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L’oeuvre d’art entre le mythe et la réalitéDr.Mohamed SellamUniversité du 7 avril Zawiya (Libye)Le mythe n’est pas seulement un phénomène sociologique,mais il est aussi un ph énomènepsychologique et en premier lieu psychanalytique étroitement lié à la créativité et à l a productiondes oeuvres d’art.....le mythe est un stimulant intellectuel,un stimulant de l’écriture romanesque e t mêmephilosophique,une force mystique ,latente,enfin une énergie créatrice qui avait longtempsaliéné,hanté l’esprit de tous les siécles et de façon toute particulière le XVIIIeEn ce siécle florissant,du moins sur le plan intellectuel et seulement pour une caté gorie de lasociété...c’est le mythe de la réforme ,d’une réforme radicale,d’une réforme soc iale,religieuse,etpolitique,né ainsi d’instinct dans un monde encore clos,oû le riche écrase impuné ment lepauvre,oû les inégalités sociales s’accentuent de jour en jour ,pour être codifiées e n des lois,unmonde enfin oû l’ignorance,le mépris et la méconnaissance de l’ autre,lasuperstition,l’indifférence, l’oppression,les préjugés sous toutes ses formes, obsèdent le s esprits etsont affichés comme le credo,le symbole de grandeur et de puissance.C’est de là que doit se développer le mythe ..c’est d’une telle situation que le mythe prendcorps,s’organise progressivement pour se convertir au bout du compte en réalité vécue...

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Publié le 14 février 2012
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Langue Français

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L’oeuvre d’artentre le mythe et la réalité Dr.Mohamed Sellam Université du 7 avrilZawiya (Libye)
Le mythe n’est pas seulement un phénomène sociologique,maisil est aussi un phénomène psychologique et en premier lieu psychanalytique étroitement lié à la créativité et à la production des oeuvres d’art.....
le mythe est un stimulant intellectuel,un stimulant de l’écriture romanesque et même philosophique,une force mystique ,latente,enfin une énergie créatricequi avait longtemps aliéné,hanté l’espritde tous les siécles etde façon toute particulière le XVIIIe
En ce siécle florissant,du moins sur le plan intellectuel et seulement pour une catégorie de la société...c’est le mythe de la réforme ,d’une réforme radicale,d’une réforme sociale,religieuse,et politique,né ainsid’instinct dans un monde encore clos,oû le riche écrase impunément le pauvre,oû les inégalités socialess’accentuent de jour en jour ,pour être codifiées en des lois,un monde enfin oû l’ignorance,le mépris et la méconnaissance de l’autre,la superstition,l’indifférence, l’oppression,les préjugés sous toutes ses formes, obsèdent les esprits et sont affichés comme le credo,le symbole de grandeur et de puissance.
C’est de là que doit se développer le mythe ..c’est d’une telle situation que le mythe prend corps,s’organise progressivementpour se convertir au bout du compte en réalité vécue... Car,en principe,le mythe est vraisemblablement issu d’une réalité inconsciente,immanente,pour entrer ensuite dans l’univers de l’écriture qui s’en saisit pour en faire une vision cosmique,profondément ancrée dans l’inconscient des peuples... Une amulette,un gris-gris,un minuscule anneau en bois,une sorte de fétiche insignifiant ,une figure quelconque,formée et façonnée accidentellement par la nature,tout cela représentepour l’individu primitif le mythe éternel de lavie et de la mort...c’est une superstition morbide,ancrée dans les traditions ancestrales,véhiculées par des générations successives pour être transposée enfin dans le monde moderne... D’autre part,si l’on remonte un peu dans le temps,l’on constate que le mythe fait partie intégrante de la vie des sociétés primitives...Pour l’individu primitifen effet le mythe est attaché à chaque objet qu’il perçoit,le mythe vit en luiet lui il vit dans le mythe...
Or,le plus frappant dans tout cela,c’est que le mythe ,au lieu d’être une image mentale temporaire,se révèle au contraire,une source de vie éternelle,une puissance vivante que rien n’entrave et qui continue perpétuellement à hanter les esprits de tous les temps,qu’ils soient philosophes,écrivains illustres ou même gens du peuple.... ainsi,le mythe quiétait initialementlié au comportement psychique de l’homme primitif,s’est transmis de nos jours dans l’homme moderne qui semble trouver dans le mytheune sortede phénomène d’ivresse et d’extase..seul catalyseur de création qui promet le bonheur terrestre et l’immortalité..... C’est alors que l’homme moderne,qui a percé la plupart des mystères de la nature,qui a brisé les frontières de l’impossible en matière scientifique,sondé l’insondable, semble paradoxalements’accrocher étroitementà cette puissance occulte...
