Le miroir et l'empreinte

Bruno Eble

Description

L'Esthétique et les concepts de réflexion, tel aurait pu être le titre générique. Ce premier volume de Spéculations sur la spécularité questionne la problématique du miroir. Bruno Eble considère que le reflet devient non plus doublage mimétique, mais empreinte métaphorique. A travers divers types d'œuvres de différentes époques (Gerhard Richter, Bruce Nauman, Bill Viola... ), cette recherche étudie la spécularité (ou réflexion) selon l'ordre de l'autoportrait, la question de l'impression, la problématique du cadre, ainsi que l'ornement.

Sujets

• Philosophie
• Beaux arts
• Philosophie et théologie

Informations

• Publié par: L'Harmattan
• Date de parution: 01 mars 2011
• Nombre de lectures: 114
• EAN13: 9782296456518
• Langue: Français
• Poids de l'ouvrage: 4 Mo

Extrait

L E MIROIR ET L ’ EMPREINTE

Ouverture philosophique Collection dirigée par Aline Caillet, Dominique Chateau, Jean-Marc Lachaud et Bruno Péquignot Une collection d'ouvrages qui se propose d'accueillir des travaux originaux sans exclusive d'écoles ou de thématiques. Il s'agit de favoriser la confrontation de recherches et des réflexions qu'elles soient le fait de philosophes "professionnels" ou non. On n'y confondra donc pas la philosophie avec une discipline académique ; elle est réputée être le fait de tous ceux qu'habite la passion de penser, qu'ils soient professeurs de philosophie, spécialistes des sciences humaines, sociales ou naturelles, ou… polisseurs de verres de lunettes astronomiques. Dernières parutions Bruno EBLE,La temporalité reflétée. Spéculations sur la spécularité, II, 2011. Thierry GIRAUD,Une spiritualité athée est-elle possible ?,2011. Christophe SAMARSKY, Le Pas au-delàde Maurice Blanchot. Écriture et éternel retour, 2011. Sylvie MULLIE-CHATARD,La gémellité dans l’imaginaire occidental. Regards sur les jumeaux, 2011. Fatma Abdallah AL-OUHIBI,L’OMBRE, ses mythes et ses portées épistémologiques et créatrices, 2011. Dominique BERTHET,Une esthétique de la rencontre, 2011. Gérald ANTONI,Rendre raison de la foi ?,2011. Stelio ZEPPI,Les origines de l’athéisme antique, 2011. Lucien R. KARHAUSEN,Les flux de la philosophie de la science e au 20 siècle, 2011. Gérald ANTONI,Rendre raison de la foi ?,2011. Pascal GAUDET,L’anthropologie transcendantale de Kant, 2011. Camilla BEVILACQUA,L’espace intermédiaire ou le rêve cinématographique, 2011. Lydie DECOBERT,On n'y entend rien. Essai sur la musicalité dans la peinture, 2010. Jean-Paul CHARRIER,La construction des arrière-mondes. La Philosophie Captive 1, 2010.

Bruno Eble L E MIROIR ET L ’ EMPREINTE Spéculations sur la spécularité, I

Du même auteur Aux éditions L’Harmattan Le miroir sans reflet. Considérations autour de l’œuvre de Bruce Nauman, coll. « L’Ouverture Philosophique », 2001. Gerhard Richter. La surface du regard, coll. « Histoires et idées des Arts », 2006. J’entends souffler l’harmattan. Poème, Hors collection, 2008. La temporalité reflétée. Spéculations sur la spécularité II, coll. « L’Ouverture Philosophique », 2011. © L’Harmattan, 2011 5-7, rue de l’Ecole-Polytechnique, 75005 Paris http://www.librairieharmattan.com [e-mail] [e-mail] ISBN : 978-2-296-54310-2 EAN : 9782296543102

J E VOUDRAIS REMERCIER  en premier lieu mon directeur de thèse, JacintoLageira, qui a bien voulu me mener dans mon travail avec gentillesse et rigueur.

Je souhaite ensuite dire tous mes remerciements à ceux qui ont soutenus d’une manière ou d’une autre ce travail de recherche : mes chers Parents, Maryse Palchine, Monique Paquier, Bruno Péquignot, Véronique Simonnot, Cyrille Bocket, Marie-Claude Simonnot (avec une pensée pour Bernard) ainsi que Damien et Clément.

Je remercie également mes amicaux complices intellectuels : Laurent Marissal, Xavier Wei, Christoph von Toggenburg dit Bärli et mes étudiants de Tarbes, spécialement les participants à mon ARC « IA » au sein duquel se sont formées quelques directions de recherche travaillées ici plus avant (une mention spéciale aux quelques 200 escargots contestataires d’un certain mois d’avril 2003…).

Et, en n’oubliant aucunement le Kilauea, l’Etna et le Stromboli, je ne peux quefinir en remerciant tout autant, théores obligés, le Pelvoux, la Cucumelle ainsi que la falaise de la Tête d’Aval du Montbrison…

Ce double ouvrage reprend, pour l’essentiel, ma thèse de Doctorat soutenue en Sorbonne au mois de mars 2010 sous la direction de Jacinto Lageira. Il est également le quatrième volet d’un triptyque esthétique en cours (aprèsLe miroir sans reflet, La surface du regardetLe symptôme de l’escargot) mettant en errance une méthodologie plurimédialogique.

– Nous ne pouvons donc connaître le beau en soi, ni le bien, ni tout ce que nous admettons comme des idées existant par elles-mêmes. – J’en ai peur. PLATON, Parménide