Un
vieillard
c’est comme
un arbre,quand
il ne donne point
de fruit, il fait de
l’ombre... Est-ce que
je suis heureux ? Je ne suis
pas à plaindre ! Je serai plus
heureux le jour où il y aura moins
de malheureux sur terre...
Est-ce que je me sens libre ? Je serai
plus libre, le jour où les chaînes qui
entravent les hommes et notre liberté de
pensée, seront brisées...
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Cet ouvrage a été composé par Edilivre
175, boulevard Anatole France – 93200 Saint-Denis
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Tous droits de reproduction, d’adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.
ISBN numérique : 978-2-332-86210-5
© Edilivre, 2015
Lavieest remplie de tristesse,
De moi, s’éloigne le bonheur (?)
Orphelinde ta présence,
C’est le chagrin tous les jours
Meurtrissures de ton absence
Le cœur saigne, l’âme pleure !
J’entretiens ma patience
Du coucher jusqu’aux aurores…
Je scrute chacun des lieux
Pour retrouver cette douceur
Présente vraiment partout
Et vraiment nulle part ailleurs
Et quand j’ouvre les yeux
Ce terrible cauchemar demeure.
Oui, l’amour rend fou
Meurtritles tendres cœurs !
Ta visibilité me fait souffrir,
Ton invisibilité est un drame ;
Dans chaque discretsourire
Sur les lèvres de jolies femmes
Même dans l’obscurité à fuir
T’es la luisance des flammes !
Cela me rappelle des souvenirs…
Dans mes yeux des chaudeslarmes.
Sans toi la vie est sans âme
Comment pourrais-je êtreheureux ?
Sensible, dépendant du charme
Perplexe et malheureux…
J’ai voilé l’esprit et l’âme
Je ne peux être amoureux
Comment dire à une autre je t’aime ?
T’es lademeurede mes yeux !
Matin, midi,surtoutle soir
Torturé par cette absence
Menacé par le désespoir,
Peur de l’oubli et du silence !
Totale ivresse sans boire ;
Rongé par l’impatience…
Hormis tonimage, le reste est noir
Introuvable équivalence.
Quand je somnole, quand je dors
Dans mes rêves t’es jamais loin !
Inconsolableest ma douleur
Au réveil de chaque matin.
J’aimerais te croiser un jour
Ne serait-ce qu’un instant
Je t’expliquerai sans pudeur…
Tu comprendras ce que je ressens !?
Ma vie au jour le jour ?
En dépit du désarroi, l’errance
A raison, peut être à tort ?
N’a pas delimitema patience
En attendant ton retour
Je te prépare une romance
Aucune envie de voir ailleurs
Je pratique l’abstinence.
Dans le moindre des sillages
Dans tous les sens et directions
Prêtà faire tous les voyages
Quelles que soient les conditions
À pied, en volant ou à la nage
Je trouverai une solution…
Revoir cesinguliervisage
Sera ma dernière mission.
Une bouteille bleue, à la mer
Porteuse de mon message…
Vagues ? Ramenez-la près des terres
Posez-la sur le rivage.
Un jour évidemment je l’espère.
Tu feras un tour à la plage
Madouceet très, très chère
Un petit signe avant naufrage.
Accorde-moi une faveur,
Destin, sois juste humain
Allège un peu ma douleur
Soulage ceméchantchagrin
Sois généreux, fais l’effort
Desserre ce putain de frein
Débarrasse-moi de l’inconfort
Fais croiser nos chemins…
Sensible et tendre cœur
Désarmé et sans pouvoir.
J’ai attendu, j’attendrai encore.
Je crois, je continue à y croire
Au rendez-vous comme toujours
Sansfaillir àmon devoir
Aux mêmes lieux, aux mêmes heures
Malgré ma peine, je garde l’espoir.
Je menourrisà cette lumière
Qui luit magiquement des cieux
Du ruissellement des rivières
Et des chants harmonieux des oiseaux
Au vent qui traîne les poussières,
Douce pluie, et soleil précieux
« J’invente » je vis dans cet univers
Qui m’emplit l’âme et les yeux.
Est-ce que je m’adresse aux femmes
Ou plutôt au dieu de l’amour ?
À celui qui m’a donné l’âme
Ou à celle qui me donne l’amour ?
