Odyssée-5
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HomèreOdysséeédition bilingueΟΔΥΣΣΕΙΑΣ E. ODYSSEE : LIVRE VLivre51.gif1 1 Livre52.gifἨὼς δ᾽ ἐκ λεχέων παρ᾽ ἀγαυοῦ Τιθωνοῖοὤρνυθ᾽, ἵν᾽ ἀθανάτοισι φόως φέροι ἠδὲβροτοῖσιν·οἱ δὲ θεοὶ θῶκόνδε καθίζανον, ἐν δ᾽ ἄρα τοῖσιLa déesse Aurore quitte la coucheΖεὺς ὑψιβρεμέτης, οὗ τε κράτος ἐστὶ du beau Tithon, pour apporter laμέγιστον. lumière aux hommes et aux dieux.Les immortels assemblés sontΤοῖσι δ᾽ Ἀθηναίη λέγε κήδεα πόλλ᾽ Ὀδυσῆοςassis sur leurs trônes ; au milieu5d'eux est le fils de Saturne, Jupiter,qui tonne du haut des cieux, et dontμνησαμένη· μέλε γάρ οἱ ἐὼν ἐν δώμασιla puissance est infinie. Minerve,νύμφης·pensant à Ulysse, retrace lesnombreuses souffrances de cehéros ; elle songe avec douleur quele fils de Laërte est encore retenudans les demeures de la nympheCalypso.7 7« Ζεῦ πάτερ ἠδ᾽ ἄλλοι μάκαρες θεοὶ αἰὲν « Jupiter, dit-elle, et vous tous,ἐόντες, dieux immortels et fortunés,écoutez-moi. Que désormaisμή τις ἔτι πρόφρων ἀγανὸς καὶ ἤπιος ἔστω aucun des rois portant le sceptren'ait plus dans son cœur niσκηπτοῦχος βασιλεύς, μηδὲ φρεσὶν αἴσιμα bienveillance, ni affection, niεἰδώς, tendresse pour son peuple ; qu'il neconçoive plus en son âme desἀλλ᾽ αἰεὶ χαλεπός τ᾽ εἴη καὶ αἴσυλα ῥέζοι· 10pensées équitables et justes ; maisqu'il soit toujours cruel et neὡς οὔ τις μέμνηται Ὀδυσσῆος θείοιοcommette sans cesse que desinjustices. Car nul ne se rappelleλαῶν οἷσιν ἄνασσε, πατὴρ δ᾽ ὣς ἤπιος ἦεν.Ulysse, nul parmi ce peuple surlequel il régna ...

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17ΟΔΥΣΣΕΙΑΣ E.Livre51.gifHomèreOdysséeédition bilingueODYSSEE : LIVRE V1Livre52.gifἨὼς δ᾽ ἐκ λεχέων παρ᾽ ἀγαυοῦ Τιθωνοῖοὤρνυθ᾽, ἵν᾽ ἀθανάτοισι φόως φέροι ἠδὲβροτοῖσιν·οἱ δὲ θεοὶ θῶκόνδε καθίζανον, ἐν δ᾽ ἄρα τοῖσιΖες ψιβρεμέτης, ο τε κράτος στLdau  bdeéaesu sTei Aurore uqr uiatte loar tceor ulacheμέγιστον.lumière autxh hoon,m pmoes ept paux dieux.Τοσι δ θηναίη λέγε κήδεα πόλλ δυσοςLaesssi is msmuro lretuerlss  tarsôsneems ;b laéus  smoilinetu5d'eux est le fils de Saturne, Jupiter,μνησαμένη· μέλε γάρ ο ν ν δώμασιqui tonne du haut des cieux, et dontνύμφης·la puissance est infinie. Minerve,pensant à Ulysse, retrace lesnombreuses souffrances de cehéros ; elle songe avec douleur quele fils de Laërte est encore retenudans les demeures de la nympheCalypso.7« Ζε πάτερ δ λλοι μάκαρες θεο αν« Jupiter, dit-elle, et vous tous,όντες,dieux immortels et fortunés,écoutez-moi. Que désormaisμή τις τι πρόφρων γανς κα πιος στωaucun des rois portant le sceptreσκηπτοχος βασιλεύς, μηδ φρεσν ασιμαnb'iaeitn vpeliullsa dncaen,s  nsi oanf fcecœtiuor nn, iniεδώς,tendresse pour son peuple ; qu'il neλλ αε χαλεπός τ εη κα ασυλα έζοι· 10pcoennçsoéievse  épqluusit eanb lseos ne tâ jmuset edse ;s maisς ο τις μέμνηται δυσσος θείοιοqcou'iml smoeitt tteo usjaonusr sc ecrsuseel  eqtu need esλαν οσιν