La Mare au Diable par George Sand
56 pages
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Description

La Mare au Diable par George Sand

Informations

Publié par
Publié le 08 décembre 2010
Nombre de lectures 221
Langue Français

Extrait

The Project Gtuneebgre oBko , MLae ar Daubliab ,eeG yegronaS d
***START OF THE PROJECT GUTENBERG EBOOK LA MARE AU DIABLE***
Produced by Daniel Fromont.
George Sand (née Amandine Aurore Lucile Dupin puis baronne Dudevant dite George Sand) (1804-1876), La mare au diable (1846), édition de 1929
Produit par Daniel Fromont
Title: La Mare au Diable
Author: George Sand
Release Date: November 21, 2007 [eBook #23582] Language: French
This eBook is for the use of anyone anywhere at no cost and with almost no restrictions whatsoever. You may copy it, give it away or re-use it under the terms of the Project Gutenberg License included with this eBook or online at www.gutenberg.org
La Mare Au Diable
Par
George Sand
Calmann-Lévy Editeurs 3, rue Auber Paris 1929
NOTICE
Quand j'ai commencé, par laMare au Diable, une série de romans champêtres, que je me proposais de réunir sous le titre deVeillées du Chanvreur, je n'ai eu aucun système, aucune prétention révolutionnaire en littérature. Personne ne fait une révolution à soi tout seul, et il en est, surtout dans les arts, que l'humanité accomplit sans trop savoir comment, parce que c'est tout le monde qui s'en charge. Mais ceci n'est pas applicable au roman de murs rustiques: il a existé de tout temps et sous toutes les formes, tantôt pompeuses, tantôt maniérées, tantôt naïves. Je l'ai dit, et dois le répéter ici, le rêve de la vie champêtre a été de tout temps l'idéal des villes et même celui des cours. Je n'ai rien fait de neuf en suivant la pente qui ramène l'homme civilisé aux charmes de la vie primitive. Je n'ai voulu ni faire une nouvelle langue, ni me chercher une nouvelle manière. On me l'a cependant affirmé dans bon nombre de feuilletons, mais je sais mieux que personne à quoi m'en tenir sur mes propres desseins, et je m'étonne toujours que la critique en cherche si long, quand l'idée la plus simple, la circonstance la plus vulgaire, sont les seules inspirations auxquelles les productions de l'art doivent l'être. Pourla Mare au Diableque j'ai rapporté dans l'avant-propos, une gravure d'Holbein,en particulier, le fait qui m'avait frappé, une scène réelle que j'eus sous les yeux dans le même moment, au temps des semailles, voilà tout ce qui m'a poussé à écrire cette histoire modeste, placée au milieu des humbles paysages que je parcourais chaque jour. Si on me demande ce que j'ai voulu faire, je répondrai que j'ai voulu faire une chose très touchante et très simple, et que je n'ai pas réussi à mon gré. J'ai bien vu, j'ai bien senti le beau dans le simple, mais voir et peindre sont deux! Tout ce que l'artiste peut espérer de mieux, c'est d'engager ceux qui ont des yeux à regarder aussi. Voyez donc la simplicité, vous autres, voyez le ciel et les champs, et les arbres, et les paysans surtout dans ce qu'ils ont de bon et de vrai: vous les verrez un peu dans mon livre, vous les verrez beaucoup mieux dans la nature.
GEORGE SAND.
Nohant, 12 avril 1851.
TABLE
NOTICE
I. L'auteur au lecteur II. Le labour III. Le père Maurice IV Germain le fin laboureur V. La Guillette VI. Petit-Pierre VII. Dans la lande VIII. Sous [es grands chênes IX. La prière du soir X. Malgré le froid XI. À la belle étoile XII. La lionne du village XIII. Le maître XIV La vieille XV. Le retour à la ferme XVI. La mère Maurice XVII. La petite Marie
APPENDICE
I. Les noces de
II. Les livrées
III. Le maria
IV
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 pdus urque vrauoder li' ne ,etumontlui  ce ranterosapvu aofsul um'hitanqué l 'irpém,esimoc tnem on le rendra sesnbiela xud uoele stned sed tnaçolviu  dntuajot amegelisna snod et dein Holbs d'çrofé taerru ud  rdueuôddévat  e.tL a'ff redn iurt, grinreuse mod  e steloreocsnr leertirvers pe
1
A la sueur de ton visaige Tu gagnerois ta pauvre vie, Après long travail et usaige, Voicy lamortqui te convie.
L'AUTEUR AU LECTEUR
LA MAREAU DIABLE
