Méthode d enseignement
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Méthode d'enseignement

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Méthode d’enseignementpour dix élèves de l’âge de dix jusqu’à quinze ans,dans une maison de campagne,à Pantin près Paris.1793Dieu L’Ordre La Patrie La LoiLa libertéAvant-proposLa république française a décrété qu’il y aurait des fonctionnaires publics chargésde l’enseignement : qu’ils seraient salariés aux dépens du public : que les objets del’enseignement leur seraient désignés : qu’il serait prescrit aux fonctionnaires detraiter ces objets exclusivement à tout autre.La république française garantit à chacun de ses membres la liberté des opinions.Elle garantie aussi à chacun la liberté d’élever ses enfants dans sa maison, ou deles faire élever dans la maison d’une personne de confiance, comme il voudrait lesélever lui-même. Un particulier attaché à la religion de nos pères croit que desenfants qui seraient élevés selon la Méthode qu’il décrit ci-après, deviendraient deshommes sages et éclairés, des citoyens patriotes et utiles, des chrétiens vertueuxet paisibles.Ce petit écrit n’est pas public, 1° parce que ce plan quoique presque déjà prêt,n’est cependant encore qu’un projet, et que l’exécution dépend de plusieurscirconstances dont la réunion n’est pas encore déterminée. 2° parce que ce plan necomprenant que dix élèves, on ne croit pas qu’il soit convenable de le proposer auPublic. 3°. Parce que le principe de l’égalité semble autoriser, de la part des deuxcontractants, une information réciproque.Méthode d’enseignement Pour dix élèves de l’âge ...

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Méthode d’enseignement pour dix élèves de l’âge de dix jusqu’à quinze ans, dans une maison de campagne, à Pantin près Paris.
1793 Dieu L’Ordre La Patrie La Loi La liberté
Avant-propos La république française a décrété qu’il y aurait des fonctionnaires publics chargés de l’enseignement : qu’ils seraient salariés aux dépens du public : que les objets de l’enseignement leur seraient désignés : qu’il serait prescrit aux fonctionnaires de traiter ces objets exclusivement à tout autre. La république française garantit à chacun de ses membres la liberté des opinions. Elle garantie aussi à chacun la liberté d’élever ses enfants dans sa maison, ou de les faire élever dans la maison d’une personne de confiance, comme il voudrait les élever lui-même. Un particulier attaché à la religion de nos pères croit que des enfants qui seraient élevés selon la Méthode qu’il décrit ci-après, deviendraient des hommes sages et éclairés, des citoyens patriotes et utiles, des chrétiens vertueux et paisibles. Ce petit écrit n’est pas public, 1° parce que ce plan quoique presque déjà prêt, n’est cependant encore qu’un projet, et que l’exécution dépend de plusieurs circonstances dont la réunion n’est pas encore déterminée. 2° parce que ce plan ne comprenant que dix élèves, on ne croit pas qu’il soit convenable de le proposer au Public. 3°. Parce que le principe de l’égalité semble autoriser, de la part des deux contractants, une information réciproque.
Méthode d’enseignement Pour dix élèves de l’âge de dix jusqu’à quinze ans, dans une maison de campagne, à Pantin près Paris.
La société ne peut manquer de prospérer, si ceux qui en remplissent les emplois sont animés dans leurs travaux d’un zèle pur et désintéressé ; elle ne peut au contraire manquer de se dissoudre, si ceux qui la composent ou qui la gouvernent sont dominés par l’intérêt personnel : ainsi ce qu’il y a de plus important pour la conservation & la prospérité d’un Etat, c’est que tous ceux qui naissent dans son sein, soient élevés de bonne heure dans un esprit de dévouement au bien public et de mépris pour l’égoïsme : c’est donc l’amour déréglé de soi-même qu’il faut d’abord combattre dans l’homme ; c’est vers les vertus morales et civiques qu’il faut diriger les premières pensées sérieuses et les premiers sentiments d’un enfant ; et c’est là le premier et principal objet d’instruction. Quelque temps avant que l’enfant ait assez de connaissances, pour apprécier ces vertus, il sait s’exprimer, soit par des signes, soit par quelques mots ; à chaque moment, il fait des progrès dans sa langue, parce qu’à chaque moment il sent le besoin de communiquer ses désirs à ceux qui l’environnent et qui peuvent le satisfaire ; on peut aussi lui faire sentir le besoin de communiquer ses désirs aux absents ; et si on ne lui laisse d’autre facilité que l’écriture, il l’essayera, il souffrira même la peine d’apprendre à lire, pourvu que dans sa peine, il voit le moyen de se contenter ; il peut comprendre aussi combien il est utile de connaître le détail de ce qu’il possède, et comment il peut disposer d’une partie, en sachant ce qu’il se réserve : on peut l’intéresser par ce qu’on appelle ses menus plaisirs. Les opérations de l’arithmétique lui apprendront à compter avec lui-même. Il voudra être juste, il voudra qu’on le soit avec lui : autre objet d’instruction.
