Une course aux armements languissante mais meurtrière
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Une course aux armements languissante mais meurtrière Waheguru Pal Singh I  D S HU L ldAIénsgideée n méerté erlrie d eiPota nckaiolsne 1 t. da eunCisertt et peàr  iasucenc eud acmnousnl farutoinonent ,a ctqioouuinr  siinent veaorulvoxi entanarti mrdeea nmmse alinest ss  mdlaeonumrgtauriiinèsresesa  nentnuet crlqeéu alii ar peC oehuitrnraei, conventionnel, est particulièrement marquée au niveau des armes nucléaires et de leurs vecteurs notamment des missiles. Depuis la fin de la guerre froide, la Chine, l’Inde et le Pakistan ont mis au point et testé plus d missiles balistiques que n’importe quelle autre région au monde. Même s’il est difficile de connaître détails et le nombre de ces essais en raison de l’absence de toute notification officielle, il ressort certaines estimations fondées sur les rapports des médias que ces trois pays auraient mis au poin moins une demi-douzaine de types de missiles et auraient testé plus de 50 missiles à capacité nuclé depuis le milieu des années 90, améliorant ainsi leurs stocks de missiles sur les plans quantitati qualitat 2 i.f Si ces tests n’équivalent qu’à une fraction des essais réalisés par les deux superpuissance plus fort de la guerre froide, ils ont toutefois une signification importante vu le rythme actuel des es réalisés ailleurs. Une raison évidente pour expliquer ce rythme est le fait que l’Inde et le Pakistan commencen tout juste à multiplier leurs missiles pour passer de zéro à ce qu’ils estiment être un niveau crédible. la même manière, la Chine, qui dispose déjà d’un stock de missiles important, est en train de moderni son arsenal de missiles pour rattraper ceux des quatre autres puissances officiellement dotées d’ar nucléaires. Il enmpêche que, à lexception des « essais » agressifs réalisés par la Chine lors de la cri de Taiwan en 1996, jusquà présent ni lInde ni le Poankits t«a un tinlisé » de missiles balistiques dans le cadre d’un conflit. Il n’en reste pas moins que l’écart entre les forces classiques de l’Inde et Pakistan, la doctrine tacite d’Islamabad en matière de recours rapide et en premier à la force nucléa la doctrine de guerre classique limitée de New Delhi, et le double rôle (autrement dit classique nucléaire) des missiles selon ces deux pays sont autant de raisons de penser que ces missiles puis être utilisés lors d’un affrontement entre l’Inde et le Pakistan avec des conséquences imprévisible Par rapport à la course qui opposa, en raison du « missile gap » (prétendu retard balistiqu américain), les États-Unis et l’Union soviétique à la fin des années 50 et au début des années 6 dans un contexte bilatéral admis par les deux pays, celle qui se joue aujourd’hui entre la Chine, l’In et le Pakistan est nettement plus complexe. Premièrement, aucun des pays d’Asie méridionale invoqué un éventuel retard par rapport aux autres. Ils démentent d’ailleurs tous avec véhémen s’être engagés dans une course pour rattraper les capacités croissantes des autres. En fait, ils affir tous officiellement que leurs efforts dans le domaine du nucléaire et des missiles visent simpleme leur assurer une capacité minimale de dissuasion. Deuxièmement, même lorsque Beijing, Islamab Waheguru Pal Singh Si  dehstu Senior Associate auprès de lInternational Peace Academy, New York.
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