Le guide d achat du chiot
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Le guide d'achat du chiot

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Description

Acquérir un chiot, quelle que soit la race, vous engage pour 10 à 15 ans. Vous ne devez pas le faire sur un coup de tête. Réfléchissez à ce que vous allez lui proposer comme existence
et ne vous créez pas de complications. A quelle période accueillir votre nouveau petit compagnon? : Avant de l’éduquer et l’humaniser, laissez le s’identifier à son espèce de façon stable et irréversible : cette épisode s’étale jusqu’à l’âge de 3 semaines. Au cours de la 5ème semaine de vie, le jeune chien apprend à contrôler sa morsure au travers des jeux: sa mère se défend et le punit lors qu’il pince trop fort. Cet apprentissage
est indispensable pour avoir un compagnon maître de ses élans, lorsqu’il jouera avec vous en particulier. Le meilleur âge pour accueillir le jeune est 7 à 8 semaines. Le sevrage est terminé et
l’éducation est encore possible. Si le chiot vous est donné, il faut se renseigner sur ses conditions de vie antérieures, S’il est
déjà grand, renseignez vous pour savoir pourquoi son précédent maître s’en sépare.

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Publié le 05 août 2011
Nombre de lectures 110
Langue Français

Extrait

Le guide d’achat du chiot
Un heureux événement qui se prépare
Acquérir un chiot, quelle que soit la race, vous engage pour 10 à 15 ans. Vous ne devez pas
le faire sur un coup de tête. Réfléchissez à ce que vous allez lui proposer comme existence
et ne vous créez pas de complications.
A quelle période accueillir votre nouveau petit compagnon?
:
Avant de l’éduquer et l’humaniser, laissez le s’identifier à son espèce de façon stable et
irréversible : cette épisode s’étale jusqu’à l’âge de 3 semaines.
Au cours de la 5ème semaine de vie, le jeune chien apprend
à contrôler sa morsure au
travers des jeux: sa mère se défend et le punit lors qu’il pince trop fort. Cet apprentissage
est indispensable pour avoir un compagnon maître de ses élans, lorsqu’il jouera avec vous en
particulier.
Le meilleur âge pour accueillir le jeune est 7 à 8 semaines. Le sevrage est terminé et
l’éducation est encore possible.
Si le chiot vous est donné, il faut se renseigner sur ses conditions de vie antérieures, S’il est
déjà grand, renseignez vous pour savoir pourquoi son précédent maître s’en sépare.
Le choix de la race :
Un bon conseil est d’éviter, dans la mesure du possible, de choisir une race trop à la mode.
La demande crée l’offre et les portées se succèdent sans parfois beaucoup d’attention
accordée aux problèmes de consanguinité.
Chaque race a sa personnalité et tout jeune chien peut devenir « délinquant » s’il est mal
éduqué ou si ses caractéristiques ne conviennent pas à vos attentes.
Les petites races demandent une affection et une attention plus continues, avec beaucoup
d’amour. Ils conviennent pour les recherches de contacts, de compagnie permanente. Ils
sont plus adaptés aux conditions de vie urbaines.
Les grandes et moyennes races demandent une approche plus technique, avec beaucoup
plus d’autorité. Ils donnent en retour de la complicité et de l’obéissance. Ils ont besoin de
leur moment de solitude et de beaucoup d’espace pour leur exercice. Ils conviennent à des
fins utilitaires, pour une famille, pour des enfants en bas âge s’il s’agit de gros toutous bien
paisible.
Ne prenez pas un chien à poils longs si vous avez peu de temps pour le toilettage régulier.
Pour éviter toute erreur sur la race, renseignez-vous auprès des clubs de race, dans les
journaux spécialisés, lors de concours canins,
ou bien auprès des éleveurs pour connaître le
profil. Seule mention « inscrit au LOF » (livre des origines françaises) vous garantira le label
« pure race ». Un chien ne sera pas plus ou moins « intelligent » parce qu’il est de race pure
ou un savant mélange de la Nature !
Au moment du choix, chez l’éleveur :
Une fois sur place, il est mieux de se renseigner sur les parents du chiot : ont-ils participé à
des concours (de beauté ou de travail) ? ont-ils subi des examens de dépistage des tares
héréditaires ?
Faites vous présenter la mère pour cerner son caractère, qui n’aura pas manqué d’influencer
celui du petit !
Choisissez l’individu curieux, qui vient vers vous, pas celui à part dans un coin, trop mignon
parce qu’il est tristounet, et encore moins celui qui fuit devant vous !....
Refusez tout chiot non sevré, sans ses premiers vaccins.
