Produits électoraux en vrac
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Sarko lies... is the crisis !
Dans le panier du citoyen à presque 50 jours du premier tour, la taxe machin, l'impôt truc, les taux bidules ; autant d'outils argumentaires qui devraient servir, ceux qui iront voter, à faciliter leur décision et non l'obstruer car qui se souviendra le 21 au soir, la veille d'aller nourrir les urnes, combien de données chiffrées sont venues servir d'alibi à la poursuite de ce qui en fait revient à prolonger - là où se sont trompés les versaillais des accords de Lisbonne - ce décidément TCE (Traité de Constitution Européenne) qui finalement était à lui tout seul, la cause de toutes ces indécisions situationnelles de crise mises au service de la plus grande audace électorale jamais connue, basée sur la meilleure supercherie économique jamais utilisée… La pire ! Celle qui consiste à poursuivre le tracé chemin obtenu au forceps avec une abnégation inégalée et un acharnement à toutes épreuves, l'inflation européenne qui rend certaines politiques catastrophiques indispensables en jouant sur des peurs aux lendemains incertains et la crise qui est désormais devenue l'arme électorale favorite de toute une droite - elle aussi européenne - acharnée, mais quand même craintive, à l'idée d'une remise en question intégrale de la conduite des affaires européennes depuis un traité dont on a refusé le verdict…
… Taxe, impôts, Taux… Investissement, bénéfice, faillite… L'étau se resserre…Éducation, santé, culture… Autant de terrains disponibles où le politique vient, il n'y a qu'à claquer des doigts ! Appelez une personnalité politique que vous connaissez capable d'intervenir et vous risquerez pas de perdre votre travail semblerait être la synthèse de deux premières semaines tantôt fades, lorsque s'égraine la méthode des idées pratiquées depuis 30 années glorifiques dans lesquelles le capitalisme se ressourçait aisément, parfois rugueuses dans les interventions de jugement de la paire élitiste qui forme la tête des sondages et carrément obsolète lorsque s'interpellent la continuité et le changement dans des versions contemporaines qui, si leurs origines ne puisent pas aux mêmes sources, n'en révèlent pas moins le même service rendu au capitalisme, sensiblement identique depuis que fut refusée par les urnes les clauses qui scellaient l'entrée en matière des politiques néo-libérales. Ces mêmes politiques libérales...

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Publié le 26 février 2012
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Langue Français

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Produits électoraux en vrac ! Sarkolies is the crisis!
Dans le panier du citoyen à presque 50 jours du premier tour, la taxe machin, l'impôt truc, les taux bidules ; autant d'outils argumentaires qui devraient servir, ceux qui iront voter, à faciliter leur décision et non l'obstruer car qui se souviendra le 21 au soir, la veille d'aller nourrir les urnes, combien de données chiffrées sont venues servir d'alibi à la poursuite de ce qui en fait revient à prolonger - là où se sont trompés les versaillais des accords de Lisbonne - ce décidément TCE (Traité de Constitution Européenne) qui finalement était à lui tout seul, la cause de toutes ces indécisions situationnelles de crise mises au service de la plus grande audace électorale jamais connue, basée sur la meilleure supercherie économique jamais utilisée… La pire ! Celle qui consiste à poursuivre le tracé chemin obtenu au forceps avec une abnégation inégalée et un acharnement à toutes épreuves, l'inflation européenne qui rend certaines politiques catastrophiques indispensables en jouant sur des peurs aux lendemains incertains et la crise qui est désormais devenue l'arme électorale favorite de toute une droite - elle aussi européenne - acharnée, mais quand même craintive, à l'idée d'une remise en question intégrale de la conduite des affaires européennes depuis un traité dont on a refusé le verdict…
… Taxe, impôts, Taux… Investissement, bénéfice, faillite… L'étau se
