Rôle du temps et tachistoscopie. Persistance et fusion. Images consécutives. Impressions de succession et de mouvement. Motricité oculaire - compte-rendu ; n°1 ; vol.32, pg 657-667
12 pages
Français

Rôle du temps et tachistoscopie. Persistance et fusion. Images consécutives. Impressions de succession et de mouvement. Motricité oculaire - compte-rendu ; n°1 ; vol.32, pg 657-667

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L'année psychologique - Année 1931 - Volume 32 - Numéro 1 - Pages 657-667
11 pages
Source : Persée ; Ministère de la jeunesse, de l’éducation nationale et de la recherche, Direction de l’enseignement supérieur, Sous-direction des bibliothèques et de la documentation.

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Publié le 01 janvier 1931
Nombre de lectures 20
Langue Français

Extrait

d) Rôle du temps et tachistoscopie. Persistance et fusion.
Images consécutives. Impressions de succession et de
mouvement. Motricité oculaire
In: L'année psychologique. 1931 vol. 32. pp. 657-667.
Citer ce document / Cite this document :
d) Rôle du temps et tachistoscopie. Persistance et fusion. Images consécutives. Impressions de succession et de mouvement.
Motricité oculaire. In: L'année psychologique. 1931 vol. 32. pp. 657-667.
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/psy_0003-5033_1931_num_32_1_5095,
.
ViStÜN. .MÖTklCiTE OCULÀitlÈ 65/
d) Rôle du temps et Tachistoscopie. Persistance et fusion. Images
consécutives. Impressions de succession et de mouvement. Motricité
oculaire 1.
1027. - FR. O. SMITH. - Measurement of the threshold of Flicker
(Mesure du seuil de papillotement). — Ps. Bul. (Am. Ps. Ass.),
XXVIII, 3, 1931, p. 231.
Description de la méthode, consistant en une fréquence fixe d'in
terruptions (de 8 par seconde), avec variation de l'éclairement pour
détermination du seuil de papillotement, l'éclairement qui correspond
au papillotement liminaire est ensuite comparé à un éclairement
stable. H. P.
1028. - H. R. DE SILVA et D. MC. L. PURDY. - The bearing
of the change in slope of critical frequency-illumination curves for
spectral light on the duplicity theory and the Ferry-Porter law
(Rapport du changement de pente des courbes de fréquence critique
avec éclairement par lumières spectrales avec la théorie de la duplicité
et la loi de Ferry- Porter). — Ps. Bul. (Am. Ps. Ass.), XXVIII, 9,
1931, p. 707-708.
Etude des fréquences critiques de papillotement avec 5 lumières
spectrales (650, 610, 580, 510 et 480 m;*) sur un champ de 1°, à des
distances données du point de fixation.
D'après la loi de Ferry-Porter sur la relation linéaire entre la fr
équence critique et l'éclairement, la variation de pente des droites
imposée par les données numériques est interprétée comme due au
passage des cônes aux bâtonnets)
Or, même dans la fovea, on constate une variation semblable
qui ne peut plus être interprétée de cette manière. En fait, la varia
tion des fréquences critiques n'est pas linéaire, mais a une allure
ogivale, et la loi de Ferry-Porter pas valable. H. P.
1029. - R. GRANIT et W. A. DAVIS. - Comparative studies on
the peripheral and central retina. IV. Temporal summation of su
bliminal visual stimuli and the time course of the excitatory after
effect (Etudes comparées ?ur la rétine périphérique et centrale. IV.
Sommation temporelle de stimuli visuels subliminaires et cours du
temps de T effet consécutif excitateur). — Am. J. of Ph., XGVIII,
1931, p. 644-653.
Les auteurs utilisent un faisceau lumineux de durée de 0.0113 se
conde, d'une intensité juste au-dessous du seuil absolu de la vision.
Quand ce faisceau est suivi d'un second faisceau subliminaire de durée
encore plus courte, le second faisceau s'ajoute à l'effet consécutif
du premier pour donner un effet visible. Plus court est l'intervalle
entre les deux faisceaux, et plus faible est la quantité (intensité X
durée) avec laquelle le deuxième faisceau subliminaire est capable
d'élever l'effet consécutif du premier à la valeur du seuil. P. B.
1. Voir aussi les n08 198-202, 442.
l'année psychologique, xxxii. 42 658 Analyses bibliographique^
1030. - R. GRANIT et E. L. HAMMOND. - Comparative studies
on the peripheral and central retina. V. The Sensätiön-time curve
and the time course of the fusion frequency of intermittent stimu
lation (Etudes comparées sur la rétine périphérique et centrale. V
Courbe sensation-temps et cours du tempi de h fréquence de fusion de