C’est probablement parce qu’il cultive intelligemment le mythe dans son acception la plus large que l’homme moderne est parvenu au stade de surhomme....Et là nous abordons un autre mythe,le mythe des temps contemporains,le mythe de l’homme du xxe siécle,le mythe de l’homme nouveau,celui qui a déclenché la iere et la 2e guerre mondiale,le mythe enfin de l’homme qui s’est volontairement immolé sur l’autel de l’ambition et de la vanité..... Pour lui,lemythe est une religion,une religion qui s’organiseautour d’un objetou d’une image matérielle d’une visionabstraite, obscure et vague.Chez l’individu primitif comme chez l’homme moderne,le mythe constitue un élément vital dans son existence... Pour l’artiste le mythe n’est plus seulement une religion ,mais bien davantage,le mythe c’est sa propre vie,c’est son âme,sa gloire,sa grandeur et même sa faiblesse C’est alors que,à travers l’oeuvre d’art,le mythe s’affranchit des scories de la décadence,pour s’élever à la plénitude et à la matérialisation de l’extase...
Ainsi,une oeuvre,de quelque nature qu’elle soit,est une oeuvre d’esprit, éclose à partir d’un mythe,qui git dans la conscience intime du créa teur ,mais qui,une fois produite et mise à la portée de la société,cette oeuvre se transforme à son tour en un mythe selon un processus naturel..mais un mythe différent de celui qui lui a donné primitivement naissance... Dès lors l’oeuvre ou le mythe trouve son chemin vers la consécration du réel...certes entre le réel et le mythe le chemin est long et complexe... Le mytheest liéà l’imaginaire et l’imaginaire peut relever de la psychanalyse ; ; En ce sens que,toute oeuvre d’art,de quelque dimension qu’elle soit,peut faire l’objet d’un examen psychanalytique... L’oeuvre d’un Van Gogh,d’un Dostoïevski,d’un Shakespeare ou mêmed’un J.J Rousseau ces oeuvres ne sont pas des oeuvresd’hommes normaux...ce sont en effet des oeuvres qui,soumises à l’examen,peuvent nous fournir des renseignementssingulièrement curieux...
D’abord,comme je venais de le signaler, toute oeuvreest à l’origine d’un mythe,un mythe qui tire sa substance de l’imaginaire et sa force d’un désordre mentalpassager ou permanentsubi par le créateur de l’oeuvre. Donc si le mythe se trouve aux antipodes de la réalité,l’esprit ou le génie créateur se trouve,quant à lui ,très près du mythe :car le génie s’ennourrit et ne peut s’en passer sans tomber dans la stérilité Que l’on songe à Racine,à Corneille,à Molière même,qui avaient tous largement puisé dans le fonds mythique....Ils s’étaient même emparés des mythes déjà amplement exploités,développés et traités pardes auteurs illustres tels que Sophocle,Euripide,Aristophane etc.... Ainsi,des écrivains classique,moderne et contemporain,eussent pu avoir trop de difficultés pour créer et mettre leur projet à exécution,s’ils n’avaient pas eu recours à l’usage systématique du mythe... Alors quel rapport entre le mythe et la psychanalyse?l’origine même du mythe -si je ne m’abuse-et d’ordre sociologique et psychanalytique et par suite, pour pouvoir déchiffrer ainsi ce phénomène mystérieux,la psychanalyse demeure le seul,presque l’unique recours... Sinon,comment pouvait-onappréhender le sensdu mythede Promethée,d’Oedipe ou du Juif Errant? Or,donc la psychanalyse dont les ressources sont désormais infinies, n’est plusqu’un outil au service du mythe :les Mille et une nuits est une oeuvreoû le mythe,allié à une perspective ludique,qui frise par moments le réalisme cru,demeure pour nous un réceptacle inépuisable oû les générations secomplaisent à trouver un moyen de distractionet de plaisir intellectuel infini... On savaitdéjà que c’est une mystification,une mystificationarbitraire,délibérée et pourtant ardemment désirée.... Pourtant ce qui domine derrière le mythe dans cette oeuvre et de façonquasi constante,c’est une assise psychanalytique qui se dégage de chaque ligne et de chaque scène.
