Néoplatonisme
242 pages
Français

Néoplatonisme , livre ebook

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242 pages
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Description

Néoplatonisme est un livre original lorsqu'il s'ouvre sur une pensée qui trouve son unité dans le système du monde où l'Un, l'Intelligence, l'Âme, le corps, la matière deviennent des réalités. L'Âme va fixer l'existence humaine qui se doit d'être libre, au sein même du cosmos voué à l'éternité, avant d'assumer sa destinée et la providence des dieux, où l'homme arrive à trouver sa place, chez tous ces auteurs, ainsi que dans le théâtre du monde de Plotin en son admirable esthétique.

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Informations

Publié par
Date de parution 01 juin 2014
Nombre de lectures 50
EAN13 9782336350370
Langue Français
Poids de l'ouvrage 2 Mo

Informations légales : prix de location à la page 0,1050€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

JeanMichel Charrue
NÉOPLATONISME
De l’existence et de la destinée humaine
OUVERTUREPHILOSOPHIQUE
Néoplatonisme
Ouverture philosophique Collection dirigée par Aline Caillet, Dominique Chateau, Jean-Marc Lachaud et Bruno Péquignot Une collection d'ouvrages qui se propose d'accueillir des travaux originaux sans exclusive d'écoles ou de thématiques. Il s'agit de favoriser la confrontation de recherches et des réflexions qu'elles soient le fait de philosophes « professionnels » ou non. On n'y confondra donc pas la philosophie avec une discipline académique ; elle est réputée être le fait de tous ceux qu'habite la passion de penser, qu'ils soient professeurs de philosophie, spécialistes des sciences humaines, sociales ou naturelles, ou… polisseurs de verres de lunettes astronomiques. Dernières parutions Sylvie PAILLAT,Métaphysique du rire, 2014. Michel FATTAL,Paul de Tarse et lelogos, 2014. Miklos VETO,Gabriel Marcel. Les grands thèmes de sa philosophie, 2014. Miguel ESPINOZA,Repenser le naturalisme, 2014. NDZIMBA GANYANAD,Essai sur la détermination et les implications philosophiques du concept de « Liberté humaine », 2014. Auguste Nsonsissa et Michel Wilfrid Nzaba,Réflexions épistémologiques sur la crisologie, 2014. Pierre BANGE,La Philosophie du langage de Wilhelm von Humboldt (1767-1835), 2014. Marc DURAND,Médée l’ambigüe, 2014. Sous la direction d’Aline CAILLET et Christophe GENIN,Genre, sexe et égalité,2014. Benoît QUINQUIS,L’Antiquité chez Albert Camus, 2014.Catherine MONNET,La reconnaissance. Clé de l’identité, 2014. Jean PIWNICA,L’histoire : écriture de la mémoire,2014. Jacques ARON,Theodor Lessing, Le philosophe assassiné,2014. Naceur KHEMIRI & Djamel BENKRID,Les enjeux mimétiques de la vérité. Badiou « ou /et » Derrida ?,2014. Pascal GAUDET,Philosophie et existence, 2014. Pascal GAUDET,Penser la politique avec Kant, 2014. Pascal GAUDET,Penser la liberté et le temps avec Kant, 2014. Aklesso ADJI,Ethique, politique et philosophie, 2014. Christian MIQUEL,Apologie de l’instant et de la docte ignorance, 2014.Paul-Emmanuel STRADDA,L’Etre et l’Unité, 2 volumes, 2014. Carlo TAMAGNONE,La philosophie et la théologie philosophale, 2014.Jacques POLLAK-LEDERER,L’Ontologie écartelée de Georges Lukács, 2014.
