Mécanismes nerveux. Fonctions sensorielles - compte-rendu ; n°1 ; vol.32, pg 348-367
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Description

L'année psychologique - Année 1931 - Volume 32 - Numéro 1 - Pages 348-367
20 pages
Source : Persée ; Ministère de la jeunesse, de l’éducation nationale et de la recherche, Direction de l’enseignement supérieur, Sous-direction des bibliothèques et de la documentation.

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Publié le 01 janvier 1931
Nombre de lectures 18
Langue Français
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Extrait

c) Mécanismes nerveux. Fonctions sensorielles
In: L'année psychologique. 1931 vol. 32. pp. 348-367.
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c) Mécanismes nerveux. Fonctions sensorielles. In: L'année psychologique. 1931 vol. 32. pp. 348-367.
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/psy_0003-5033_1931_num_32_1_5054348- ANALYSES BIBLIOGRAPHIQUES
négative d'abord, puis positive, puis disparaît pour un certain taux
d'accélération. Pour une vitesse donnée, à petite distance réaction
négative, devenant positive à une certaine valeur, et disparaissant
pour l'éloignement. Pour une vitesse et une distance déterminées,
la réaction est nulle si l'objet est très petit, positive pour une taille
optima, puis devient négative si l'objet est très grand (et peut même
se transformer en fuite caractérisée).
Il y en a outre intervention de variables secondaires (température,
état physiologique de l'animai, etc.). M. F.
302. — G. DEBRUE. — Le chimiotropisme aux acides chez les an
imaux marins. — Ar. int. de Ph., XXXIV, 2, 1931, p. 172-179.
On crée par diffusion, dans un aquarium, un certain nombre de zones
où régnent des Ph variables (entre 7,4 et 8,6). Le cabillaud se tient de
préférence dans un Ph = 8,2 ; le bar dans une zone moins étroite,
entre 8 et 8,20. La sole et la lotte semblent insensibles, d'autres es
pèces évitent seulement les zones extrêmes ; certains comme les
crabes et pagures sont indifférents à tous points de vue. M. F.
c) Mécanismes nerveux. Fonctions sensorielles *•
303. — H. KUHL. — Beitrag zur Plastizität des Nervensystems bei
Brachyuren [Contribution à la plasticité du système nerveux chez
les Brachyoures). — 7. für ver. Ph., XIV, 3, 1931, p. 450-461.
Étude dans le sens des recherches de Von Uexküll sur les plasticités
adaptatives, afin de déterminer les facteurs modifiant le rythme de
marche de crabes ayant perdu un plus ou moins grand nombre de
pattes, avec également des ablations partielles, des destructions de
muscles.
Les modifications sont liées à l'atteinte du coxopodite et du muscle
extenseur de la base (non du fléchisseur).
Les pattes qui touchent simultanément le sol constituent une unité,
et subissent les modifications de rythme dans le même sens. Le
contact avec le sol joue un rôle capital pour la coordination.
H. P.
304. — P. PORTIER. — Localisation de la sensibilité chez les In
sectes, et, en particulier, chez les Lépidoptères. — An. de Ph., VII,
1, 1931, p. 1-12.
Développement de la note dont il a été rendu compte précédem
ment [An. Ps., XXXI, p. 405) tendant à attribuer une sensibilité
consciente dans tous les ganglions de la chaîne chez les Insectes, en
sorte que cette sensibilité persiste après décapitation. H. P.
305. — H. M. EVANS. — A comparative study of the Brains in bri-
tish Cyprinoids in relation to their habits of feeding, with special
reference to the anatomy of the Medulla oblongata [Etude comparée
des cerveaux des Cyprinides britanniques en rapport avec leurs mœurs
1. Voir aussi les n°» 100, 101, 109, 125. 142, 143, 149, 150. PSYCHOLOGIE ZOOLOGIQUE ET BIOLOGIE 349
alimentaires, avec examen particulier de Vanatomie du bulbe). —
Ps. of R. S., B., CVIII, 757, 1931, p. 233-257.
Les Cyprinides britanniques se divisent en trois groupes d'après la
morphologie du cerveau postérieur.
1° Chez les mangeurs de vase dont ils extraient les substances al
imentaires, carpe, brème, carassin, les lobes du Vague sont très volu
mineux ;
2° Chez les Leuciscus (chevaines), Rutilus (gardons), Scardinius,
prenant la mouche, guidés par la vue, les lobes du Vague sont petits
ainsi que le lobe du facial. ;
3° Enfin le lobe facial est volumineux chez les poissons possédant
des barbillons (innervés par le facial) et cherchant la nourriture au
milieu du sable et du gravier, comme le goujon, le barbeau, la tanche
