SuCCèS reCord pour Sudek CHez SoTHeBy'S

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SuCCèS reCord pour Sudek CHez SoTHeBy'S

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• Publié par: ygocefok
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• Langue: Français
• Poids de l'ouvrage: 1 Mo

Extrait

20 novembre 2010 / une ÉdiTion SpÉCiaLe journaLière pour pariS pHoTo par arTinFo FranCe pour LeS inForMaTionS LeS pLuS rèCenTeS Sur L’arT danS Le Monde, viSiTez Fr.arTinFo.CoM SuCCèS reCord pour eM FÉMiniS HopÉS  eT  SHpToSoeoCiLre Sudek CHez SoTHeBy’S d  eqneu  n aB eie  ÉeSdonn  duur vLa: L peeMn va Chez Flatland, le matre du virtuel présente par nicolai Hartvig payés lors du dernier record aux relieur et soldat de l’armée austro- une seconde version de sa photo de classe enchresde Sudek, établi chez Sotheb ’ hongroise, est alors devenu la vedette revue par photoshop. “generation #2” y s deux records monumentaux ont coupé  new york en 2007. aussi impression- imbattable de cette vente. Les 7 lots regroupe une trentaine d’écoliers noirs, le souffle des enchérisseurs chez nant, le tirage “Sans Titre ( vase et rose de l’artiste ont été vendus pour au tous issus de la base de données Teresa gierzynska, ‘untitled’, 1974 © Teresa Sotheby s hier, mettant le photographe Morte)” a été vendu  190 000 euros, sur moins le double de leurs estimations personnelle de van empel. Classant les gierzynska, courtesy Czarna gallery ’ tchque josef Sudek  la tête d’une vente une estimation haute de 18 000 euros. hautes, de 11 000 euros pour “Étude corps comme les choses ou les végétaux, dépasser le tirage argentique, pour aux grands noms tels richard avedon d’arbre” de 1960 aux fameux records. il isole,  partir d’une premire série investir de nouvelles technologies, ou et ansel adams. aux tombées du marteau, l’audience Les œuvres provenaient de la collection photo, des morceaux de corps, afin de au contraire retourner vers des pratiques a bien applaudit l’enchérisseur des du photographe et curateur vladimir recréer des personnages surréels,  la « achéologiques ». plus que tout autre, le “Sans Titre (Étude de nature-Morte)” de deux œuvres, un agent prenant ses Birgus et de Hana eliášová, qui avait netteté confondante. Chaque visage comporte média photo aura été décortiqué tout au 1952 est parti pour 250 000 euros, plus instructions par téléphone mobile, en reçu ses tirages de Sudek en personne. les parties de plusieurs autres, tandis que long de son processus, de la chimie  la de dix fois son estimation haute et quatre solitaire au fond de la salle - qui s’est dans leur sillage, un Bill Brandt et un l’habillement provient d’échantillons numérisation, jusqu’ la dégradation. paris fois les 95 000 dollars (70 000 euros) rapidement esquivé. Sudek, l’ancien “Tuileries (paris) de 1963 de andré vintage commémorant la jeunesse du photo 2010 livre son lot d’expérimentations et kertész sont restés invendus. photographe. van empel rejoue les artefacts de pieds-de-nez. par exemple, les collages laissés par la société ou l’histoire de l’art, et de ion Barladeanu, éxécutés comme des La magnifique photo d’affiche puzzle les adapte au corps humain. il avait déj cadavres-exquis, iconographient les “erotik - ganz gross!” de Heinz Hajek- composé des natures mortes  la nostalgie seventies. Sur le stand Czarna ( varsovie), Halke  trouvé acquéreur pour 28 000 kitsch. ici, il donne une tournure plus sensible Teresa gierzynska réimprime les beautés euros et le “portrait de l’Éternel” du  cette recherche, mais joue toujours et glacées des revues occidentales sur du mexicain Manuel alverez Bravo - encore sur la notion de vraisemblance. papier, de la tôle d’aluminium ou de la cité comme la plus belle œuvre