
Citer ce document / Cite this document :
a) Généralités. Théories. Lois générales. Phénomènes entoptiques. Excitation électrique. Processus physiologiques. Pourpre.
Pupille. Cristallin. Rétinogrammes. Dominance oculaire. In: L'année psychologique. 1944 vol. 45-46. pp. 495-506.
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/psy_0003-5033_1944_num_45_1_82301 VISION. MOTRICITÉ OCULAIRE 495
966. — A. FORD. — Dynamic auditory localization. I. The binaural
intensity disparity limen (Localisation auditive dynamique. I.
La différence d'intensité de seuil b inauriculaire ). — J. A. S. A.,
XIII, 1942, p. 367-372.
L'auteur a mis au point un appareil permettant de faire varier
l'intensité d'un stimulus pur suivant vune fonction bien définie, par
le sujet lui-même, par rotation de la tête ou du corps, la tête étant
bien immobilisée entre deux écouteurs aériens. Le son est envoyé dans
une seule oreille, et le sujet doit indiquer la position pour laquelle
l'intensité binauriculaire est à égalité. Initialement le stimulus est
réglé de façon à être exactement à 50 db au-dessus du seuil d'audi-
bilité lorsque cette égalité de perception binauriculaire est réalisée.
Les erreurs suggestives sont éliminées facilement ; le sujet tient les
yeux fermés et l'expérimentateur lui-même ne voit ni le sujet ni le
système de rotation. Ensuite l'intensité maximum est réduite pas
à pas, comme si le son semblait s'éloigner du sujet. Dix tests ont été
pratiqués, sur 4 sujets normaux, à 4 niveaux différents, sur 2 fr
équences, 200 et 2.000 p/s. L'auteur dresse les tables d'erreurs angul
aires commises par rapport à la moyenne. Pour les deux niveaux
supérieurs (différence de perception binauriculaire égale à 13,2
et 6 db). L'épreuve est facile. Elle devient beaucoup plus difficile
pour le troisième niveau (différence de 1,9 db) et presque impossible le quatrième (0,9 db). I. G.
967. — B. W. JANGKEES et J. G. GROEN. — On directional
hearing (Sur la localisation sonore). — The Journ. of Laryn.,
Londres, LXI, 9, sept. 1946., p. 494-504.
Bref rappel des théories de localisation des sons dans l'espace :
intensité, phase, différence de temps. Quelques expériences de loca
lisation de sons purs confirmatives de résultats antérieurement
obtenus, p. ex. sur la meilleure localisation dans le plan horizontal.
Par contre les A. ne trouvent pas que les aigus soient moins bien
localisés que les graves. R. C.
968. — T. A. RYAN et F. SCHEHR. — The influence of eye-move
ment and position on auditory localization ( U du mouveoculaire et de la position sur la localisation auditive). —
Am. J. of Ps., LIV, 2, 1941, p. 243-252.
Étude qui fait suite aux recherches de Goldstein sur ce sujet et
qui les contredit en plus d'un point, mais la variabilité des résultats
est peut-être attribuable au très petit nombre d'expériences faites.
I. L.
7° Vision. Motricité oculaire
a) Généralités. Théories. Lois générales. Phénomènes entoptiques
Excitation électrique. Processus physiologiques. Pourpre. Pupille
Cristallin. Rétino grammes. Dominance oculaire
969. — MARIE-LOUISE VERRIER. — Biplogie de la vision (Col
lection Armand Colin). — In-16de 214 pages. Paris, A. Colin, 1945.
L'auteur, qui a poursuivi de nombreuses recherches dans le
domaine de la morphologie des dispositifs récepteurs et de la biologie BIBLIOGRAPHIQUES ANALYSES
visuelle, ou, d'une façon générale, dans l'ophtalmologie comparée,
a réuni dans ce volume une série d'études et discussions sur des
questions qui l'ont particulièrement préoccupée.
Les rapports du seuil lumineux et des cellules visuelles réceptrices,
les facteurs rétiniens de l'acuité, les champs visuels de l'homme
et des animaux, la vision binoculaire chez les Vertébrés forment la
matière du premier chapitre.