Flambeau indissociable de la flamme
De même pour l’esprit et le corps !
Je m’adresse à Dieu et aux femmes
Et auplurielde l’amour…
Sacré miroir de l’amour
L’illuminationdes zones noires
L’antidote de la douleur
Tu possèdes un immense pouvoir
Potion magique du bonheur
Et combien d’autres savoirs…
Au ventre, ce volcan depeur…
De te perdre, ou ne plus te revoir.
Je n’adhèreà aucune confession
Ni à une quelconquecroyance
L’amour est ma religion…
Le reste a moins d’importance.
Des lieux saints dans chaque région
En principales résidences
Ostentatoirement, porter tes légions
Dans tous les lieux et circonstances !
J’aurais aimé être un auteur
Noircir des pages et des pages.
J’aurais voulu être un chanteur
User et abuser de ton langage
Et en même temps compositeur
Faire des mélodies de ton héritage
Éternel et talentueux sculpteur
Pouvoirdécrireton image…
Passer des nuits, et des jours
À contempler les paysages.
Le rêve est ma demeure…
Constamment en voyage
Au fond de monfragilecœur,
L’émoi en guise de bagage,
L’inépuisable trésor
J’aimerais que le monde lepartage…
Peut-on décrire dans les ouvrages
Toutes ses vertus et valeurs ?
L’amour est le plus beau partage !
Au-delà des passions du cœur…
Je nerisquede tourner la page
Ni de changer d’avis un jour !
… J’aimerais en être l’otage
Étant vivant et même mort…
Dans l’œuvrede chaque auteur,
Présent comme unrefrain
Dans le printemps des fleurs
Et les senteurs des parfums
L’été, l’automne des saveurs
Neige d’hiver, blancheur des toits
Indéfinissables valeurs…
Pas toujours àportéedemain !
Etalors ? J’ai une faiblesse ;
Et j’en suis plus que fier !
C’est la plus belle des richesses
Que possède la planète Terre.
L’amour fait des prouesses
L’arme anti-haine et guerre !
Jeprêcherai : c’est ma promesse
Ton nom à l’humanité entière.
Lyon, le 18 avril 2013
Pour que l’enfant soit heureux,
Rien ne vaut les bras de sa mère !
Besoin du miel sucré et doux
Et non du cade et du fiel amer.
Sacrilège d’empêcher les oiseaux
De survoler les cieux et la Terre ?
Besoin de toi…
Le bonheur, la joie, me fuit
Aucun plaisir ni désir ni sens,
Le sourire est noyé au fond du puits,
Il a du mal à refaire surface
La vie sans toi, ce n’est pas une vie
C’est juste une banale existence.
Besoin de toi…
Le roi, sans la reine et le château
Ce n’est qu’un malheureux roi !
Point de fumée sans feu…
Ni de feu sans le bois.
Le poisson ne peut vivre hors de l’eau ;
Un oiseau sans ailes ne peut aller loin.
Besoin de toi…
Toutes les eaux rejoignent la mer ;
Les étoiles appartiennent au ciel.
La vision avec une barrière…
Ne peut jouir des arcs-en-ciel.
Pour qu’elle soit fertile, la terre
A besoin de pluie et de soleil.
Besoin de toi…
Triste est l’été sans chaleur,
L’hiver sans neige a-t-il un charme ?
Le printemps fait pousser les fleurs
Au bonheur des yeux et des âmes.
À l’automne les feuilles se meurent,
Au profit des feux et des flammes…
Besoin de toi…
Sans instrument et l’inspiration,
Il demeure orphelin l’artiste.
L’enchaîné : rêve d’évasion…
Enfant privé est un homme triste.
Les problèmes ont besoin d’une solution ;
Sans antidote, la maladie persiste.
Besoin de toi…
Le temps ne perd jamais son temps
C’est lui le maître de l’espace ;
Ami et ennemi en même temps
Il nous amuse et il nous agace,
Étant limité par ce temps
De son glaive, je suis dépendant.
Besoin de toi…
La maladie du manque ruine,
Au point de se laisser noyer…
C’est pire qu’une guillotine :
Le temps ne plaisante jamais !
Plus rien ne vaut la peine,
L’envie de vivre est limitée.
