La lecture à portée de main
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Publié par | le-sport- |
Publié le | 27 juillet 2012 |
Nombre de lectures | 6 |
Langue | Français |
Extrait
Comment expliquez-vous la saison difficile que vous venez de vivre ? J'avais bien commencé, mais après j'ai eu des difficultés, je n'y arrivais plus. J'ai aussi eu une grosse fatigue en décembre. C'est peut-être dû à l'accumulation des matches, je sors de deux saisons à 30 rencontres. Je pense qu'il y a eu une usure mentale à un moment donné, mais je ne veux pas me cacher derrière l'usure ou quoi que ce soit. Je n'ai pas été bon, c'est tout.
"J'ai eu des pistes à Agen, Biarritz, Grenoble, au Racing. Quand le Stade Français s'est manifesté, j'ai tout de suite eu envie de signer dans ce club"
Vous êtes un enfant de l'USAP, a-t-il été facile pour vous de quitter Perpignan ? Non, bien sûr. Mais j'étais arrivé au bout de l'histoire et je pense que c'était le moment de découvrir autre chose. Je ne pense pas que je me suis trompé. Au Stade Français, je vais pouvoir continuer à progresser.
Plusieurs clubs s'intéressaient à vous, comment le Stade Français a-t-il fait la différence pour obtenir votre signature ? J'ai aimé le discours des dirigeants. Le Stade est une grande équipe, il y a un nouveau projet, un nouveau président, un nouveau stade qui arrive, des matches délocalisés au Stade de France. C'est un challenge excitant.
Quels sont les autres clubs qui vous ont sollicité ? Agen, Biarritz, Grenoble, le Racing. Mais quand le Stade Français s'est manifesté, j'ai tout de suite eu envie de signer dans ce club.
Quel est le potentiel du Stade Français cette saison ? Je ne peux pas vous dire, je viens d'arriver. Il faudra voir au cours de la saison, mais on essayera de viser le plus haut possible.
Quel est le meilleur souvenir de votre carrière ? Le titre de champion de France avec Perpignan en 2009 bien évidemment. Ramener le Brennus en Catalogne, ça reste le plus grand souvenir de ma carrière.