(qui a aussi de grands lobes du vague, ainsi que la loche, Nemachilus
barbatulus). y H. P.
306. — ANNA HACKER. - Zur Physiologie des Reptilienklein
hirnes [Sur la physiologie du cervelet des Reptiles). — Z. für ver.
Ph., XV, 4, 1931, p. 679-691.
Expériences d'extirpation du cervelet du lézard vert Lacerta viridis
et de l'Orvet Ophisaurus apus, avec observation d'atonie et d'incoor
dination consécutive, surtout nette chez le lézard. Les figures i
ndiquent dans les mouvements de marche une dysmétrie notable.
L'auteur conclut que le cervelet est un organe important pour le
sens musculaire, conclusion qui n'est pas nécessairement impliquée
par les faits observés, qui établissent le rôle régulateur du cervelet
dans la motricité des Reptiles, comme des Vertébrés supérieurs.
H. P.
307. — J. C. NUSSMANN. — Further observations on the influence
of transplanted eyes on the development of spinal nerves in Amblys-
toma punctatum (Nouvelles observations relatives à V influence des
yeux transplantés sur le développement des nerfs spinaux chez A. p.).
— J. .of exp. Z., LVIII, 1931, p. 21-30.
Dans 25 cas l'auteur a greffé la vésicule optique d'un embryon à la
place de l'ébauche présomptive de la patte antérieure d'un autre.
Dans ce cas les nerfs du plexus brachial se dirigeant vers le greffon
n'y pénètrent pas, le contournent et vont se perdre dans les tissus
périphériques, et le nombre des neurones des ganglions correspon
dants est réduit de moitié tout comme s'il y avait eu suppression
pure et simple de l'ébauche de patte : l'œil greffé ne constitue donc
pas un stimulus périphérique efficace (tandis que la régénération
de la patte réalise la stimulation nécessaire pour rétablir le nombre
normal de cellules ganglionnaires).
Les potentialités d'innervation seraient limitées par une certaine
capacité sélective des nerfs, la sélectivité étant de nature galvano-
tropique plutôt que chimiotropique, d'après l'auteur. H. P.
308. - D. RICHARDSON. - Effects of heteroplastic transplantat
ion of the ear in Amblystoma (Effets de la transplantation hétéro- 350 ANALYSES BIBLIOGRAPHIQUES
plastique de Voreille chez A.). - Pr. of S. exp. B., XXVIII, 193i,
p. 998.
L'auteur a greffé la plaque auditive de V Àmblystoma tigrinum à VA.
punctatum et réciproquement ; or la première espèce a un appareil
auditif plus développé que la seconde. Le résultat est, dans les deux
cas, le développement d'un appareil intermédiaire, avec modifications
corrélatives dans le ganglion acoustique, où les cellules nerveuses
deviennent plus nombreuses chez A. punctatum, moins chez A. tigr
inum. H. P.
309. — L. HALIK. — lieber die rhytmischen Bewegungen der in
Bernsteinschnecken parasitierenden Sporozystenchläuche Von Leu-
cochloridium macrostomum Rud {Sur les mouvements rythmiques
des tubes sporokystiques de L. m. parasitant le limaçon de l'ambre).
— Z. für ver. Ph., XIV, 3, 1931, p. 462-478.
L'auteur ayant trouvé un Succinea putris L. porteur de 4 sacs
tubulaires de Leucochloridium, a étudié les curieux mouvements
rythmiques qu'ils présentent et qui, ressemblant à ceux de larves
d'Insectes, ont été interprétés comme destinés à attirer les oiseaux
chasseurs de ces larves, d'où un moyen de dispersion : Mimétisme
pour être mangé, et non plus protégé ; le cas est original !
Quoi qu'il en soit de l'interprétation finaliste de Siebold, acceptée
par l'auteur, l'étude consciencieuse de celui-ci a mis en évidence les
facteurs influençant ces mouvements (distingués en « péristaltiques »
pendulaires, et rythmiques ou pulsatoires, ces derniers ressemblant
à ceux de larves d'insectes).
Les mouvements se produisent dans les tubes sortant de la coquille
uniquement pendant les jours clairs (restant immobiles et rentrant
dans le corps le soir, pour toute la nuit). La lumière est le facteur en
jeu (en l'absence d'organes récepteurs spécialisés), le minimum d'éclai-
rement nécessaire pour provoquer les mouvements étant de 11,9 lux,
et les rayons efficaces étant les rayons bleus et violets. H. P.
310. — H. KALMUS. — Bewegungsstudien an den Larven von
Sabellaria spinulosa Leuck (Etudes de mouvements sur les larves de
S. sp.). - Z. für ver. Ph., XV, 1, 1931, p. 164-192.
Ces larves d'annélides (au stade Métatrochophora) présentent des
mouvements de natation par battements ciliaires et une espèce de
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