Jean Claude Albert ALLAMELLE. Jca.allamelle@quinternaire.com Chercheur indépendant. Analyste en scientificité des savoirs. Profession de foi du premier analyste en scientificité. Etant, pour ainsi dire, le premier intervenant analyste en scientificité de l’espèce, il serait bien plus pratique de présenter cette fonction, ou plus précisément ce savoir‐faire de la synthèse des savoirs, par cette profession de foi : « Je me désigne comme Intervenant Analyste en Scientificité des Savoirs et comme Historien de la Vie. Ces métiers ou fonctions n’existent pas. Je devrais dire n’existaient pas. Ainsi, en pratiquant l’exploration scientifique, je ne porte préjudice à personne et ne fait de concurrence à quiconque. Je ne suis donc pas un usurpateur de titres, ni de diplômes, et encore moins un praticien illégal de quelque activité que ce soit. Effectivement, je ne fais pas de recherche scientifique à proprement parler, mais de l’investigation des sciences, théories et hypothèses, de la synthèse de savoirs et ce, afin de favoriser l’émergence d’une nouvelle norme de la connaissance : la connaissance architectonique. Cette connaissance architectonique étant seule à permettre de reconstituer l’histoire authentique de la vie. Déchiffrer les secrets de la Nature, les recoder sous forme d’équations et de logiciels ; mettre en lumière les archives cachées de la Vie, telles sont les missions que je me suis assignées ...
Jean Claude Albert ALLAMELLE.
Jca.allamelle@quinternaire.com
Chercheur indépendant.
Analyste en scientificité des savoirs.
Profession de foi du premier analyste en scientificité.
Etant, pour ainsi dire, le premier intervenant analyste en scientificité de l’espèce, il serait
bien plus pratique de présenter cette fonction, ou plus précisément ce savoir‐faire de la
synthèse des savoirs, par cette profession de foi : « Je me désigne comme Intervenant
Analyste en Scientificité des Savoirs et comme Historien de la Vie. Ces métiers ou fonctions
n’existent pas. Je devrais dire n’existaient pas. Ainsi, en pratiquant l’exploration scientifique,
je ne porte préjudice à personne et ne fait de concurrence à quiconque. Je ne suis donc pas
un usurpateur de titres, ni de diplômes, et encore moins un praticien illégal de quelque
activité que ce soit. Effectivement, je ne fais pas de recherche scientifique à proprement
parler, mais de l’investigation des sciences, théories et hypothèses, de la synthèse de savoirs
et ce, afin de favoriser l’émergence d’une nouvelle norme de la connaissance : la
connaissance architectonique. Cette connaissance architectonique étant seule à permettre
de reconstituer l’histoire authentique de la vie. Déchiffrer les secrets de la Nature, les
recoder sous forme d’équations et de logiciels ; mettre en lumière les archives cachées de la
Vie, telles sont les missions que je me suis assignées, en me lançant dans cette activité. Le
but final étant de constituer les bases de données de la connaissance architectonique ainsi
que le répertoire officiel des événements authentifiés de la Vie.
Aujourd’hui, nous savons tout, sur presque tout ; et à peu près rien, sur le Tout. Cela
pour dire qu’en dépit de l’incapacité de la connaissance paradigme à produire des savoirs
explicatifs performants, nous y disposons, dès à présent, de données suffisantes pour
connaître la fonctionnalité, le fonctionnement et la dynamique des objets de la Vie. C’est
pourquoi l’établissement de la connaissance architectonique passera, non point par la
recherche scientifique proprement dite, pas seulement devrais‐je dire, mais surtout par
l’investigation et la « synthétisation » des sciences, théories et hypothèses en vigueur, par le
réexamen approfondi des résultats d’expérimentations, par la reconsidération des données
d’observations issues de laboratoires, d’universités, d’organismes de recherche, etc. En
effet, il existe un formidable potentiel d’études et d’explications dans les productions
disponibles des sciences, théories, hypothèses existantes : publications, observations,
expérimentations. Force est de constater qu’aujourd’hui, l’exploration et surtout la
théorisation des essais et des résultats d’observations accumulés dans les multiples
spécialités n’est pas faite. Les données nouvelles ne sont quasiment pas analysées, quasiment pas explorées, quasiment pas interrogées, quasiment pas interprétées, pas classées, pas gérées, quasiment pas intégrées, quasiment pas
théorisées. Elles existent, un point c’est tout !
Le travail de l’intervenant analyste en scientificité n’a pas vocation à s’opposer à celui du
scientifique, ni du théoricien, ni de l’historien. Et, par extension, on ne pourra pas opposer
les activités de l’institution ACU‐Quinternaire à celles de toute autre organisation œuvrant
sur le traitement rationnel des sujets du questionnement de la vie. En effet, la connaissance
architectonique ne s’édifiera pas contre la connaissance paradigme ; la connaissance
architectonique, pour se construire, aura constamment à solliciter le concours des sciences,
théories, hypothèses existantes, donc issues de la paradigme, ainsi que l’appui
des technologies qu’elles génèrent ou qu’elles ont contribué à produire. Sans ces précieuses
données, point de possibilité d’analyses et donc de synthèses des savoirs. On peut faire la
synthèse d’un trop plein, pas celui d’un vide.
Le travail d’intervenant analyste en scientificité, au sein de l’ACU‐Quinternaire, sera
absolument nécessaire en vue d’alimenter le renouvellement des idées, d’initier des « idées
jeunes », de développer la compréhension des objets et des phénomènes ; au final, de
rendre la Nature de plus en plus intelligible.
Le travail d’intervenant analyste en scientificité est un travail de solitaire. Effectivement,
en groupe, toute l’énergie qui devra être consacrée à l’apprentissage de savoirs, à la
réflexion et à la synthèse, sera consommée par la résolution de conflits
domestiques (désaccords entre spécialistes pointus et souvent imbus). Le travail d’équipe
s’accomplira a posteriori : autour des épreuves de vérifications, c’est‐à‐dire dans
l’élaboration et la mise en œuvre des travaux de corroboration ou d’invalidation des
proposions. Corroboration et invalidation ne s’effectuant pas par des votes d’adhésion, mais
à partir d’expérimentations dûment effectuées et d’observations dûment théorisées ; à
l’issue de calculs simulant des données physiques interprétables et mesurables en matière
de « postdictions » (rétrospective), en matière de prédictions (prospective).
Scientifique n’est pas synonyme de compliqué, même si la science est un domaine
complexe. La connaissance n’est pas l’affaire des seuls scientifiques et décideurs. Les
sciences ne doivent pas constituer des prés carrés d’industriels ou des champs clos de
spécialistes. La architectonique s’efforcera de démythifier les savoirs, en
s’imposant de proposer des explications simplifiées à des questions qui le sont rarement ; et
de démystifier les objets de la vie par des représentations graphiques aussi élémentaires que
possible. La Nature a inventé des solutions complexes, elle est ingénieuse et efficace, mais
pas imaginative au point de créer, à l’infini, des options particulières et des combinaisons
capricieuses. Les hommes de science se montrent souvent débordants de créativité, au point
d’inventer une nature qui n’est plus « la Nature », mais qu’ils explorent néanmoins, rien que
pour faire « fonctionner » des sciences, théories, hypothèses approximatives. Certes, il faut
faire montre d’imagination pour décrypter les secrets de la Nature ; cela dit, en évitant que
cette imagination ne flamboie en conjectures.