Ceux à qui ou le hasard de leur naissance, ou le produit de leurs travaux a procuré de plus grands moyens ne peuvent mieux faire que de sacrifier une partie de leur fortune pour procurer à leurs enfants des connaissances ultérieures qui soient en même temps utiles et propres à donner plus d’étendue et de développement à leurs dispositions naturelles ; indépendamment de la grande importance des
mathématiques pour les arts utiles ou agréables ; on convient que les éléments et la Méthode employée dans l’enseignement de ces sciences indiquent la véritable marche de l’esprit dans toutes les recherches qu’il peut entreprendre. Il parait donc qu’on ne sauroit mieux faire que d’instruire les enfants dans ces éléments ; et comme il n’y a qu’un pas de la théorie à la pratique de la Trigonométrie, de l’arpentage, de la levée des plans, du toisé ; que d’ailleurs ces pratiques sont des exercices aussi amusants qu’ils sont utiles ; il parait naturel d’en faire des récréations profitables ; et ce sera le troisième objet d’instruction. Une connaissance quelconque de la culture de la terre et de ses productions, de quelques plantes utiles, mérite encore d’être présentée aux enfants, ce sont les sources de toutes richesses ; il est honteux de les ignorer entièrement ; quand on séjourne à la campagne, qu’on jouit de l’agrément d’un grand jardin cultivé avec soin, il n’est pas difficile d’offrir la nature elle-même à leur curiosité ; et dans ce genre, l’objet de l’instruction et quelques mots de cultivateur se gravent mieux dans l’esprit que des descriptions très exactes ou même des tableaux bien faits : ce quatrième objet n’est pas de pur amusement.
Tout citoyen doit, selon ses facultés, préparer ses enfants à prendre quelque jour une part active dans les affaires publiques, et pour cela, l’étude de leur langue est indispensable, chacun doit savoir la parler, la prononcer et l’écrire correctement, la lire avec intelligence, la déclamer avec intérêt, et ce n’est encore là presque que la grammaire ; en effet combien n’est-il pas important surtout dans les états populaires, de bien connaître les richesses de sa langue, les ressources de l’art oratoire, le pouvoir de l’éloquence, et l’impression que peuvent produire dans de nombreuses assemblées, l’action de l’orateur et la magie du style ? c’est là le cinquième objet de l’instruction.
Nous pouvons donc compter cinq principaux objets sur lesquels il faut instruire les jeunes gens au sortir même de leur enfance, c’est-à-dire depuis environ dix ans jusques à environ quinze : 1° La Patrie et les Vertus civiques. 2° l’homme même, son origine et sa destination, l’Etre suprême, la Morale et les devoirs qu’elle impose. 3°les moyens d’évaluer et de mesurer la terre et d’en calculer le produit net. 4° La Terre et ses productions les plus utiles. 5°. La Langue française.
Il n’y aurait que l’inexpérience ou la charlatanerie qui osât promettre pour des élèves de cet âge, une certaine profondeur dans ces connaissances qui exigent une attention soutenue ; découvrir le goût de l’enfant, s’il en a un décidé ; lui inspirer quelque goût s’il n’en a pas ; indiquer aux parents ses inclinations, afin de pouvoir les aider à reconnaître dans quel poste il pourrait servir utilement sa Patrie ; l’exercer à appliquer son esprit malgré sa légèreté, à soumettre sa volonté malgré ses caprices ; c’est à peu près là tout ce que l’on peut demander des maîtres. Nous comptons bien présenter à nos élèves, mais comme objets d’amusement des instruments de sciences comme sphères, globes, planétaires, machine pneumatique, électrique, cuve pour les différents airs, miroirs concaves, etc. On répondra à leurs questions, on leur laissera faire les expériences communes et non dangereuses, on leur montrera quelques constellations, ils verront les planètes et leurs satellites. Dans la traduction qui sera ainsi que les mathématiques, l’objet principal de leurs travaux, les sujets des devoirs seront tirés de l’Histoire : le lieu, le temps de l’action héroïque seront indiqués : le lieu, 1° sur la carte, 2° sur le globe terrestre, 3°, il sera reporté de là avec le crayon blanc, sur le globe noir au moyen de la longitude et de la latitude ; le temps (ou l’époque) de l’action sera indiqué par l’une des quatre divisions du siècle de l’événement désigné par son N°, avant ou après l’Ere chrétienne. On répétera souvent cette vérité, que ce ne sont-là que quelques traits épars de sciences intéressantes qui sont encore au-dessus de leur âge.