Jean-Michel Charrue Néoplatonisme
De l’existence et de la destinée humaine
© L’Harmattan, 2014 5-7, rue de l’Ecole-Polytechnique, 75005 Paris http://www.harmattan.fr diffusion.harmattan@wanadoo.fr harmattan1@wanadoo.fr ISBN : 978-2-343-02932-0 EAN : 9782343029320
PREFACE
Nous avons présenté ici, à fin de publication, sous le titreNéoplatonisme, tous nos congrès, au nombre de 9, préparés entre 2007 et 2013, 8 déjà exposés, le 9è le sera en Juin 2014, ce à quoi s’ajoute le dernier exposé sur l’art qui vient harmonieusement les compléter. Les lieux et dates figurent dans la préface et à la fin de chacun, avant la bibliographie. Ils sont présentés dans un certain ordre que l’on retrouve dans la table des matières. S’il y a une vision unitaire, qui peut faire parler denéoplatonisme, c’est autour duParménidede Platon et de son exégèse qu’elle se situe. Nous 1 l’avons dit assez ailleurs , pour qu’il ne soit plus besoin de la justifier. Tous les néoplatoniciens l’ont pris pour point de départ. Il reste un doute sur Jamblique, puisque toute son œuvre n’a pas été conservée, mais l’on a dit 2 que pour lui l’Un de la première hypothèse « signifie dieu et les dieux » . Pour Hiéroclès, H. S. Schibli dit qu’ « il parlait d’une monade, dans le Commentaire sur les Vers d’orle démiurge, dieu intelligible», et que « 3 représentait la deuxième hypothèse » . C’est Plotin, en effet, qui a donné l’élan avec son interprétation des trois hypothèses comme l’Un, l’Intelligence et l’Âme. Mais l’interprétation d’ensemble revient à Proclus et à l’Ecole d’Athènes. Après avoir parlé, dans sonCommentaire sur le Parménide, de la division en 10 du Philosophe de Rhodes, il expose celle de Plutarque d’Athènes en 9 qui deviendra la sienne complétée par Syrianus, où l’on peut lire, Si l’Un existe : 1 dieu 2l’intellect 3l’âme 4les formes unies à la matière 5la matière l’Un n’existe pas : 6 les êtres sensibles 7 les objets de connaissance 8 les ombres et les songes 4 9 les réalités inférieures 1  Cf. J. M. Charrue,Plotin lecteur de Platon;, Belles Lettres, Paris, 1978 Illusion de la dialectique et dialectique de l’Illusion, Belles Lettres, Paris, 2003. 2 Cf. H. D. Saffrey,Relecture de Jamblique,Le néoplatonisme après Plotin, Paris, p. 69. 3 Cf. H. S. Schibli,Hierocles of Alexandria, Oxford, 2002, p. 44-46, et 58. 4 Proclus,Commentary on the Parmenides, 1058 a21-106120 ed. G. Morrow et J. M. Dillon, Princeton, 1987, p. 415-417, cf. H. D. Saffrey, dansProclus,Théologie platonicienne,Belles Lettres, Paris, 1968 I, p. LXXXV.
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Le néoplatonisme était devenu unsystème du monde. Et c’est celui-ci que nous avons pris pour point de départ dans nos chapitres I à III, mais qui, comme tel structure l’ensemble. Proclus fait état d’une interprétation selon laquelle leParménide»,, dès l’Antiquité, serait « un entraînement logique d’une autre selon laquelle c’est « un dialogue relatif aux réalités », une autre 5 encore selon laquelle il s’agit « des êtres en tant qu’ils sont déifiés » . Or il se trouve que la seule interprétation vraiment reconnue à notre époque est l’interprétation en 8, qui est l’interprétation logique. Ainsi de Cornford à Brisson, en passant par l’interprétation analytique de G. Ryle, celle-ci prend valeur d’autorité. Mais elle présente le cruel défaut de vouer les deux autres à n’être plus qu’un immense contresens et, par là, tout le néoplatonisme. DansIllusion de la dialectique et dialectique de l’Illusion, nous avons pourtant montré que sa conclusion en 166 c 2-6 était elle-même 6 logiquement illusoire, et qu’aucune vérité ne pouvait en ressortir . Dans « Symétrie dissymétrique et dissymétrie symétrique dans la dialectique de la deuxième partie du Parménide » ( Congrès de Chania, Crète, 26-30 septembre 2011), chapitre I, nous reprenons la question, confrontant l’interprétation en 8 et l’interprétation en 