νασσε, πατρ δ ς πιος εν.injustices. Car nul ne se rappelleUlysse, nul parmi ce peuple surλλ  μν ν νήσ κεται κρατέρ λγεαlequel il régna comme le père leπάσχωνplus tendre ! Maintenant ce roimalheureux gémit dans une île ; ilνύμφης ν μεγάροισι Καλυψος,  μιν νάγκsouffre des douleurs amères dansla grotte profonde de la nympheσχει·  δ ο δύναται ν πατρίδα γααν  forceκέσθαι· 15aCuaplryèpss od,' eqlluei .l eC ree thieérnotsp anre peutο γάρ ο πάρα νες πήρετμοι κα ταροι,rpeotsosuèrndeer  ndi avnasi sssae paautxr ige a; rinl ins edeο κέν μιν πέμποιεν π ερέα νταrcaonmdeusi,r en i scuor lme pvaagsnteo ndso ps oduer  lleaθαλάσσης.mer. On médite encore le meurtrede Télémaque, quand il reviendra
Νν α παδ γαπητν ποκτεναι μεμάασινde Télémaque, quand il reviendradans son palais ; car le fils chériοκαδε νισόμενον·  δ βη μετ πατρςd'Ulysse, pour entendre parler deκουνson père, est allé dans la saintePylos et dans la divineς Πύλον γαθέην δ ς ΛακεδαίμοναLacédémone. »δῖαν. » 20Τὴν δ᾽ ἀπαμειβόμενος προσέφηνεφεληγερέτα Ζεύς·2222« Τέκνον μόν, ποόν σε πος φύγεν ρκος« Ô ma fille, quelle parole s'estδόντων.échappée de tes lèvres ? N'as-tupas toi-même décidé qu'à sonΟ γρ δ τοτον μν βούλευσας νόον ατή,retour Ulysse se vengerait de sesς  τοι κείνους δυσες ποτίσεται λθών;econnnedumiiss- le?  aQvueac nst oài nT (é lcéamr tauq ueen, asΤηλέμαχον δ σ πέμψον πισταμένως,la puissance), afin qu'il revienneδύνασαι γάρ, 25sqaunes l edsa pnrgéetre nsdura sntas  tse'reren  rneattoaulren, eenttς κε μάλ σκηθς ν πατρίδα γααν κηται,sacurc loeumrpsl i nlaevuirr ep raovjeatn. t »d'avoirμνηστῆρες δ᾽ ἐν νηὶ· παλιμπετὲςπονέωνται. »Ainsi parle Jupiter, puis il dit àMercure son fils bien-aimé :Ἦ ῥα καὶ Ἑρμείαν, υἱὸν φίλον, ἀντίον ηὔδα·2929«Ἑρμεία, σὺ γὰρ αὖτε τά τ᾽ ἄλλα περ ἄγγελός ἐσσι,νύμφῃ ἐυπλοκάμῳ εἰπεῖν νημερτέα βουλήν,30νόστον Ὀδυσσῆος ταλασίφρονος, ὥς κενέηταιοὔτε θεῶν πομπῇ οὔτε θνητῶν ἀνθρώπων·ἀλλ᾽ ὅ γ᾽ ἐπὶ σχεδίης πολυδέσμου πήματαπάσχωνἤματί κ᾽ εἰκοστῷ Σχερίην ἐρίβωλον ἵκοιτο,Φαιήκων ἐς γαῖαν, οἳ ἀγχίθεοι γεγάασιν, 35οἵ κέν μιν περὶ κῆρι θεὸν ὣς τιμήσουσιν,πέμψουσιν δ᾽ ἐν νηὶ φίλην ἐς πατρίδα γαῖαν,χαλκόν τε χρυσόν τε ἅλις ἐσθῆτά τε δόντες,πόλλ᾽, ὅσ᾽ ἂν οὐδέ ποτε Τροίης ἐξήρατ᾽Ὀδυσσεύς,εἴ περ ἀπήμων ἦλθε, λαχὼν ἀπὸ ληίδοςαἶσαν. 40Ὣς γάρ οἱ μοῖρ᾽ ἐστὶ φίλους᾽ἰδέειν καὶ τ ἱκέσθαιοἶκον ἐς ὑψόροφον καὶ ἑὴν ἐς πατρίδαγαῖαν. »4343ς φατ, οδ πίθησε διάκτοροςIl dit ; et aussitôt Mercureργεϊφόντης.s'empresse d'obéir. Le messagerattache à ses pieds deΑτίκ πειθ π ποσσν δήσατο καλmagnifiques et divins brodequinsπέδιλα,d'or qui le portent sur les ondes etsur la terre immense aussi vite que« Toi qui fus toujours notremessager fidèle, cours dire àCalypso, nymphe à la bellechevelure, que ma ferme résolutionest que le courageux Ulysserevienne dans sa patrie, et qu'ilparte sans secours des hommes etdes dieux. Ce héros, souffrant milledouleurs et abandonné seul sur unradeau