Le deuxième est consacré aux réactions de la rétine à l'excitation
lumineuse (changements de forme des cellules, migrations pigmen-
taires, modifications du pourpre, électriques).
Après un bref chapitre sur les anomalies de la vision, vient un
ensemble de problèmes relatifs aux relations des yeux et de la vision
avec l'activité générale des organismes (rapports avec la sexualité,
la pigmentation tégunientaire, l'immobilisation réflexe, le tonus
musculaire, la nutrition).
Des questions évolutives (rapports de l'œil avec les groupes
zoologiques, réductions oculaires) précèdent le dernier chapitre
consacré au comportement et à la question de l'adaptation, où
l'auteur développe son attitude critique et systématiquement négat
ive. Elle soutient l'indépendance générale entre là structure oculaire
et les modalités du comportement, ainsi qu'entre le développement
de l'œil et celui des hémisphères cérébraux. H. P.
970. — W. S. STILES. — Current problems of visual research (Pro
blèmes actuels de recherche visuelle). — Proceedings of Physical
Society, LVI, 1944, p: 329-351 (et discussion p. 351-356).
Examen, dans une conférence, d'une série de problèmes d'ac
tualité.
1° Exposé des recherches de ^fïecht, Shlaer et Pirenne tendant
à attribuer aux fluctuations quantiques la courbe de variation des
réponses justes en fonction de la grandeur du stimulus, et de données
(non publiées, rapport de 1942) de Meetham et Lambert attribuant
à une simple augmentation des probabilités l'abaissement apparent
du seuil par sommation (réduction à 0,85 du seuil avec 4 faisceaux
au lieu d'un, atteignant jusqu'à 0,6 avec l'augmentation du nombre
des faisceaux), la même interprétation ayant été donnée par Pirenne
pour la sommation binoculaire (1943) ;.
2° La courbe de visibilité, à divers niveaux de brillance, et divers
états d'adaptation montre, en vision parafovéale, un point d'inflexion
correspondant au passage du fonctionnement des cônes à celui des
bâtonnets (Stiles, 1939 ; Walters et Wright, 1943). En changeant
la brillance d'une lumière d'adaptation monochromatique déter
minée, on obtient, en vision- fovéale, des inflexions marquant le
passage de la visibilité de cônes affectés à une des composantes
trichromatiques à celles de à une autre de ces compos
antes. Une dérivation de la courbe fovéale de visibilité exige une
représentation à 3 dimensions (et à 4 en vision parafovéale) ;
3° Exposé des expériences de Crawford sur les courbes de récupé
ration après adaptation par des éclats de durée et brillance variables,
l'action des deux paramètres suggérant le jeu d'une chaîne de
réactions ; comparaisons des résultats (en détermination liminaire) vrsfON. MomrciTK oculaire 497
avec ceux de Scheuten (en détermination supraliminaire), montrant
certaines divergences.
Des expériences de Wright, montrant que la récupération du
rouge et du vert suit une courbe différente selon que dans la stimu
lation adaptative, le système du bleu s'est ou non trouvé fortement
stimulé, suggèrent la possibilité d'un réservoir commun de matériel
photochimique, ou d'une substance recuperative commune comme
pourrait être l'oxygène du sang.
4° Étude comparée des courbes des fondamentales d'après les
travaux anciens, d'après ses propres recherches (1939), et d'après
celles de Pitt (1944). Dans la discussion interviennent Craik, Guild,
Wright et Pirenne. H. P.
971. — G. WALD. — The chemical evolution of vision (L'évolution
chimique de la vision). — The Harvey Lectures Series XLI,
1945, p. 117-160.
W. part du phototropisme végétal dont la sensibilité spectrale
(Phycomyces, Pilobolus, Avenu) correspond aux courbes d'absorpîion
des caroténoïdes associés dans diverses espèces.
Chez les Flagellés verts (Euglena viridés, Chlamydomonas, etc.) la
sensibilité spectrale correspond à la courbe d'absorption de l'astaxan-
thine (dans divers solvan

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