 ,'n aap srtuoéve ses devancierspsa ,tce ed vnocoy m, enussoet cmaapng e'sténeadu loin, on y voiim uueilu'd hc np.amne Uas v cteerrubauoudsic nosa cant ue aharraL .éteveruvarg seréep r lune ntesse prone tristsns naïaofdn eadioitd'n coe osmptse u'd bloH,nielacés, pnçai fra'dnuuo sedssa -u qLexueiv ne niartaut ingambe dans cere tsa llgèere leelUn. eu sêtl bar uetote xber ntase fae, utiqunup se tnngareosusetr euC'. geaiècs etteus ed enôcétd seliol n àans le s court d,teuiuq u'd of ne ttméarsqn leueuav ur ehcrad  ealetde vant serv ,epparf sel te ésayfrefuxvahe cc eshcuoed eèirr lrecoa inll Ce. tedp uarvsec baanes; le soleil iavart eyapeL .lt esn sa tx,euvil  ae'ts'dnuif nde je ruée dournua qe trageldee i'uqop lvehc xuauvert derapu, co.sL a'tth iallnoonnf'e soces lé;sdnof nu snad ect esavan en usseétun ,xegier tam, rtmoa  sntuajotisopmocl ùo noi pag lesest es, lô enor tuse àote sémidontna He,l el neialtenep mparaître les soloebnia f ia tocnama sel ,sefitnpos le, nsaieruv,sl goeni rvl seurs,joueles ts, l ,sb seitruenasle, cos noesesnn sugreirrvse ,el les paurigands,l baeixuru .uoert laC'est, c morrtceps eloH'uq e i ainbeitdurontlaélogiruqmene tdans la successid nous estejihp soloiqphs ue retla f, à ieuxelige  trbseulugio stutiin, nsfoufborhcalumiSsel eél mort.Daes de lac loeltcsnc teetutpl dôtn,iou  oav e ets snattecienntoïcée spenstt e.eeCicépnaitt or mne ust eiev as euq te erdrien à peil n'a rapcrqe'u sodtu es,paan sra ct inn lial eeral'uq ruc  sel?eL motprouv y telleent-lersemâ sesueigiteanolnses let, se-tleelb ei noc la Renaissance d em-imeeïaped ndue hr ctiisisanom al ed ertcepsacen me,llai rrttôerudn e  tmesp le tout par; ett ,s tuoayovrueges d ton mledeonm ioen,sre,sl sefs, les  les juir ieum for plaà ir ud etcéd ,ehcpauv le azarre Luohc,ec  rnu éusll eese abt ntse'C.e tseulecùo ie et triomphe. Du' neslut baelualeabun, ime acplsirtsset !no enUse sur lalité pèbaelf ta eferfyoa  lue qonxileéfr elues al rap eux?Nur el pon masau tsp n e'omtruh'linamC.éttse'ur se  lrtsoe  derd uoolruuees , bien là la satialeC .etbmesser dee vr'uisrt'a lmarèitnocneé eal unele àédic malq iubasuusepbrsea vie, eent de lrom it tuq tal es leevcht enr paelf xu ,tieia'bmran,e tye, lourbot ,éhcuabéd el s urheéc pes cuse fou, lepauvre apsyna ,ostni-sléd dmaoms gé lde ruegnolm eurèsi voneux,re pt êt ,asnusiuoetsnd  lisma; leugve'anem el ,l ,tnaidant de lni au nén  iuas  aotbm,e Ne.s ou l àvia p sn sulc enoyorulons vo nourcé;s iov ei eal suq uarépetch autalof tnemecnoner n e'lniujtsci ete ledédommagementnoren -s suommoclee hâ cmeti dntlpsuno siaera ffa mo à lmaisrt, s al ed cnarffuo nn,Noe?avn's ou snap alon-sd sucheronerusnoCh? nirdno-s ,uq eepe siècle'un autruqovni'l ?etnesépré itanum'h ldeoi nrétaménualr ort  lame deenséou sles yes . uxH'uqebloa nitiave de la société alp ietnru erviaar, usno dessttiiapparf  siam ;tilàc, voi lee qu eterCmiehrum las seà e char mrte tuaf lI .sétôcmort la  quenfinn  ilpsuostin  entmee  d cletihâtirén ,ép alpsorsolationi la contéerss.ed  eald f lI .ue euq tuaouab lleen, urrena ts melb,éos nhequ sactrav'il llia à evu'ld ervie  ee,not qun i' lesr jéuosies de ce que la moua tlIf eh .r cit du more laus deuqnifa ,xuerueht enoi sustoe qunu sens euqleu-seur de q le bonhd tiiD e te duamimcrelint ois paous ue nons voulnn,e tobecq p raIl. deonqut au f elle'uqcéf tioson fumier, afin Lezara euqtiets e  sjoréssuiple  euqp elrvuaen enellrimieur e, lse-tub tttielia ar pe,lii  sisfoesueicivc is te ignant lamisère isl iaed ,isa iv detlae hi psoloeihpam ;e siep nudd rt etuê  iepart e l'ne domaieimuf el ,erèsimec Ce.araz Lder luue,r'lerl  aodn de la abjectio,erua's  selotne p àndeiacttntherus xuei iuq ec ren  untér srdgat metoerejatsp ,rtisns ade ntes eh euerueC.xiatr vnet eusrpadrenyorec ue xuqo' noit permis d'env silù  ogefuren u ertê sap tiod e netomb la , etv ei ialb nélia ; ier cae rd vlamodéegamin ,d à  à punirtinée nil a'd seD ei uene quusnoe  nmpcoonerp snt sa porcomment on le réoccnlieiara evlc psat antl eteorissassa'atteug non snt sil. ommec nooNsuno sefssi sanommes srb srdouui'hs.deuj Aomtnerl o  nul i crochete bandittiartnom iul no e ntéaebssfoa  sêrettrp  aomtel  danacer'enl à lavsir cieh ,ocmmeffraient le mauad a esnacam,erb ae,teu s mp ldeersuerc sul  éosant ontrouffce gnelupo'l sli ,ecralfsoe e  dlegicer là-ds prononp san uon o'ossnu' q mens ourediep nn tuusseO .sutai salt-iln estee e'fftel tn ,usNo? ntieraudvoel sli emmoc ,er
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