Ce n'est pas le trépas, c'est un très doux sommeil Je chante et pleure, et veux faire et défaire Je m'embarque joyeux, et ma voile pompeuse Le baiser en l'Amour est l'octave en Musique Muzain Ô Dieu qui vois ceste rouë execrable Ores que je suis mort, je vai, je viens, je vire Puisque tu veux dompter les siècles tout-perdants Puisse advenir que ma fiere Maistresse Qu'inférez-vous, menteurs, par vos beaux arguments Un jour mon beau soleil miroit sa tresse blonde Voz yeux plus prompts qu'esclairs, plus subtils que la foudre