9, à propos de la 3 ème hypothèse qui, dans l’interprétation en 8, n’est plus que l’hypothèse II b : notre interprétation dialectique nous permet de confronter les deux et de considérer que cette hypothèse II b ou 3 est cette entrée dans la réalité, point 7 de vue qui confirme celui de C. Imbert, qui disait que cette logique 8 platonicienne prenait la mesure du réel, ainsi que celui d’A. Lautman . La pentade, c’est ainsi que l’avait nommée Damascius, pouvait devenir triade, et ainsi cette symétrie inspirée du pythagorisme redevenir dissymétrie : telle était cette dialectique. « Damascius : la troisième hypothèse et l’âme » (462 ?-538) pouvait devenir l’objet de ce deuxième chapitre ; l’interprétation ontologique n’est plus cette immense erreur, puisque c’est lui qui avait compris le sens de la troisième hypothèse dans une exégèse magnifique qu’il présente dans son Commentaire sur le Parménide. L’exposé n’a pas encore été présenté en Congrès, mais le sera en principe en Juin 2014. Cette « nature étrange » de l’instant, parcelle d’éternité au sein du temps, ne pouvait être que l’âme, ainsi qu’il le montre point par point dans son exégèse de la troisième hypothèse duParménide.
5  Proclus,sur le Parménide Commentaire , I, 634, 6-635,24 ; I, 641, 6-9,; I, 635, 29-31 traduction C. Luna & A. Ph. Segonds, Belles Lettres, Paris, 2007, I, 2ème partie. 6 Cf. J.-M. Charrue,op. cit.(2003), p. 156-167. 7 C. Imbert,Pour une histoire de la logique,Paris, P.U. F. 1999, qui était professeur à l’ENS, rue d’Ulm. 8 Cf. infra p. 15 et note 17.
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Au dernier étage se situe la matière. C’est à elle que nous sommes confrontés avec l’Argument XII, duDe l’Eternité du Mondede Proclus (412-485) : « Le monde est éternel, parce que la matière est éternelle » (Congrès d’Istanbul, 12-16 Décembre 2012). L’édition de H.S. Lang et A. D. 9 Macro , en Californie en 2001, nous a permis de rendre justice au texte proclusien, en dehors de l’acrimonie des critiques de Philopon, alors que le père Saffrey avait indiqué que le sous-titre « contre les chrétiens » avait 10 probablement été ajouté par la Souda . Nous avons joint, à la fin, une traduction française de l’Argument XII : le texte, dans son ensemble, avait fait l’objet d’innombrables allusions ou reprises dans le Moyen Âge chrétien et islamique, car il portait, sur une question qui leur tenait à cœur, celle de l’éternité. Et c’est à un autre versant de Proclus auquel nous avons affaire, non plus le commentateur, mais le philosophe qui réfléchit de manière générale, versant qui s’apparente plus à ces textes scientifiques, comme les Eléments de physique, qui reviennent à Aristote, ou auxHypotyposes des hypothèses des astronomesdont A. Segonds avait dit qu’elles avaient 11 intéressé la Renaissance . Le texte comporte trois parties : une première où la création requiert un démiurge et une matière dans la con-création simultanée, une deuxième à travers l’expérience commune de l’avant et de l’après, établissant la sempiternité du monde, et une troisième qui fera état de cette création continue que l’on trouve chez Descartes. Proclus avait anticipé, à travers la permanence de la substance, les analogies kantiennes de l’expérience ! Dans « Plotin et la liberté humaine » (Congrès de Cardiff, 12-15 Juin 2013), chapitre IV, nous revenons à Plotin, mais c’est au « grand Plotin » (203-270), dont parle Priscien, lorsque l’école d’Athènes ayant été fermée par Justinien en 529, les 7 philosophes se rendirent chez Chosroès: dans la 12 bibliographie y figure « Plotinus quoque magnus » . Il fallait, en effet, être Plotin, pour pouvoir échapper à ces nécessités qui assaillaient l’homme : c’est pourtant ce qu’il réussit à faire, fonder la liberté, ainsi que nous l’avons montré, en suivant l’ordre chronologique des traités. A l’origine, pour lui, en effet, l’homme n’est ni libre, ni non libre : alors que letraité 6s’était livré à une sorte d’enquête envisageant tous les points de vue, sur la descente de l’âme dans le corps, y compris celui de la faute relayée par la gnose, dans le traité 27, le couple, la faute ou non, n’existe plus, il n’y a plus que la nécessité et la liberté, et après ce § 13, se fonde déjà cette psychologie du désir et de la conscience. C’est ce que l’on retrouve dans letraité 39,(VI, 8,