joint par des liensnombreux, arrivera le vingtièmejour dans la fertile Schérie, contréedes Phéaciens, peuples quiressemblent aux dieux[1]). LesPhéaciens l'honoreront comme unedivinité ; ils le conduiront dans sachère patrie et lui donneront de l'or,de l'airain et des vêtements en plusgrande abondance qu'Ulysse n'eneût rapporté d'Ilion s'il fût revenusans malheur avec sa part desdépouilles. Le destin veut que cehéros revoie ses amis, sa patrie etses demeures élevées. »
ἀμβρόσια χρύσεια, τά μιν φέρον ἠμὲν ἐφ᾽ὑγρὴν 45ἠδ᾽ ἐπ᾽ ἀπείρονα γαῖαν ἅμα πνοιῇς ἀνέμοιο.Εἵλετο δὲ ῥάβδον, τῇ τ᾽ ἀνδρῶν ὄμματαθέλγει,ὧν ἐθέλει, τοὺς δ᾽ αὖτε καὶ ὑπνώονταςἐγείρει.Τὴν μετὰ χερσὶν ἔχων πέτετο κρατὺςἀργεϊφόντης.Πιερίην δ᾽ ἐπιβὰς ἐξ αἰθέρος ἔμπεσε πόντῳ·50σεύατ᾽ ἔπει᾽ἐπὶ κῦμα λάρῳ ὄρνιθι ἐοικώς,τ ὅς τε κατὰ δεινοὺς κόλπους ἁλὸς ἀτρυγέτοιοἰχθῦς ἀγρώσσων πυκινὰ πτερὰ δεύεταιἅλμῃ·τῷ ἴκελος πολέεσσιν ὀχήσατο κύμασινἙρμῆς.Ἀλλ᾽ ὅτε δὴ τὴν νῆσον ἀφίκετο τηλόθ᾽ἐοῦσαν, 55ἔνθ᾽ ἐκ πόντου βὰς ἰοειδέος ἤπειρόνδεἤιεν, ὄφρα μέγα σπέος ἵκετο, τῷ ἔνι νύμφηναῖεν ἐυπλόκαμος· τὴν δ᾽ ἔνδοθι τέτμενἐοῦσαν.Πῦρ μὲν ἐπ᾽ ἐσχαρόφιν μέγα καίετο, τηλόσεδ᾽ ὀδμὴκέδρου τ᾽ εὐκεάτοιο θύου τ᾽ ἀνὰ νῆσονὀδώδει 60δαιομένων· ἡ δ᾽ ἔνδον ἀοιδιάουσ᾽ ὀπὶ καλῇἱστὸν ἐποιχομένη χρυσείῃ κερκίδ᾽ ὕφαινεν.Ὕλη δὲ σπέος ἀμφὶ πεφύκει τηλεθόωσα,κλήθρη τ᾽ αἴγειρός τε καὶ εὐώδηςκυπάρισσος.Ἔνθα δέ τ᾽ ὄρνιθες τανυσίπτεροι εὐνάζοντο,65σκῶπές τ᾽ ἴρηκές τε τανύγλωσσοί τε κορῶναιεἰνάλιαι, τῇσίν τε θαλάσσια ἔργα μέμηλεν.Ἡ δ᾽ αὐτοῦ τετάνυστο περὶ σπείουςγλαφυροῖοἡμερὶς ἡβώωσα, τεθήλει δὲ σταφυλῇσι.Κρῆναι δ᾽ ἑξείης πίσυρες ῥέον ὕδατι λευκῷ,70πλησίαι ἀλλήλων τετραμμέναι ἄλλυδις ἄλλη.Ἀμφὶ δὲ λειμῶνες μαλακοὶ ἴου ἠδὲ σελίνουθήλεον. Ἔνθα κ᾽ ἔπειτα καὶ ἀθάνατός περἐπελθὼνθηήσαιτο ἰδὼν καὶ τερφθείη φρεσὶν ᾗσιν.sur la terre immense aussi vite quele souffle des vents. Puis il saisit laverge avec laquelle il ferme à songré les yeux des hommes, ouarrache les mortels au sommeil ; lepuissant meurtrier d'Argus s'envoleen tenant cette verge entre sesmains. D'abord il s'arrête sur lesmontagnes de Pierie ; puis du hautdes airs il s'élance et traversel'océan. Le messager célesteeffleure les vagues comme lamouette qui, dans les gouffresprofonds de la mer stérile, poursuitles poissons et plonge ses ailesépaisses dans l'onde amère : telparaît Mercure penché surl'immense surface des eaux.Quand il touche à l'île lointaine, ilquitte la mer azurée et marche surle rivage ; bientôt il atteint la grottespacieuse qu'habite Calypso, lanymphe à la belle chevelure.Mercure trouve la déesse dansl'intérieur de sa demeure : un grandfeu brillait dans le foyer, et au loins'exhalait le suave parfum du cèdreet du thuya fendus. Calypso, retiréedu fond de la grotte, chantait d'unevoix mélodieuse, et s'occupait àtisser une toile avec une navetted'or. — Autour de cette demeures'élevait une forêt verdoyanted'aunes, de peupliers et de