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Publié par | science-magazine |
Publié le | 26 avril 2011 |
Nombre de lectures | 5 |
Langue | Français |
Extrait
"En tant que signataires fondateurs du Traité de l'Antarctique, Etats possessionnés de l'Antarctique et Etats limitrophes des mers australes, la Nouvelle-Zélande et la France ont de nombreux intérêts et des idées en commun sur l'Antarctique", explique l'Ambassade de Nouvelle-Zélande. Au cours des années passées, la Nouvelle-Zélande a développé une bonne relation de travail avec la France sur ces questions, avec comme point culminant, l'officialisation de cette relation en 1994 par un accord bilatéral sur la coopération dans l'Antarctique. L'accord en question qui concerne principalement la coopération scientifique a facilité la participation de la France aux projets par l'International Centre for Antarctic Information and Research (ICAIR) basé à Christchurch. Ces projets sont liés directement au traité de l'Antarctique et comprennent notamment l'élaboration d'une banque de données sur le tourisme dans l'Antarctique et la mise en place d'un annuaire de l'Antarctique. La coopération avec la France sur des questions concernant l'Antarctique s'est étendue au problème de la pêche illégale et non-réglementée à la légine dans les mers australes. Dans l'océan Indien, les îles françaises de Kerguélen et du Crozet ont été particulièrement touchées par cette pêche illégale. La France et la Nouvelle-Zélande, ainsi que d'autres pays concernés, se sont mis d'accord pour échanger des informations sur le non-respect de la loi et travailler ensemble pour réduire cette menace croissante à la gestion durable des pêcheries dans les mers australes.