9  Proclus,On the Eternity of the World,greek text, with introduction, translation, and Commentary by H.S. Lang et A. D. Macro, California University Press, 2001. 10 H. D. Saffrey, « Allusions antichrétiennes chez Proclus le Diadoque platonicien »,RSPhTh, 59, 1975, p. 554. 11 A. P. Segonds,Astronomie et philosophie,Proclus lecteur des anciens,Paris, 1987. 12 Priscien,Solution des problèmes posés par Chosroés,3ème série, t. IV, p. 248.
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1-6) où leIJઁਥφ᾿ਲηῖθ, ce qui dépend de nous, qui n’est plus celui du stoïcisme que Plotin, va la faire se développer dans une voie ascendante, passant à l’α੝IJİικ઄ıδκθ, la libre disposition de soi, pour arriver à l’ਥζİ઄γİλκθd’une liberté qui n’est plus esclave ; le désir subsiste, mais il est devenu celui du Bien et de la vertu, concept de la liberté dont nous montrerons que Plotin avait pu le trouver par l’expérience mystique intérieure dutraité 38. Mais l’essentiel est que l’homme lui-même l’avait créée. LesEnnéadessont bien cette poésie du monde, que nous avons traitée au chapitre X, « L’esthétique de Plotin et laPoétiqueD’abordd’Aristote ». derrière le musicien « ses sons, ses rythmes et ses figures », puis l’harmonie, 13 en I, 3 (20) , nous retrouvons un peu du chapitre 1, de laPoétique, mais aussi toute cette esthétique musicale qui avait été exposée enPolitiqueVIII, 14 impliquant une théorie du Beau , qui est à relier à un autre passage des Ennéades« le théâtre du monde », en III, 2 (47), 15-18, là où Plotin compare 15 ce « théâtre qu’est la terre entière » , où par l’étude du jeu des acteurs, de l’expression qui est la leur, on peut déceler cette connaissance des principes définis par le texte aristotélicien sur les personnages, les caractères, le rôle respectif de l’auteur et de ceux-ci ignorés en France, par l’érudition plotinienne, entrevus seulement par un ou deux articles en Italie, et supposant une théorie nouvelle de lamimésis. Un autre aspect du grand Plotin se retrouve au chapitre IX : « Grégoire de Nysse plotinien ? à propos de la providence » (330 ?-395) (Congrès de Cagliari, 20-24 Juin 2012) : Plotin restait pour lui, en philosophie, la référence, ce que l’on peut voir dans leContre Eunome I, sur quelques points, notamment lorsque parlant du Fils, « lumière de lumière » ce qui était la formule de Nicée, il ne dément pas la façon dont Plotin envisageait celle qui se répandait sans se perdre, dans leContre EunomeII, à propos du langage reflet de l’intellect qu’il verra porteur des concepts ; dans les traités anthropologiques , commeL’Âme et la Résurrection, où la chute est comme chez Plotin décrite comme involontaire ; dans les traités éthiques, où sa vision rappelle, sur un certain nombre de points, letraité 51: les, (I, 8) Ennéadesavaient dû être son traité philosophique de base. Nous avons repris au chapitre VI notre exposé : « Providence et liberté d’après leDe Providentiade Hiéroclès d’Alexandrie » (New Orleans 19-22 Juin 2008) (3…-431 ?), puisqu’on sait qu’à partir de la Providence il s’était livré à une vision de l’histoire de la philosophie qui, comme le montre Photius, le patriarche byzantin, avait été renouvelée par Ammonius
13 Plotin,Ennéades, I, 3 (20), 1, 28-29, et 32-33. 14  Sur cette théorie, nous avons eu l’occasion de nous exprimer à France Culture dans l’émission d’A. Van Reeth, Les Nouveaux chemins de la connaissance, le 12 septembre 2012. 15 Plotin,Ennéades, III, 2 (47), 15, 50.