cyprès.Là, venaient construire leurs nidsles oiseaux aux ailes étendues, leschouettes, les vautours, lescorneilles marines aux largeslangues, et qui se plaisent à lapêche[2]. Là une jeune vigneétendait ses branches chargées denombreuses grappes. Là, quatresources roulaient dans les plainesleurs eaux limpides qui, tantôts'approchant et tantôt s'éloignantles unes des autres, formaient milledétours ; sur leurs rivess'étendaient de vertes prairiesémaillées d'aches et de violettes.Un immortel qui serait venu en ceslieux eût été frappé d'admiration ;et, dans son cœur, il eût ressentiune douce joie. — C'est là ques'arrête surpris et étonné lemessager Mercure. Quand il a bienadmiré toutes ces beautés, il entredans la vaste grotte. La divineCalypso, en apercevant Mercure, lereconnaît aussitôt (car les dieuximmortels ne sont jamais étrangersl'un à l'autre quelque éloignées quesoient leurs demeures). Mercure netrouve point le magnanime Ulysseau pied de la déesse ; ce héros,assis sur le rivage, poussait delongs gémissements.Là, comme autrefois, consumantson cœur dans les pleurs, lessoupirs et les chagrins , Ulyssecontemplait la mer stérile enrépandant des larmes. Calypso, la
8775 Ἔνθα στὰς θηεῖτο διάκτορος ἀργεϊφόντης.75Αὐτὰρ ἐπεὶ δὴ πάντα ἑῷ θηήσατο θυμῷ,αὐτίκ᾽ ἄρ᾽ εἰς εὐρὺ σπέος ἤλυθεν. Οὐδέ μινἄντηνἠγνοίησεν ἰδοῦσα Καλυψώ, δῖα θεάων·οὐ γάρ τ᾽ ἀγνῶτες θεοὶ ἀλλήλοισι πέλονταιἀθάνατοι, οὐδ᾽ εἴ τις ἀπόπροθι δώματα ναίει.80Οὐδ᾽ ἄρ᾽ Ὀδυσσῆα μεγαλήτορα ἔνδονἔτετμεν,ἀλλ᾽ ὅ γ᾽ ἐπ᾽ ἀκτῆς κλαῖε καθήμενος, ἔνθαπάρος περ,δάκρυσι καὶ στοναχῇσι καὶ ἄλγεσι θυμὸνἐρέχθων.Πόντον ἐπ᾽ ἀτρύγετον δερκέσκετο δάκρυαλείβων.Ἑρμείαν δ᾽ ἐρέεινε Καλυψώ, δῖα θεάων, 85ἐν θρόνῳ ἱδρύσασα φαεινῷ σιγαλόεντι·Livre53.gifplus noble des déesses, placeMercure sur un trône éclatant etsplendide, et elle lui adresse cesmots :87« Τίπτε μοι, ρμεία χρυσόρραπι, ελήλουθας« Pourquoi, Mercure, immortelvénérable et chéri, dieu qui porte leαδοός τε φίλος τε; πάρος γε μν ο τιcaducée d'or, es-tu venu en cetteθαμίζεις.île où tu ne pénétras jamais ? Dis-moi ce qui t'amène, car mon désirΑδα  τι φρονέεις· τελέσαι δέ με θυμςest d'accomplir tes vœux, si je leνωγεν,puis, et si leur accomplissementest possible ; (mais suis-moiε δύναμαι τελέσαι γε κα ε τετελεσμένονd'abord afin que je t'offre un repasστίν. 90et l'hospitalité).θελίλω.  »πεο προτέρω, να τοι πρ ξείνιαElle dit, et place devant Mercureune table chargée d'ambroisie ;puis elle verse au dieu un rougeς ρα φωνήσασα θε παρέθηκε τράπεζανnectar. Le messager Mercureprend aussitôt les aliments et leη πλήσαbreuvage qui lui sont présentés parρμυβθρροόσνί.ςσα, κέρασσε δ νέκταρla divine Calypso. Quand il aterminé le repas et ranimé sesΑτρ  πνε κα σθε διάκτοροςforces, il fait entendre ces paroles :ἀργεϊφόντης.Αὐτὰρ ἐπεὶ δείπνησε καὶ ἤραρε θυμὸνἐδωδῇ, 95καὶ τότε δή μιν ἔπεσσιν ἀμειβόμενος
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