Presented to the LiBRARY ofthe UNIVERSITY OF TORONTO by Professer Stephen Vickers 0»%Xsi {jlovo;, xàv uàvxeç OTcy)/waiv, w; évbç leaQoLi èv èxxXvidta \i.r\ XaXstv, jatîte ou[jL«|'àXXetv, [A^T£ pondimus. » Enarrat. in psalm. xcix, 1 : « Psalmum, fratres, cum cantaretur audistis. » 4. Tertull. De orat. 27 : « Diligentiores in orando subiun- gere in orationibus Alléluia soient, psalmos quo-et hoc genus rum clausulis respondeant qui simul sunt ». 5. PiiiLON cité par Euseb. //. E. ii, 17, 22 : evà; [xexà pu6[j,ou xo(7(xîu); è7ri4'âXXovTo;, ol Xoiuot xa6' yjor-jxiav àxpoto[xevoi xôiv uptùv xà àxpoxsXsTjxia (juveIyjxoOsiv. Philon parle des Thérapeu- tes. Quoi qu'il en soit, l'idée d'intercaler toute prière ou tout . 8 HISTOIRE DU BREVIAIRE ROMAIN. Dans lescommunautés monastiques égyptiennes de la fin du iv^ siècle, au témoignage de Jean Gassien, on était resté fidèle à la plus sévère, à la plus ancienne forme de la psalmodie. L'office, tant le vespéral que consistait 'le nocturne , à exécuter douze psaumes nombre douze paraîtEt ce bien anciennement fixé, puisque les Egyptiens aimaient à dire fixationque la en remontait au temps de saint Marc, leur premier évêque, et qu'elle avait été révélée par un ange du ciel. Ces douze psaumes étaient exécutés en solo par un lecteur, ou plutôt par quatre lecteurs qui se re- layaient, chacun d'eux ne devant pas avoir plus de ^.