par une œuvre équivoque qui plat beaucoup : 4 pierre, nimbant ces « modles » d’une aura plusieurs des enchérisseurs - est exemplaires  50 000 euros sont vendus. - gp presque effacée. dans un contexte politique parti pour 190 000 euros. trs dur, la jeune artiste, se déclarant TereSa gierzynSka : un photographe  12 ans, n’a cessé de composer La vente offrait aussi un petit avant- FÉMiniSMe ÉTHÉrÉ des images au féminisme élégiaque, qui gout de l’événement richard avedon depuis la deuxime moitié du xxme sicle, poétisent les stéréotypes, tout en leur qui se tient chez Christie’s aujourd’hui. la photographie contemporaine a cherché  conférant une salutaire distance. - gp L’imposant et fameux portrait demi-nu de Stephanie Seymour a été vendu pour 80 000 euros, sur une estimation basse de 100 000 euros. Stephanie Seymour par richard a vedon photo : nicolai Hartvig L’iMage du MoMenT, Le Livre de L’HiSToire ruud van empel, ‘génération’, 2010© rudd van empel, courtesy Flatland gallery par juliette Soulez davantage en termes de livres que d’expositions. Les livres de L’oeuvre du jour a paris photo, av l’ emble des signatures de livres de photographes publiés dans ces années permettent avec le plus ec ens grands photographes, c’est aussi l’occasion de revenir sur le de justesse de se représenter leurs intentions  l’époque parce Trine Søndergaard, S Trude et sa histoire agraire, dévoilant une succs que connat le livre de photographies aujourd’hui. qu’ils étaient impliqués dans la processus de fabrication de leur aprs l’interdiction du port du voile en simplicité et sobriété de vie essentielle  « Le livre de photographies est un intermédiaire entre la presse livre », explique Harper Levine, le directeur de la librairie new- France, les galeries Bruce Silverstein et l’identité danoise. - n H et le tirage de collection. un des avenirs les plus concrets de la yorkaise de livres rares Harper’s Books. Martin asbæk ont l’heureuse coïnci - photographie contemporaine, c’est le papier », confie le directeur dence de présenter la série “Strude” de général de la galerie vu’, xavier Soule. Le livre se révle comme Mais pour les libraires, un livre ne peut cependant pas se la photographe danoise Trine Snder - un troisime objet, démocratique et accessible au plus grand comparer  une exposition de photographies. « Les paramtres gaard. dans un reportage portrait  la nombre de nos jours. et l’on pourrait  l’instar de patrick remy, sont différents pour la bibliophilie », note Tissato nakahara, la Lucas Cranach, Sndergaard fixe les l’un des éditeurs de Steidl, citer Cartier Bresson : « La photogra - directrice de la librairie de livres rares parisienne Books & prints. filles et femmes de la petite le scandi - phie se regarde dans les livres, pas sur les murs ». et antoine de Beaupré, de la librairie de livres rares galerie 213, nave Fan, portant les habits tradition - d’ajouter : « Le livre de photographies n’a pas de frontire et nels qui servent  protéger leurs dans les années 1970, le marché de l’art ne s’intéressait pas demeure pérenne, alors que l’exposition est temporaire. Cela visages contre le froid glacial des vents encore  la photographie. Le livre était pour les photographes fait 20 ans que le livre intéresse les collectionneurs et certains océaniques. autant que leurs vêtements, une des issues possibles pour diffuser leur travail. « Lorsque ouvrages ont aussi beaucoup aidé le marché de la photographie les filles de Fan paraissent comme un Trine Sndergaard, ‘Strude’ au stand de , les photographes voulaient montrer leurs œuvres, ils pensaient  se développer ». lien vivant entre le d anemark moderne Bruce Silverstein photo : nicolai Hartvig

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