resserre… ducation,santé, culture… Autant de terrains disponibles où le politique vient, il n'y a qu'à claquer des doigts ! Appelez une personnalité politique que vous connaissez capable d'intervenir et vous risquerez pas de perdre votre travail semblerait être la synthèse de deux premières semaines tantôt fades, lorsque s'égraine la méthode des idées pratiquées depuis 30 années glorifiques dans lesquelles le capitalisme se ressourçait aisément, parfois rugueuses dans les interventions de jugement de la paire élitiste qui forme la tête des sondages et carrément obsolète lorsque s'interpellent la continuité etlechangementdes versions contemporaines qui, si leurs dans origines ne puisent pas aux mêmes sources, n'en révèlent pas moins le même service rendu au capitalisme, sensiblement identique depuis que fut refusée par les urnes les clauses qui scellaient l'entrée en matière des politiques néo-libérales. Ces mêmes politiques libérales devaient leur essor à l'élargissement de la zone européenne devenue suffisamment grande pour qu'à l'essentiel, la majorité revienne au petit parti populaire créé par Raffarin et qui rassemblait toutes les tendances droitières représentées par des formations aussi différentes, allant du centrisme à l'extrême droite, toutes réparties dans les différents pays membres… L'occasion fît le larron et aux droitiers la garantie de faire de leur Europe un empire où le socialisme ne pourrait plus que constituer une cohabitation passagère définitivement minoritaire, coincé par le fascisme hongrois et l'Ump de l'Est (Poutine)… Nos vaillants français revenant continuellement sur certaines des impasses de ce TCE, refusé dans un premier temps puis validé par accords qui passaient pour être unemajorité de raisonl'époque et que le Socialisme à européen, différent de la Gauche européenne, portaient au service d'une politique libérale droite dans l'Europe mais gauche dans ses principes.
Alors ces présidentielles deviennent soudainement la porte qui s'ouvre pour valider une bonne fois pour toutes le résultat des conclusions du référendum alors déjà populaire à l'époque qui fut jeté au panier et dont aucunes des mises en garde dont toutes critiques faisaient mention n'éveillèrent l'attention… Mais enfin on se battait déjà à l'époque contre les risques de la perte des droits sociaux, l'inflation galopante et l'évolution des salaires qui ne suivait toujours pas l'indice de l'augmentation du coût de la vie. Et ça n'a fait qu'empirer… Dans l'empire de l'Union européenne devenue suffisamment "large" pour que la droite puisse se garantir une forte majorité de sièges cumulés entre les différents États qui la constitue sans que jamais ne puisse être remis en question le modèle économique sous-jacent. Précipitation du socialisme de l'Europe ou préservation d'une certaine conformité vendue pour du réalisme à l'argumentaire alors développé par les Partis de Gauche européens vraiment caractérisés par la lucidité politique et non par la simple idée de poursuivre l'Europe dont il était impossible, ou pas question d'en revenir en arrière ?
Et le Président sortant marie l'idée référendaire comme un argument à sa réélection tel un De Gaulle menacé qui sentait qu'il allait tout perdre ! Il invente des référendums futurs pour mieux nous faire oublier le précédent qui n'a pas été respecté… Stratégie de l'oubli et illusion d'y avoir pensé… Au moins Nicolas Sarkozy aura pris conscience de l'importance des référendums dans cette campagne 2012, qu'il adopte le précédent avant même d'en caresser l'idée… Mais non, la crise devient un fond de commerce inépuisable où la valse de l'inflation permet à peu d'augmenter en milliards d'euros leur richesse tout en garantissant la baisse des intérêts de la multitude de petits épargnants priés de se contenter de la chute graduelle mais évidente depuis les dix dernières années de l'épargne du peuple… Et malheureusement, quand baisser les Tx d'intérêts n'est plus suffisant on en vient aux suppressions ou aux plafonnements de certains placements… Toujours chez la grande masse du peuple épargnant pour ouvrir aux gros capitaux des largesses plus extrêmes. Et puis encore de raison supplémentaire aurait été de faire un référendum sur l'augmentation de son salaire le jour de son investiture… On aurait voté le jour même, à la fois pour son élection et pour sa démission "référendaire" qui aurait refusée l'augmentation jointe de ses dédommagements et il serait parti faire du fric ailleurs puisque si il n'est pas réélu, Nicolas Sarkozy aime plaisanter à signaler qu'il continuera à faire du pognon ! Indice important de la faillibilité qu'il aurait à régner plus longtemps encore et en votant Mélenchon la possibilité inespérée de pouvoir réviser la formule magique européenne devenue économiquement contestable !
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