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Ma dernière publication et sa synthèse
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Publié le 11 août 2012
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Licence : Libre de droits
Langue Français
Poids de l'ouvrage 3 Mo

Extrait

rai eue une autre solution.. mais j'éta i; on nas déjàît da ns une daube pas égaux, on est pas égaux, va te faire mettre dans ton cocon. Le compteur é lectrique a sonné, je n'ai pas ouvert, je n'ai plus rien à attendre de la société, et certainement pas de toi. Alors à tous chers enculés, allez bien en enfer. Démoniaque, recherche de ce mot, Quand on est à la fin on le devient, (enfin moi) Je n'étais pas prédestinée pour ça, par contre des cons m'ont prédestiné En fait je n'ai pas bougé du système des fonctionnaires, studieux et très cons. Ma prédestinée c'était le fonctionnariat, Je n'en ai pas voulu il m'a rattrapé autrement.. Je crois que dans les familles il y a des gênes, des mécanismes des circuits, dans les activités, branches, il y a aussi un tempérament commun Ensuite si on a la force on s'investit ailleurs, que dans le fonctionnariat, Je n'ai pas eu la force, et je détestais la couardise, Je n'aurais pas été couard mais sans force cela ne m'aura amené nulle part. Ou c'était mal payé, et, bien franchement payer des impôts en étant mal payé va te faire mettre, surtout que je ne cautionne pas le systémisme. La force m'aura fait défaut. divers... Dans de très nombreuses cultêuretres s, deurnatsure , doué ls s de raison, très malfaisants, é manant de lieux ou de personnes sont supposés influencer les esprits de s humains ou les lieux qu'ils traversent. Ils sont appedémolénss dans la littérature chrétienne, ou entre autres, S ouras ou Dévas, Asouras, Daityas ou Dânavas cHheindousz le, Izs eds ou Amschaspands chez les sui veurs du culte de Zoroa stre, Cacodémon ou Agathodémon chez lGeres c, Lsare es t Larves darens lliagi on romaine, e Yats ha dans lac ulture japona. ise Mésopotamie La variété presque infinie des démons en Mésopotamie est à la mesure de l'imaginaire local. Les créatures démoniaques, agents ou simples vecteurs du Mal ont souvent été créé s par les dieux, voire sont issus d'eux, en particulier du couple An (Le Ciel) et Ki (l a Terre), ce qui souligne leur proximité avec les forces élé[1]me. Centairertasins sont à mi-chemin entre les génies m alfaisants et de véritables divinités comme Lamashtu, fille d'Anu, Pazuzu, fils du di eu infernal Hanbu, Sulak ou encore Namtar, autre personnage divin des Enfers, fils d'Enlil. D 'abord conçus comme les exécuteurs des châtiments décrétés par les dieux, qui se manifesten t souvent par des atteintes er physiques, les démons devienne mintl alénau 1ire des entités maléfiques pratiquem ent autonomes émanant du monde infernal où ils cherchent à entraîner leurs victimes. La "pos session démoniaque" entraîne des maux physiques et moraux qui excluent de la société humaine ceux qui en sont atteints. Les démons touchent leur victime par contact ou par une véritable "saisie" et sont souvent évoqués sous la forme d'un souffle ou d'un venin ; ils sont invisibles mais parfoi s entourés d'un halo. Leur corps est sale, impur et répand de mauvaises odeurs. Ils se glissent sans ê tre vus dans les habitations et presque aucun obstacle matériel ne peut les arrêter. Tous les démons voi ent leur pouvoir néfastes particulièrement renforcés dans les lieux et les moments les moins bie n contrôlés par l'homme : désert, ruines, endroits obscurs en général, nuit. Ainsi le démon Allulaya, la c ourtilière, agresse sur la route le voyageur nocturne. Certains démons sont pourvus d'une véritable personnalité, mais la majorité sont plutôt des désignations génériques et œuvrent par groupe de se pt (heptade). Une catégorie particulière est représentée par les Etemmu (sumérien : Gidi m), les spectres. Il s'agit d'humains ayant connu une mort violente ou souffert d'un défaut de ri te funéraire, qui peuvent remonter des Enfers pour tourmenter les vivants. Ils s'introduisent par l 'oreille et provoquent des désordres mentaux. On lutte contre leur atteinte appelée la "main de spe ctre" (qât etemmi) par des rituels et des pratiques magiques. Il est par ailleurs peu recommandé d' évoquer les Etemmu pour pratiquer la nécromancie, car ils se retournent souvent contre ceux qui l es ont appelés. Les démons Alû sont assez souvent rendus responsables des troubles du sommeil : les mauvais rêves, l'insomnie, mais aussi son opposée, la somnolence perpétuelle appelée "la main du dém on Alû". On trouve également les Kûbu, fantômes des fœtus morts avant terme, et, par opposit ion au "dieu protecteur" qui accompagne chaque individu, un "mauvais démon personnel", qui attaque les gens en s'attachant à eux individuellement. Certains démons sont enfin simplement la pe rsonnification de maladies comme l'épilepsie (Bennu), le mal de tête (Di'u) ou de mauva ises influences (le "mauvais œil"). Antiquité Dans la religion grecque populaire,dai lemon dé) démon (signait une sorte de génie ambi valent, un être doué de pouvoirs surnaturels, capricieux et imprévisible, présent en des lieux étranges à des moments particuliers et à l'œuvre dans les évènements effrayants de la nature et de la vie humaine, mais susceptible d'être apaisé, contrôlé au moins par des moyens magiques" (W . Foerster, "Daimôn, daimonion, i Tnheological Dictionary of the New , tTes. II, 1964, p. 8tament ). Hésiode , au VIII° s. av. J.