Nous donnerons la suite de nos exercices journaliers quand nous aurons exposé dans quel esprit, et pour ainsi dire sous quel point de vue nous envisageons les objets de notre enseignement. Nous réunissons dans un même exercice l’explication de tout ce qui concerne les vertus humaines, civiques, morales et religieuses … des peines et des récompenses dans une autre vie, outre qu’elles sont un appui, et une sanction pour les Lois de la République,elles sont encore, ou une justice, ou un dédommagement que l’Etre suprême doit à la Vertu qu’il semble quelquefois abandonner dans ce monde… Nous trouvons dans la Religion de nos pères les principes et les exemples des vertus civiques les plus sublimes… les Vertus tendent toutes au vrai bonheur de l’homme ; bonheur qui doit durer tant que son âme conservera le sentiment de son existence, c’est-à-dire toujours, puisqu’elle est une réalité, et que rien dans l’Univers ne s’anéantie… Les Vertus ne doivent être l’objet d’aucune discussion ; malheur à celui qui au récit
d’une action vertueuse ou criminelle, n’entend rien dans sa propre conscience ; il manque d’un organe que l’instruction ne peut suppléer ; nous emploierons au développement de ces vérités la première et la dernière demi-heure de notre journée ; cela suffit, parce qu’elles seront rappelées toutes les fois qu’on y manquera, et qu’elles seront l’instruction de tous les moments. Il n’est pas besoin d’une grande application pour saisir quelques éléments de culture et de la connaissance des productions de la Terre les plus communes et les plus utiles : cette espèce d’étude se fera dans les promenades ou au jardin, quand le Jardinier aura à exécuter quelque opération intéressante, comme plantation, taille des arbres, greffe ou palissage, etc. Chaque élève pourra avoir au jardin, sous l’inspection du jardinier, une toise de terrain, et au milieu un arbre de son nom, avec quelques plantes usuelles, dont il rendra compte à ses condisciples, d’après le Flora Parisiensis de Bulliard ; l’on s’instruira en même temps sur la nomenclature des instruments, sur les animaux de la basse-cour ; pour cela il n’est pas besoin ni d’étude, ni de lecture, il ne faut que voir et vouloir. C’est pour les deux autres objets qu’il faut réserver la plus grande partie de notre temps ; ce sont d’une part et la Langue française, et ce qu’il faut de la Latine pour mieux posséder la Française, et nous suivrons nos modèles en littérature : ce sont de l’autre part quelques sciences mathématiques, ou qui dépendent des mathématiques ; nous avons de bons éléments : encore dans ces sciences faut-il distinguer la partie pratique, comme l’arpentage, la levée des plans, etc. ces pratiques fournissent aux jeunes gens l’occasion de beaucoup d’exercice et de mouvement, mettent sous leurs yeux nombre d’instruments, et donnent un aliment à leur activité manuelle.
Tous les jours de l’année qui seront jugés convenables à la pratique de l’arpentage ou de la levée des plans, les élèves iront l’après-dîner avec le Maître et le domestique chargé des instruments passer 3 ou 4 heures au dehors, et pratiquer sur le terrain ce qu’ils auront appris de théorie à la maison ; ces promenades journalières remplaceront les congés et les vacances. Nos études sont interrompues par des récréations suffisantes, eu égard à l’application qu’elles exigent, mais il est essentiel d’observer que la sortie d’un élève, ne fut-elle que d’un jour, rompt pour lui le fil de l’instruction, et qu’il est très difficile de le renouer, surtout par rapport aux mathématiques. Dans les temps de gelée, on profitera des circonstances pour faire un cours d’anatomie ou de quelqu’autre science du même genre ; il se fera d’une manière proportionnée à l’âge des élèves, nous finissons par la distribution de notre temps : Il faut à peu près pour les enfants de cet âge : Sommeil…………….. 8 h. & d. Récréations …………. 3 Repas ……………….. 2 h. & d. Il reste pour l’étude…..10
24 h.
DISTRIBUTION DES DIX D'ETUDE
A 5h.3 q. Le lever. A 6h. Exercices religieux, moraux, civiques, relatifs aux articles 1&2. A 6h. & d. Leçons de grammaire ou d’élocution française, leçons de la grammaire latine, explication précédente récitée, mot latin, mot français ou de l’Epitome, ou du Selectae, application des règles à des exemples imités des exemples de la grammaire jusqu’à 8 heures. A 8h. Récréation & déjeuner jusqu’à 8 h. & d. A 8 h. & d. continuation de l’exercice précédent pour l’application des règles, l’explication du Selectae, dont la version rendue en français et corrigée sera donnée à remettre en latin sans l’usage du livre ; cet exercice durera jusqu’à 10 h. & d. A 10 h. & d. On donnera le devoir & l’on assignera les leçons ; on préparera le devoir, on dispensera de l’usage du dictionnaire. A 10 h. 3 q. jusqu’à 11 h. & d. On donnera des leçons comme suit : Le lundi et le jeudi, d’arithmétique et d’écriture. Le mardi et le vendredi, lecture prononcée, géographie historique. Nouvelles politiques. Gazettes. Le mercredi et le samedi, Orthographe, phrases françaises, style épistolaire, on donnera un sujet de lettre ou de mémoire, on les critiquera. Le dimanche, on fera une revue des cahiers : chaque objet aura son cahier à part, et le travail de chaque jour y sera daté, afin qu’on puisse juger des progrès. A 11 h. & d. récréation jusqu’à midi. A midi. Le dîner jusqu’à midi 3 q. environ, après le dîner, récréation jusqu’à 1 h. & d.