V excitation intermittente). — Am. J. of Ph., XCVIII, 1931.
p. 654-663.
Etude du développement de la fréquence de fusion en fonction
du temps d'exposition dans la vision centrale et périphérique avec
des aires de 1° et 3Ö. La fréquence de fusion augmente tout d'abord
très rapidement, puis lentement avec le temps d'exposition. Plus
l'intensité est élevée, plus l'élévation est rapide et plus long le temps
vers le maximum. L'augmentation de l'aire modifie le cours dû
temps de la fréquence de fusion comme le fait une augmentation
d'intensité et comme le déplacement d'une grande aire vers la péri
phérie (à 10°). La courbe montrant le développement de la sensation
de brillance a été obtenue dans des conditions identiques à celles
utilisées pour mesurer le cours du temps de la fréquence critique.
Ces deux fonctions sont cependant différentes. P. B.
1031. - C.-H. GRAHAM et R. GRANIT. - Comparative studies
on the peripheral and central retina. VI. Inhibition, summation,
and synchronization of impulses in the retina (Etudes comparées
de la rétine périphérique et centrale. VI. sommation, et
synchronisation des impulsions dans la rétine). — Am. J. of Ph.,
XCViïI, 1931, p. 664-673.
On sait que les fréquences critiques de papillo terrien t s'élèvent
avec le niveau de brillance. Les auteurs ont utilisé cette fréquence de
fusion pour étudier les interactions rétiniennes.
Quand deux surfaces voisines (demi-cercles adjacents) sont éclai
rées par des flux intermittents, si la brillance est égale et les interrup
tions synchrones, la fréquence critique s'élève (effet de sommation),
davantage que par action d'une surface voisine stable d'apparence
isolumineuse (la synchronisation paraissant favoriser l'interaction,
aux yeux des auteurs).
Quand les deux plages ne sont pas isolumineuses, on note des
effets de contraste attribués à une inhibition (abaissement de la fr
équence critique de la plage plus sombre et élévation de celle de la
plus claire) : Cette inhibition, très notable dans la fovéa, arrive à ne se manifester à la périphérie, où prédominent les effets de som
mation. . H. P.
1032. — B. BOURDON. — Le cinématographe et la persistance des
impressions lumineuses. — J. de Ps., XXVlIl, 1931, p. 470-472.
Expériences établissant que la persistance des impressions lumi
neuses est tout au plus la condition nécessaire, mais non suffisante
de l'illusion cinématoscopique. G.-H. L.
1033. — H. SCHAEFER. — TJeber rhythmische optische Erscheinun
gen and ihre individuellen Eigentümlichkeiten (Sur les processus VISION. MOTRICITÉ OCULAIRE 659
Optiques rythmiques et leurs particularités individuelles). — Z. für
Sin., LXII, 1, 1931, p. 1-37.
Recherches dirigées par Ebbëcke, et imprégnées de préoccupations
théoriques complexes.
Sur 22 sujets ont été mesurées un assez grand nombre de fois lès
durées de périodes pour des images consécutives présentant les alte
rnances connues, pour des apparences opposées de perspective réver
sible avec le cube de Neckér, et pour des prédominances d'un champ
visuel ou d'un autre dans la lutte d'images antagonistes en vision
stéréoscopique (2 pièces de monnaie a effigie, l'une d'Ebert et l'autre
d'Hindenburg)
Les données montrent que l'action de la volonté, comme de la
fatigue et des émotions, s'exerce sur les rythmes de ces processus
périodiques, du moins des deux derniers, l'alternance des images
consécutives soustraite à l'influence volontaire étant seulement
accélérée par la fatigue.
D'autre part, il se manifeste des types individuels invariables dans
les deux caractéristiques, qui sont la durée propre de la période, et le
rapport des phases (4 types distingués suivant les degrés extrêmes
de stabilité des deux caractéristiques) . Les considérations théoriques
invoquent des jeux d'inhibitions réciproques rapprochés des inner
vations réciproques, jeux qui s'exercent à des niveaux plus ou
moins élevés, le niveau cortical correspondant aux processus psy
chologiques.
L'alternance des perspectives réversibles, la plus influencée par
les représentations, correspondrait au niveau le plus élevé ; c'est
elle qui a le rythme le plus lent ; le rythme s'accélérerait aux niveaux
moins élevés (d'où l'influence dé la fatigue — ce qui impliquerait
une migration bien singulière des processus dans les centres ne
rveux—).
Les alternances d'images consécutives, qui se montrent aberrantes
au point de vue des conditions efficientes, se rapprocher

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