Le conseil : un soutien pour les entreprises en temps de crise
2 pages
Français

Le conseil : un soutien pour les entreprises en temps de crise

Cet ouvrage peut être téléchargé gratuitement
2 pages
Français
Cet ouvrage peut être téléchargé gratuitement

Description

Le conseil : un soutien pour les entreprises en temps de crise Recourir aux services d'une société de conseil en management peut entraîner des répercussions décisives sur l'avenir d'une entreprise. Encore faudra-t-il choisir le cabinet en adéquation avec le service attendu.

Informations

Publié par
Publié le 05 novembre 2011
Nombre de lectures 17
Langue Français

Extrait

Le conseil : un soutien pour les entreprises en temps de crise
Recourir aux services d'une société de conseil en management peut entraîner des répercussions décisives sur l'avenir d'une entreprise. Encore faudra-t-il choisir le cabinet en adéquation avec le service attendu. La profession se distingue par son hétérogénéité : elle va du grand cabinet de stratégie international au petit cabinet de consultants indépendant, et compte même beaucoup d'individuels.
Des big four aux petits cabinets indépendants
Au niveau international, les big four dominent le secteur. Plus de 50% des grands cabinets de conseil en management, souvent d'origine américaine, bénéficient d'une organisation mondiale et ciblent principalement les grands groupes internationaux. Peu de grands cabinets ont su rester indépendants. Tandis que les cabinets français répondront plutôt aux entreprises domestiques, tout en les accompagnant dans leur développement à l'international. D'autant que, souvent fondées par des transfuges de grandes structures, des sociétés de conseil ont fréquemment scellé des alliances avec des confrères étrangers. Les PME/PMI de taille moyenne, de leur côté, feront appel à des conseils à vocation régionale offrant des services plus personnalisés.
Les cabinets de conseil en management sont soit généralistes, soit spécialisés par secteur d'activité, par fonction entrepreneuriale ou par discipline du management. Ces structures apporteront aux entreprises leurs compétences dans des domaines très variés : technologies diverses, gestion, marketing, recrutement, organisation, management, informatique...
De la définition des objectifs à la mise en oeuvre opérationnelle
Qu'apportera le consultant extérieur à l'entreprise ? Une expertise du secteur concerné ainsi que des expériences similaires chez d'autres clients, un diagnostic objectif des problèmes et la mise en oeuvre de solutions en toute impartialité, des idées nouvelles, enfin un souffle extérieur redynamisant l'entreprise. Surtout, il ne craindra pas d'aborder les problèmes, sans avoir peur de froisser la hiérarchie ou de se confronter aux équipes, et sans risque pour sa carrière.
En amont, il est important d'avoir clairement défini la problématique et les objectifs, et de ne pas agir dans la précipitation. Rétablir une situation qui se dégrade, améliorer l'existant, ou tout révolutionner sont des demandes fréquentes des entreprises. Le changement peut tout aussi bien porter sur le concret (ligne de production, création de nouveaux produits, systèmes d'information...) que sur la stratégie de l'entreprise, son organisation, son management...
Les dirigeants de la société devront également bien précisr la mission du consultant. Qu'attend-on de lui ? Qu'il se limite à conseiller ou à mettre tout en oeuvre à la place des dirigeants de la société. De plus en plus, ce côté opérationnel est souhaité par le comité de direction. Le consultant accompagne les processus du changement des entreprises et conduit de plus en plus un projet du diagnostic au déploiement.
Les chiffres du conseil
Il existe 35 000 structures de conseil en France. En 2010, le marché du Conseil en Management (ce qui correspond aux missions de Conseil, y compris AMOA, à l'exclusion d'autres activités : outsourcing, développement et intégration, recrutement, outplacement, formation, coaching, études, audit, ingénierie, communication) était évalué à 3,8 milliards d'euros, en progression de 5% par rapport à 2009. Du point de vue de la demande sectorielle, les services financiers conservent en 2010 leur première place (30% du chiffre d'affaires réalisé dans le secteur), suivis par l'industrie (23%) et le secteur public (15%).(Etude d'activité annuelle 2010-11 réalisée par SYNTEC Conseil en Management)
  • Univers Univers
  • Ebooks Ebooks
  • Livres audio Livres audio
  • Presse Presse
  • Podcasts Podcasts
  • BD BD
  • Documents Documents