La dame de Monsoreau — Tome 2. par Alexandre Dumas père
147 pages
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La dame de Monsoreau — Tome 2. par Alexandre Dumas père

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The Project Gutenberg EBook of La dame de Monsoreau v.2, by Alexandre Dumas Copyright laws are changing all over the world. Be sure to check the copyright laws for your country before downloading or redistributing this or any other Project Gutenberg eBook. This header should be the first thing seen when viewing this Project Gutenberg file. Please do not remove it. Do not change or edit the header without written permission. Please read the "legal small print," and other information about the eBook and Project Gutenberg at the bottom of this file. Included is important information about your specific rights and restrictions in how the file may be used. You can also find out about how to make a donation to Project Gutenberg, and how to get involved. **Welcome To The World of Free Plain Vanilla Electronic Texts** **eBooks Readable By Both Humans and By Computers, Since 1971** *****These eBooks Were Prepared By Thousands of Volunteers!***** Title: La dame de Monsoreau v.2 Author: Alexandre Dumas Release Date: January, 2006 [EBook #9638] [This file was first posted on October 12, 2003] Edition: 10 Language: French *** START OF THE PROJECT GUTENBERG EBOOK, LA DAME DE MONSOREAU V.2 *** The Online Distributed Proofreading Team. This file was produced from images generously made available by the Bibliothèque nationale de France (BnF/Gallica) at http://gallica.bnf.fr. LA DAME DE MONSOREAU PAR ALEXANDRE DUMAS ÉDITION ILLUSTRÉE PAR J.-A. BEAUCÉ DEUXIÈME PARTIE PARIS 1890 TABLE DES MATIÈRES DE LA DEUXIÈME PARTIE. I.—Comment frère Gorenflot se réveilla, et de l'accueil qui lui fut fait à son couvent. II.—Comment frère Gorenflot demeura convaincu qu'il était somnambule, et déplora amèrement cette infirmité. III.—Comment frère Gorenflot voyagea sur un âne nommé Panurge, et apprit dans son voyage beaucoup de choses qu'il ne savait pas. IV.—Comment frère Gorenflot troqua son âne contre une mule, et sa mule contre un cheval. V.—Comment Chicot et son compagnon s'installèrent à l'hôtellerie du Cygne de la Croix, et comment ils y furent reçus par l'hôte. VI.—Comment le moine confessa l'avocat, et comment l'avocat confessa le moine. VII.—Comment Chicot, après avoir fait un trou avec une vrille, en fit un avec son épée. VIII.—Comment le duc d'Anjou apprit que Diane de Méridor n'était point morte. IX.—Comment Chicot revint au Louvre et fut reçu par le roi Henri III. X.—Ce qui s'était passé entre monseigneur le duc d'Anjou et le grand veneur. XI.—Comment se tint le Conseil du roi. XII.—Ce que venait faire M. de Guise au Louvre. XIII.—Castor et Pollux. XIV.—Comment il est prouvé qu'écouler est le meilleur moyen pour entendre. XV.—La soirée de la Ligue. XVI.—La rue de la Ferronnerie. XVII.—Le prince et l'ami. XVIII.—Étymologie de la rue de la Jussienne. XIX.—Comment d'Épernon eut son pourpoint déchiré, et comment Schomberg fut teint en bleu. XX.—Chicot est de plus en plus roi de France. XXI.—Comment Chicot fit une visite à Bussy, et de ce qui s'ensuivit. XXII.—Les échecs de Chicot, le bilboquet de Quélus la sarbacane de Schomberg. XXIII.—Comment le roi nomma un chef à la Ligue, et comment ce ne fut ni Son Altesse le duc d'Anjou ni monseigneur le duc de Guise. XXIV.—Comment le roi nomma un chef qui n'était ni Son Altesse le duc d'Anjou ni monseigneur le duc de Guise. XXV.—Étéocle et Polynice. XXVI.—Comment on ne perd pas toujours son temps en fouillant dans les armoires vides. XXVII.—Ventre-saint-gris. XXVIII.—Les amis. XXIX.—Les amants. XXX.—Comment Bussy trouva trois cents pistoles de son cheval et le donna pour rien. XXXI.