Si l’oeuvre d’art se situe entre le mythe et le réel,comme on le conçoit bien,surtout lorsqu’on lit les « fleurs du mal » de Baudelaire,c’est que toute oeuvresuppose en soi une part de réel,mais une part assez dérisoire,en regard de la part du mythe qui s’y développe inconsidérément.. Le mythique absorbe l’esprit de l’artiste ;le mythique suscite en luiun univers dont lui même ne saurait définir les frontières...l’artiste s’égare ainsi dans ce mondeoû l’irréels’érige parfois en dogme et se fait cependant reconnaître comme réel,puisqu’il a un pouvoir d’agir inexorable et irrésistiblesur les esprits........ Le mythe dans l’oeuvre d’art agit au même degré que la propagande ou la publicité au sein de la société ...donc l’oeuvre d’art est faite de prime abord du mythique ou des idées d’essence mythique.. Rappelez-vous combien nous êtions passionnés par ces récits captivants qui relèvent de la mythologie grecque ! Nous en êtions grisés jusqu’à la satiété....nous croyions dans notre naïveté d’enfant innocent que tout ce qu’on raconte dans ces récits est de la pure vérité... C’est que l’oeuvre d’art agitde telle façon que le mythe devient réel,grâce à tout un attirail de procédés artistiques que l’on met ingénieusement en oeuvre pourrendre le mythe réel et le réel un mythe.... Comment l’oeuvre se forme-t-elle dans l’esprit de l’auteur ?Oû prend-t-elle racine ?Comment s’édifie-t-elle pour devenir enfin un monument qui défie le temps et ses immenses ravages ? En gros ,l’oeuvrese forme de façon aléatoire,son idée s’estompe à l’horizon de l’esprit de l’auteur et de là,tel un germe minuscule d’oû sortira la vie,l’idée ,grâce au mécanisme de l’art,s’élargit progressivement,s’étend indéfinément pourproduire l’oeuvre. Mais cette idée,ou ce germe dérisoire,n’est autre chose qu’un mythe,un mythe qui se développe accidentellement pour prendre corpset se transformer en une oeuvreparfaitement structurée,impeccablement construite oû tout s’enchaîne pour donner l’illusion de la réalité... Ainsi,dans ce contexte,la matérialisation du mythe s’élabore à l’intérieurde l’oeuvre romanesque pour aboutir à la concrétisation du réel. Or,cependant l’on constate que,l’oeuvre flaubertienne,si elle véhicule le sens de l’art,l’esprit de méthode et d’analyse,la rigueur dans le choix de l’expression,elle n’en renferme pas moins -et dans une large mesure-le sens du mythe.. Car le réalisme flaubertien n’existe pas,tout comme d’ailleurs le naturalisme de Zola..En ce sens que,pour Flaubert aussi bien que pour Zola, toute oeuvre littéraire,quelque objective qu’elle soit,ne peut être réaliste,encore moins basée sur l’expérience des choses.. La création d’une oeuvre,de la dimension de cellede Mme Bovary,ou des « Rougon-macquart »ne peut se faire à partir d’une expérience,au contraire,elle peut se faire à partir d’un fait imaginaire,développé dans un contexte qui donne l’apparence de la réalité..
Certes si l’oeuvre d’art est à l’origine d’un mythe,elle n’en contient pas moins de logique et de bon sens. :l’oeuvre balzacienne,quoique issue d’une imagination peu commune,est un monument d’esprit,de raison et de logique. Alors comment se fait-il que d’un mytheinsignifiant,d’une idée illusoire,l’on débouche sur la logique et le rationnel ?C’est là le noeud de la question :Balzac,tout comme un Van Gogh,un Baudelaire ou bien un Zola,est un artiste consommé,un alchimiste de talent,dont le génie sait à merveille explorer l’univers clos de l’âme humaine ,pénètrer dans l’âme des choses pour les rendre plus vivantes qu’elle ne le sont en réalité. C’est là la tâche primordiale de l’artiste :rendre rationnel ce qui est irrationnel et réel ce qui relève du mythe.. Il faut pour cela un génie hors du commun ,un génie réellement puissant,pour pouvoir agir sur les esprits et faire croire que l’irréel et réelet que le faux est vrai..