A 1 h. & d. Etude des mathématiques, préparation à la leçon ou classe qui commencera à 3 h. alors on interrogera, on opérera, ou sur la planche, ou chacun sur son cahier, qui fera ensuite montré au Maître : cet exercice durera jusqu’à 4 h. A 4 h. récréation & goûter jusqu’à 4 h. & d. A 4 h. & d. Etude jusqu’à 6 h. et d. On y préparera le devoir, l’explication et les leçons pour le lendemain matin. A 6 h. récréation jusqu’à 7h. A 7 h. le souper jusqu’à 7 h. 3 q. environ. A 7 h. 3 q. récréation jusqu’à 8 h. & d. A 8 h. et d. Lectures, réflexions, avis, instruction, Catéchisme historique de Fleury, et autres exercices, comme à 6 h. du matin. A 9 h. le coucher en silence. Les jours de sortie, après la récréation qui suit le dîner, il y aura étude depuis 1 h. jusqu’à 2. h et d. pour préparer ce que l’on doit faire, et repasser les principes d’après lesquels on doit opérer : après avoir passé deux heures & demies ou trois heures aux champs, on rentrera sur les cinq heures pour l’étude ; on y repassera ce qui aura été fait ; le Maître reverra les notes ; et fera les corrections nécessaires ; on pourra aussi préparer les devoirs du lendemain.
Voici la liste des Livres qui seront seuls admis dans la maison, et parmi lesquels on choisira les livres, soit classiques, soit de lecture publique ou particulière. 1. Les livres qui seront assignés pour la Constitution française. 2. Catéchisme des Droits de l’homme, &. 3. Abrégé de l’Histoire de France. Millot. 3. Chronologie du Président Henault. 3. Les Histoires de M. Rollin. Rom. ancienne 4. Son traité des études. 5. Révolutions Romaines. Vertot. 6. Voyage d’Anacharsis. 7. Les vies de Turenne, Condé, Bayard, Du Guesclin, & autres héros. 8. Mœurs des Israélites & Chrétiens. Discours de M. Fleury. 9. Le Spectacle de la nature. 10. Quelques tomes de M. Buffon. 11. Discours de M. Bossuet. 12. Dialogue des Morts. Fénelon. 13. Télémaque, Antiquités. Furgault. 14. Dictionnaire de la Fable. 15. Ornements de la Mémoire. 16. Traduction française de Selectae e Profanis. 17. Le petit volume de Rousseau, idem Boileau. 18. Vie de Charles XII. Henriade. 19. La Fontaine. Fables. 20. Géorgiques, Delille, lat. & f. 21. Le troisième volume de Racine. 22. Les trois ouvrages de M. Lhomond. 23. La Morale universelle tirée des Livres Saints, la Grammaire Française abrégée de Lhomond. 24. Latine, idem. 25. Selectae e Profanis 26. Epitome. 27. De Viris illustribus Romae. 28. Cornelius Nepos. 29. Phèdre de Brotier. 30. Desbillons, Fables. 31. Catéchisme historique. 32. Eléments de Mathématiques, les deux premiers volumes de M. Bezout. 33. Pratique de l’Arpentage & du toisé. 34. Théorie & pratique du Jardinage. 35. Quelques parties de M. Condillac, Logique, Histoire. 36. Abrégé des Antiquités Romaines. 37. Historiae Romanae res memorabiles. 38. Catéchisme de l’âge mûr, Poème sur la religion. Racine. 39. Cotte, Leçons élémentaires, Histoire naturelle, physique, Agriculture. 40. Géographie des Départements, Concorde de Pluche. 41. Virgile. Conciones ; Cicéron de Officiis, de Amicitia, latin & français. Paradoxes. 42. Principes de Littérature. M. Batteux. 43. Grammaires & Racines grecques pour les étymologies. 44. Syntaxe de Clarke. 45. Grammaire Anlaise.
46. Grammaire Italienne.
On essayera d’enseigner au moins à entendre les livres écrits en ces deux langues : le succès dépendra des circonstances et de la bonne volonté de chaque élève.
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