—Diplomatie de M. le duc d'Anjou. XXXII.—Diplomatie de M. de Saint-Luc. XXXIII.—Une volée d'Angevins. XXXIV.—Roland. IMAGES Titre Comment Frère Gorenflot se réveilla, et de l'accueil qui lui fut fait à son couvent. Gorenflot regardait le prieur avec des yeux qui passaient par toutes les expressions de l'étonnement. Voilà une tournure, dit Gorenflot, voilà une taille… on dirait que je connais cela. Gorenflot se cramponnait des deux mains à la longe de son âne. Le moine portant les deux selles sur la tête et les deux brides à ses mains. Chicot prit une vrille et fit un trou dans la cloison. Voilà le coup, dit Chicot. Ah! monsieur, vous me rappelez tout ce que je dois à M. de Mayenne; vous voudriez donc que je devinsse votre débiteur comme je suis le sien. Je te briserai comme je brise ce verre. M. de Guise. Henri posa son coude sur son genou et emporta son menton dans sa main. Autour de moi? je ne vois que vous et Chicot, mon frère, qui soyez véritablement mes amis. Qui aime bien châtie bien. Croyez-vous que je pense que c'est par amitié que vous me venez voir? Non, pardieu, car vous n'aimez personne. Vous pouvez regarder cet entretien comme le dernier. Demain je pars pour Méridor. A moi! au secours! à l'aide! mon frère veut me tuer. Schomberg. Monsieur, dit Chicot, je remarque que vous ne me faites pas l'honneur de m'inviter à m'asseoir. François: te voilà tombé sous ma justice. Le duc s'approcha de la lumière. Puis il enjamba la balustrade et passa le pied sur le premier échelon. N'est-ce pas que j'ai bien fait, madame, que vous m'approuvez? Eh bien, vous en avez menti, monseigneur. CHAPITRE PREMIER COMMENT FRÈRE GORENFLOT SE RÉVEILLA, ET DE L'ACCUEIL QUI LUI FUT FAIT A SON COUVENT. Nous avons laissé notre ami Chicot en extase devant le sommeil non interrompu et devant le ronflement splendide de frère Gorenflot; il fit signe à l'aubergiste de se retirer et d'emporter la lumière, après lui avoir recommandé sur toutes choses de ne pas dire un mot au digne frère de la sortie qu'il avait faite à dix heures du soir, et de la rentrée qu'il venait de faire a trois heures du matin. Comme maître Bonhomet avait remarqué une chose, c'est que dans les relations qui existaient entre le fou et le moine, c'était toujours le fou qui payait, il tenait le fou en grande considération, tandis qu'il n'avait au contraire qu'une vénération fort médiocre pour le moine. Il promit en conséquence à Chicot de n'ouvrir en aucun cas la bouche sur les événements de la nuit, et se retira, laissant les deux amis dans l'obscurité, ainsi que la chose venait de lui être recommandée. Bientôt Chicot s'aperçut d'une chose qui excita son admiration, c'est que frère Gorenflot ronflait et parlait en même temps. Ce qui indiquait, non pas, comme on pourrait le croire, une conscience bourrelée de remords, mais un estomac surchargé de nourriture. Les paroles que prononçait Gorenflot dans son sommeil formaient, recousues les unes aux autres, un affreux mélange d'éloquence sacrée et de maximes bachiques. Cependant Chicot s'aperçut que, s'il restait dans une obscurité complète, il aurait grand'peine à accomplir la restitution qui lui restait à faire pour que Gorenflot, à son réveil, ne se doutât de rien; en effet, il pouvait, dans les ténèbres, marcher imprudemment sur quelques-uns des quatre membres du moine, dont il ignorait les différentes directions, et, par la douleur, le tirer de sa léthargie. Chicot souffla donc sur les charbons du brasier pour éclairer un peu la scène. Au bruit de ce souffle, Gorenflot cessa de ronfler et murmura: —Mes frères! voici un vent féroce: c'est le souffle du Seigneur, c'est son haleine qui m'inspire. —Et il se remit à ronfler. Chicot attendit un instant que le sommeil eût bien repris toute son influence, et
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