-C., dans sa Théogonie, distingue cinq catégori es de puissances : les démons supérieurs ou dieux (race d'or), les démons inférieurs (race d'ar gent), les morts de l'Hadès (race de bronze), les héros sans promotion posthume, enfin les hommes du passé (race de fer). "C'est Hésiode qui, le premier, de manière nette et déterminée, a rece nsé quatre genres d'êtres doués de raison : les dieux, ensuite les démons, ensuite les héros, et, en pl us de tous ceux-là, les hommes. Opérant un tri parmi eux, il semble bien qu'il admet une transformation de la race d'or en une multitude de bons démons et des demi-dieux en héDeros l." (a diPspalutriarquetion de, , s oracles 10 :D ialogues pythi, Gquesarnier-Flammarion, 2006, p. 161.) Pythagore voit des âmes ou esprits partout, elles sont des parcelles détachées de l'éther : "L'air en sa totalité est rempli d'âmes, et ces âmes sont appelées démons et hé ros" (Diogène Laërce, VIII, 32, Le livre de poche p. 966). Pythagore distingue quatre types d'entités spirituelles : dieux, héros, dé mons, humains. Les dieux sont des âmes immortelles, les humains des âmes mortelles. Les dieux hab itent les astres, les héros glorieux l'éther, les démons la terre. Les héros sont de demi-dieux. Les dé mons "Daemon" tels qu'ils apparaissent dans la littérature grecHqueésiode de sontpui de s s êtres intermédiaires ent re l'homme et ldia vini, peté rsonnifiant tantôt les vertus morales, tantôt lenastur force. Iles as deide lnt la es dieux à organiser le monde et à faire reordre spe mcort. Lealr le' mot sert aussi bien à dési gner l'être responsable de la destinée d'un être humain, que le génie spécifique d' une cité, d'un lieu, ou d'une famille. Il correspondgeni au deus s latins. AiSnocsira, te, selLon e Banque det P laton, considéra it être inspiré par un démon particulie. r "En premier lieu, honore les dieux immortels, selon le rang qui leur est assigné par la loi. Révère aussi le Serment. Ensuite, honore les héros glorieux Et les démons terrestres en accomplissant les prescriptions de la loi. Honore aussi tes parents et ceux qui sont nés dans ta parenté. Vers d'or pythagoric, 1-4.iens Platon, dans lTeim ée, un peu comme Hésiode, énumère dieux, démons, habitants de l'Hadès, héros et hommes du passé. Les Romains admettent dieux, déesses, mânes (âmes des morts), lares (e sprits tutélaires protégeant maisons, etc.), génies (esprits présidant à la destinée d'un lieu, d'un groupe , d'un individu), lémures (spectres de morts)... Saint Justi (II° sn .), le premier, voit dans les dieux du paganisme deApol s eoginvo,e syés du démon ( I, 5, 25-27). Il sera suivi par quantité de théologiensDe, dont spe cTetacrt), Luluillsiaectn (ance (IV ° s.). Le néoplatoniciePn orphyre de (ve Tyr rs 260) se demande avec prudence com ment distinguer les êtres divins de haut rang (dieux,ange as, dérchamonsnge,s hé, ros, archontes du cosmos ou de la matière) de simples âmes, sans parler des eant spriitths).e moialins ( "Tu [toi, Porphyre de Tyr] t'enquiers de ce qui manifeste la prése nce d'un dieu, d'un ange, d'un archange, d'un démon ou de quelque archonte [gouverneur de planèt e] ou d'une âme. D'un mot, je prononce que les manifestations s'accordent à leurs essences , puissances et activités... D'une seul espèce sont les apparitions des dieux ; celles des démons variées ; celles des anges, plus simples que celles des démons, mais inférieures à celles des di eux ; celles des archanges, plus proches des causes divines ; quant à celles des archontes, si tu entends par là les maîtres du monde qui administrent les éléments sublunaires, elles sont vari ées, mais rangées en ordre..."[2] Christianisme Article détaillDé :émons dans le christiani.sme Notes et références 1. ↑ (fr)[PDFD]émons et exorcismes en Mésopotamie e [tar echin Jv]e sudéure www.qro.unisi.i. Const ulté le 11 novembre 2010. 2. ↑ Jamblique Le,s Mystères d'Égypt (vee rs 320), II, 3, Les Belles Lettres, p. 79-80. Bibliographie • Francis Joannes & Cie, "Dictionnaire de la Civilisation Mésopotamienne", Éditions Robert Laffont, Paris, 2001. • Abbé Migne, Dictionnaire des sciences occultes et - P des sariupes - 1846. rstitions Je fais tout wikipédia... lol Tertulien m'intéresse... ok, je le met quand même.. histoire de mieux connaî ,o tre Benoît XVI Quintus Septimus Florens Tertullianu, dis Tetr tullien, né entre150 e160t à Carthage (actue lle Tunisi) ee t décédé ve 220 rs à Ca rthage, esétc un riva dein languelati ne issu d'une fa mille e berbè [1]re ,[2] romanisée epatïe nne . Il se convertchriit asu tianism àe la fin du II sièc elet devi ent la figure emblématique de la communauté chrétienneThéol deogie Can , rtpèrehage de . l'Égl, ise auteur prolifciaquetéchè, te, son influence sera grandeOcc daide nsnt l c' hré.t
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