Chronique du 21  février
8 pages
Français

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Chronique du 21 février , livre ebook

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Description

ATTENTION ÉVÉNEMENT : Découvrez en exclusivité numérique la toute nouvelle collection CHRONIQUE D'UN JOUR !



Plus qu’une éphéméride, retrouvez la Chronique d’un jour sur toute l’histoire de l’humanité.


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Des ouvrages précis et élaborés par les meilleurs auteurs des Éditions Chronique, réputées pour leur sérieux depuis plus de 30 ans.



Une collection à prix découverte unique pour apprendre sans se ruiner.

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 06 janvier 2014
Nombre de lectures 2
EAN13 9782366024722
Langue Français

Extrait

Couverture

21 février

Plus qu’une éphéméride, retrouvez la Chronique d’un jour sur toute l’histoire de l’humanité.

Éditions Chronique
EAN : 9782366024722
Éditions Chronique
Mediatoon Licensing
15-27, rue Moussorgski – 75018 Paris
E-mail : contact@editions-chronique.com
Site Internet : http://www.editions-chronique.com
1916 - Les Allemands attaquent en force
Verdun, France

Le 21 février, après une préparation d'artillerie d'une intensité jamais vue dans l'histoire de la guerre, les fantassins allemands sont sortis de leurs tranchées et se sont lancés à l'assaut des forts de Verdun. Cette place est le pilier nord du système fortifié des frontières françaises de l'est et relève directement du commandement en chef. L'état-major allemand avait, jusqu'ici, évité de l'attaquer. Mais, depuis décembre 1915, des corps d'armée allemands sont rassemblés dans la région ainsi que des batteries d'artillerie lourde. Des renseignements donnés par des déserteurs alsaciens et polonais ont annoncé l'imminence de l'offensive.

Le général Knobelsdorf avait mis au point un plan fondé sur la rapidité de mouvement et la puissance de son artillerie lourde. Son supérieur, von Falkenhayn, a réussi à imposer une conception différente car plus statique. Il estime que la défense de Verdun épuisera l'armée française : une zone fortifiée enfoncée en coin dans le front, cernée sur trois côtés par l'ennemi, sera difficile et coûteuse à défendre. Falkenhayn veut ainsi « saigner l'armée française » ; il escompte un rapport de un à cinq entre les pertes allemandes et françaises. Il veut limiter l'attaque à la rive droite de la Meuse et sur le front nord de la place.

Trois corps d'armée sont chargés de l'offensive et massés dans la zone de Montmédy-Longuyon, en février. Falkenhayn fait procéder à une série d'opérations de diversion dans les Flandres, en Artois, sur la Somme, en Champagne, en Argonne, dans les Vosges et en Alsace. Le prince impérial a proclamé : « Il s'agit de montrer à nos...

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