Lors du contrat de vente, il est utile de préciser un nom du vétérinaire qui sera le référent
au cas où un problème de santé surviendrait. Certaines maladies ou anomalies, si elles sont
prouvées, peuvent en effet annuler la vente, avec obligation de reprendre l’animal par le
vendeur.
Pour être confiant sur sa santé :
Le chiot devra être vif, confiant et joueur. Son ventre doit être souple, pas trop ballonné.
Les yeux doivent être clairs, sans larmoiement. Le nez doit être humide sans couler. Le poil
doit être brillant.
Pour sa santé, évitez autant que possible de lui faire rencontrer des congénères (ou même
de le faire sortir) avant sa primo - vaccination (2 mois au plus tôt) et son identification
(tatouage ou puce électronique).
Pour son premier voyage :
Convenez avec l’éleveur d’une heure de passage pour qu’il évite de nourrir le chiot juste
avant la voiture.
Si vous l’emmenez le matin, le chiot aura plus de temps pour s’habituer à son nouvel
environnement.
Allez avec quelqu’un qui pourra surveiller le jeune animal dans la voiture. Prévoyez une laisse
auto pour votre sécurité (et la sienne !) lors du retour.
Les règles du jeu pour une bonne installation !
A votre arrivée, laissez le s’approprier de son nouvel habitat, en reniflant les odeurs, sans
l’accaparer de caresses, de cris ou d’embrassades. Chaque chose en son temps ! Expliquez
aux enfants.
Si vous décidez de changer son alimentation, faites le doucement par étapes sur 15 jours.
Rassurez-le s’il ne mange pas bien à son arrivée : le changement peut le déstabiliser et lui
faire bouder la nourriture au départ.
Il devra manger à part et après vous. Ne commencez pas à lui donner de la nourriture à
table. Il n’aimerait pas que vous veniez quémander pendant qu’il mange, c’est pareil pour
vous.
Choisissez bien et présentez lui les pièces autorisées dés le début, la cuisine de préférence.
Offrez-lui un coin bien à lui, avec sa corbeille munie d’un coussin.
La première nuit, ne cédez pas à la tentation de le faire dormir avec vous, mais laissez le
dans la zone que vous avez choisi. S’il gémit, laissez-le : c’est un peu pénible les premières
nuits. Si vous cédez de temps en temps en vous relevant pour lui donner de l’attention (jeu,
câlin ou nourriture) ou le gronder, vous renforcerez involontairement le comportement.
A terme, les chambres à coucher et les fauteuils doivent être interdits.
Aménagez lui une zone de propreté, avec un papier journal pour les premières nuits.
Privilégiez les sorties juste après les repas, ou dès que vous le voyez explorer assidûment
son environnement. Sortez le au moins 3 à 4 fois par jour, même si le temps se s’y prête
pas ! Dès qu’il fait ses besoins, récompensez le, mais ne rentrez pas tout de suite chez vous
(sans quoi il va apprendre à se retenir indéfiniment pour pouvoir rallonger le temps de
sortie : il est bien malin !).
Pensez à lui laisser des jeux pour l’occuper et lui éviter de s’en prendre à des objets
indésirables.
Les premières punitions
(qui se donnent toujours dans les secondes qui suivent
l’infraction !) ne
doivent pas être suivis de consolation par un des membres de la famille.
Afin de tester votre autorité dès le début, soulevez le chiot par la peau du cou ou par le
thorax si c’est une grande race : il doit rester calme et immobile. S’il se débat, il n’a pas
compris que c’était vous le chef : secouez le légèrement et maintenez le au sol jusqu’à ce
qu’il se soumette. Répétez plusieurs fois la manoeuvre si nécessaire et surtout félicitez le dès
que vous avez obtenu l’immobilité complète.
Donnez-lui un nom court, qu’il reconnaîtra facilement. Pensez à l’identifier par un collier
portant ses coordonnées, sans oublier son tatouage (normalement, l’éleveur doit l’avoir fait,
avec les primo-vaccinations !). N’oubliez pas qu’il va grandir et que vous devez pouvoir
toujours passer deux doigts entre la peau du cou et son collier.
Sachez enfin que votre responsabilité civile est engagée en cas de morsure ou dégâts
occasionnées par votre jeune ami. Vérifiez le cas échéant auprès de votre assureur.
Si ces recommandations vous semblent contraignantes, réfléchissez encore un peu car votre
nouveau compagnon va s’attacher très vite. Il sera très malheureux si vous renoncez après
coup !
Si vous avez des questions supplémentaires, n’hésitez pas à contacter votre conseillez husse
directement, le n° vert au 0 800 360 350 ou www.husse.com.
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