Car le mythe sans l’intervention de l’art,reste toujours un mythe,c’est -à-dire une idée illogique,insensée et vaine...mais c’est l’art qui lui insuffle la vie et lui confère le pouvoir de la réalité. Donc,on est amené à affirmerque l’oeuvre littéraireou artistique porte en soi sa puissance et sa logique et que si elle était édifiée au départ sur des concepts illusoires,elle n’en contient pas moins les germes de la raisonet de la réalité... En revanche,on sait bien queLe mythe et la réalité s’opposent diamétralement ce sont en effet deux phénomènes qui ne se rejoignent pas,qui se démentent,se contredisent et ne peuvent en aucun cas faire bon ménage dans l’oeuvre d’art... Car le mythe ,mû en cela par l’imagination,exerce toujours sa mainmise sur la réalité, qu’il déforme,qu’il dénature à l’envi,pour en offrir une imagehallucinante,illusionniste... En fait,ilnous arrive le plus souvent de confondre l’déal avec le mythique....Cependant si l’idéal demeure virtuel dans l’immédiat,il pourra se matérialiser en réalité,alors que le mythique,semblable au rêve qui hante le cerveau pour un temps,peut s’évanouir dans le néant .. C’est ce qu’on constate la plupart du temps dans l’oeuvre littéraire,oû l’idéal,ayant pour origine les aspirations réelles et tangibles,la soif de se surpasser,bref une volonté profonde tendant vers la concrétisation immédiate de nos désirs,alors que le mythe se baigne dans des considérations pour le moins fallacieuses,ineptes et irréelles... On a pu se rendre compte de cet état de choses dans maint chef-d’oeuvre littéraire classique ou moderne...Un Voltaire,dont la notoriété a dépassé toutes limites et dont la plume virulente a su pourfendre sans rémission plus d’un ennemi...n’est plus connu cependant que par son oeuvre critique et philosophique...Ce génie,ce philosophe et ce créateur infatigable,n’est plus en effet apprécié que par ses libelles , ses pamphlets et sa colossale correspondance,oû l’on reconnait l’âme de l’homme avec ses préjugés,ses haines et ses vices.. En fait,de l’oeuvre monumentale de Voltaire,qu’en est-il resté de nos jours ?Rien,absolument rien ,et j’ose le dire sans risque de me tromper,que l’oeuvre de Voltaire-avec ses idées romanesques et banales,son ironie agressive et parfois révoltante-est quasiment dépassée—le mythe que Voltaire s’étaitcréé autour de sa personne s’est effondréet avec ce mythe toute l’oeuvre...
َ Le réel l’emporte sur le mythique lL’éternel triomphe de l’éphémère Le réel,c’est-à-dire le vécu,le vif , ce qui est palpitant de vie le mythique ,ce sont ces idées creuses,fantasmagoriques,évanescentes,qui sont le plus souvent les attributs de l’oeuvre littéraire
Mais cela ne nous empêche pas pourtant de dire que l’oeuvre d’art en général nous fait vivre par le rêve et dans le rêve.. C’est en fait un plaisir que l’on en tire,un plaisir intellectuel qui va jusqu’à l’exaltation et l’euphorie ; ; Et c’est encore là le pouvoir et le privilège que l’on attache d’habitude à l’oeuvre d’art,c’est qu’elle sait nous émouvoir,nous plonger dans un autre univers que le nôtre..oû le rationnel s’allie à l’irrationnel et le réel à l’irréel.. Cette métamorphose composite suscite en nous le sentiment de vivre le réel,de se sentir très proche de notre propre monde... C’est encore là la puissance de l’art,qui a le pouvoir magique de transformer le mythe en réalité et la réalité en mythe.. Ceci nous conduit de plain-pied au phénomène de l’utopie,lequel,largement différent du mythe,n’en est pas moins un instrument d’aliénation et d’engourdissement intellectuel..
D’ailleurs,Thomas More,en concevant son utopie,n’avait jamais pensé que son oeuvre trouverait son chemin vers la gloire,tout comme par ailleurs Rabelais dans sa belle cité de Thélème,enco*re moins Platon dans sa chimérique cité idéale... Pour tout dire,l’utopie relève de l’illusion,du fantastique et du mensonge intellectuel.. Si l’utopie est condamnée en tant que théorie creuse,vide de sens et dépourvue de valeur réelle,le mythe dans l’oeuvre d’art ,par contre,trouve son chemin vers la réalité et saura exalter les sentiments et réveiller les passions C’est ainsi que,avant de clore ce bref exposé,qui a fait état de mon expérience personnelle, il convient de noter que le mythe,quoique générateurs d’illusions et de rêves éphémères ..,demeure pourtant le fondement essentiel de la littérature,sinon de toutes les littératures C’est un phénomène de portée universelle,un panacée,un baume d’essence exotique,dans un monde oû l’ennui,la solitude,l’angoisse,la tension nerveuserongent insidieusement l’être humain,en l’occurrence l’homme moderne , quitrouve alorsou qui se complait à trouver dans le mythe sa propre image,sinon son destin,sa force et sa faiblesse.  Dr.MohamedSellam
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