Besoin de toi…
Les chiens aboient, le temps passe ;
Les paroles s’en vont, les écrits s’effacent.
Il nous embellit et nous ruine la face
C’est lui qui fait la pluie et le beau temps.
Peu de joie, plus de tristesse
Parfois envie d’en finir avec le temps.
Besoin de toi…
Quoi que l’on dise, quoi que l’on fasse
Aucune échappatoire au temps
Lui perdure, nous on passe ;
Pas question de perdre son temps.
Il y a urgence avant qu’il passe
Le dernier train, lui appartenant.
Besoin de toi…
Rattraper le temps perdu ?
Combien ont essayé en vain !
Profiter de ce qui nous est dû,
Savourer chaque instant.
Le regret doit être défendu,
Ne pas remettre les choses à demain.
Besoin de toi…
Si j’ai fait le tour de l’univers
Et de toutes les espèces vivantes ;
Combien de pages il faut noircir
Et autant de preuves éloquentes
Tout simplement pour te dire
Combien j’ai besoin de ton étreinte.
Besoin de toi…
T’es le magicien de l’univers,
Tout dépend de ta présence !…
T’es l’art des cieux et des terres…
La beauté en toutes circonstances ;
La paix, l’antidote de la guerre,
Le pouvoir et la puissance !
Besoin de toi…
Même si de moi tu as fait une victime,
De toi je reste amoureux.
Dans le blanc de mes yeux
Ton image je l’imprime…
Si tu entends mon serment intime
Merci d’exaucer mon vœu.
Besoin de toi…
Même si j’ai une attirance pour les femmes !
Mais c’est toi que je veux épouser…
Il a envie de téter ton sein, mon âme,
Saint amour combien t’es sacré !
Laisse-moi porter ta précieuse flamme ;
Jusqu’à la tombe ; le cimetière sera éclairé.
Qui n’a pas besoin de toi…
Lyon, le 25 août 2013
Au début :
Sans toi, mon Amour
Lavien’aurait pas eu desens
Le souffle de mon cœur,
L’âmede mon existence
Ma joie, mon bonheur…
Constamment en effervescence.
Je t’aime mon trésor
Je suis fou de toi,
De plus en plus fort
Je confirme mon choix !
Dans l’océandedouceur
J’ai plongé, je me noie.
Lasaintetéde l’amour
Viergede tous les vices
Inégalable bonheur
Le meilleur des sacrifices
Inépuisables valeurs
Humble cultivatrice.
La reine des femmes
Aux qualités à l’infini
Docteur de mon âme,
La meilleure des thérapies.
Éblouissante flamme
Lumièrede mavie.
… Je me passerai de tout
Mais,jamaisdetoi.
C’est quoi un château,
C’est quoi être roi ?
C’est toi, mon tout
Autre chose pourquoi ?
Je t’aime de tout mon cœur,
Tu habites mon esprit.
La lumière de mes jours
Le soleil de mes nuits
Passionné pour toujours
En admiration, je le suis.
Je donnerais machair
S’il faut te soigner
Je ferais laguerre
Pour que tu sois en paix
Même si ça me coûtecher
Ta valeur est inestimée !
Comment te ledécrire
En paroles sensées
Ma passion mon désir
Lafoliede t’aimer ?
Jepréfèremourir
Que de te quitter.
Sachant sécher les larmes
Lerireremplace lespleurs
Minimiser les drames,
Ça soulage la douleur !
Solutions aux problèmes,
C’est une vie en fleurs.
Laisse-moi menourrir !
À la soyance de tes mains
Laisse-moimourir
Dans l’espace de tes bras
Pour garder tessouvenirs,
Même dans l’au-delà…
La plus belle fleur
La plus chère à mes yeux ;
De tous les amours
Le tien est le plus doux
De nuit ou de jour
T’es monciel bleu.
À la fin :
Dujardinvert fleuri
Et mots enrobés de miel
Aux champs pleinsd’orties
Et l’amertume dufiel
Une guerre sans merci
Qui fait trembler le ciel :
Le jour où je t’ai croisée
Sur ce sale chemin
J’aurais mieux fait
De mecasserles pieds et les bras,
Une existence gâchée
Quel mauditdestin.
Ô mon...