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16 d’Alexandrie . Celle-ci s’articule avec cette aspiration à la liberté qui semble à chaque fois l’accaparer, en raison du rôle de l’homme, de sa place dans la création comme cet être rationnel qu’il place au troisième rang de la création, et en raison d’une croyance en la préexistence des âmes qu’il semble avoir partagée avec un autre élève d’Ammonius, le chrétien Origène, mais aussi de cette idée néo-pythagoricienne –il avait écrit unCommentaire sur les vers d’Or– du corps éthéré et du véhicule de l’âme aspirant à une autre vie, qui faisait de sa pensée avec l’idée plus classique des choix de vie, cette réflexion sur la destinée humaine, happée finalement par la mort, seulement sauvée par la providence. Le chapitre V, « Providence ou liberté : Porphyre » (234-305 ?), a été présenté au Congrès de Madrid 17-20 Juin 2010. LeCommentaire sur le 17 Timéeune interprétation morale du dialogue, suite à la prière de présente 27c1-3 citée par Proclus, de savoir comment se sont faits le monde et la Providence ; le fragment 67 tiré de Macrobe,Commentaire sur le songe de Scipion, renverra à sa composition et à l’harmonie des sphères. LaLettre à 18 Anébonmontre que l’homme de culture qu’il était, loin de mépriser l’astrologie – il était l’auteur d’un ouvrage surL’apostélématique de Ptolémée- synthèse du monde grec et égyptien, relate l’influence des 7 planètes décrite aussi dans l’Antre des Nymphes, dans cette connaissance qui 19 remontait à Hermès ; mais malgré son désir, il n’avait pu, parlant des démons bons et mauvais, la concilier avec la liberté. C’est dans leIJާἐφ᾿ἡηῖθ, 20 conservé par Stobée , qu’il y parviendra, comme nous l’avons montré, conciliant nécessité et liberté, les influences sidérales et le choix préservé à la naissance, par l’élan de l’âme. Le chapitre VII, reprend « Providence et liberté chez Jamblique de Chalcis » (242 ?-325) du Congrès de Cracovie 18-21 Juin 2009 ; Chalcis était le nom de l’acropole de Coelo-Syrie ou Syrie creuse, où il est né, entourée de sources, où il a pu avoir l’idée de la providence des dieux, avant de suivre à Rome Porphyre, qu’il combat ensuite. Dans sonCommentaire
16 Cf. à ce sujet notre article « Ammonius et Plotin »,Revue philosophique de Louvain,102, 1, 2004, p. 72-103, repris dansDe l’Être et du Monde, Ammonius, Plotin, Proclus,Paris, 2010, p. 9-36. 17  A.R.Sodano,Porphyrii in Platonis Timaeum Commentarium fragmenta, Naples, 1964. Nous remercions la bibliothèque Gernet et Glotz , à Paris, de nous avoir communiqué un exemplaire introuvable en France. 18  A.R. Sodano,La lettera ad Anebo, Naples 1958, (fragments) ; nous n’avions pas à cette date l’édition de Porphyre,Lettre à Anébon l’Egyptien,par H. D. Saffrey et A. Ph. Segonds, Paris, Belles Lettres, 2012. 19 Cf. Hermès Trismégiste,Corpus Hermeticum, I- III texte traduit par A.J. Festugière, Paris, 2002 à 2008. 20  A. J. Festugière nous en a donné une traduction dansProclus,Commentaire sur la République,III, Paris, Vrin, 2005 (rééd.), p. 349-357.
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