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Extrait
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ImMcKEW PARR COLLECTION
MAGELLAN
and the AGE of DISCOVERY
PRESENTED TO
BRANDEIS •UNIVERSITY 1961
JNOUVELLES ANNALES
DES VOYAGES,
DE LA GÉOGRAPHIE
ET DE L'HISTOIRE.
Ji/lMPRIMERlE DE J. SMITH,DE,
NOUVELLES ANNALES
DES VOYAGES,
DE LA GÉOGRAPHIE
ET DE 1/HISTOIRE
OU
RECUEIL
DES RELATIONS ORIGINALES INEDITES , COMMUNIQUEES PAR DES
ETVOYAGEURS FRANÇAIS ETRANGERS ;
NOUVEAUX, TRADUITSDES VOYAGES DE TOUTES LES LANGUES
EUROPÉENNES
J
LT DES MÉMOIRES HISTORIQUES SUR L'ORIGINE, LA LANGUE LES
MOEURS ET LES ARTS DES PEUPLES, AINSI QUE SUR LES PRO-
ductions et le commerce des pays jusqu'lcl peu ou mal
connus
;
ACCOMPAGNÉES D*UN BULLETIN OU L'ON ANNONCE TOUTES LES
DÉCOUVERTES RECHERCHES ET, ENTREPRISES QUI TENDENT
A ACCÉLÉRER LES PROGRES DES SCIENCES HISTORIQUES ET
SPÉCIALEMENT DE LA GÉOGRAPHIE
;
AVEC DES CARTES ET PLANCHES
GRAVÉES EN TAILLE-DOUCE :
PUBLIÉES PAR
MM. J. B. EYRIÈS et MALTE-BRUN.
TOME XVII.
PARIS,
LIBRAIRIE DE GIDE FILS,
-RUH SAINT- MARC FEYDEAU N° 20.,
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1823.NOUVELLES ANNALES
DES VOYAGES,
DE LA GÉOGRAPHIE
ET DE L'HISTOIRE.
MÉMOIRE SUR MIDIA,
Par M. ROUX,
Lu la Société Je Géographieà dans sa séance du
8 novembre 1822 (1).
-Lie désir de parcourir le Bosphore et de con-
noître la côte occidentale de la mer Noire dé-
termine souvent les voyageurs qui se sont rendus
à Constantinople à revenir parmerjusqu'à Varna,
d'où ils regagnent la route de Bucharest et de
Vienne. Je pris cette direction , en partant de
Constantinople le 12 février 1806; et le léger
Ce(1) Mémoire n'éloil publié qu'en partie dans le*
notes du poème de la Bysaneiade.
_*'
• »56)
(
où je m'embarquai navigua pendant septlicivirc
lieues sur le Bosphore, entre les côtes d'Europe
et d'Asie.
Je ne décrirai point la beauté des rives de ce
détroit , dont la peinture aussi vive que fidèle se
retrouve dans d'autres ouvrages, et particulière-
ment dans les Promenades pittoresques sur le
Bosphore publiées par M. Pertusier, notre ho-3
norable collègue. La navigation de ce canal est
terminée; le Pont-Euxin est sous nos yeux; les
iles Cyanées sont franchies , et le vent qui nous
vers le nord vient à changerporte tout-à'coup
et dirige vers la côte occidentale.nous
de l'embouchure du BosphoreÀ treize lieues ,
nous entrâmes dans l'anse de Carabouroun qui,
donne abri aux petits navires, forcés par la vio-
du vent à relâcher dans ces parages. Lelence
quiMonnier avoitcommencé, sur lepromontoire
lesdomine ce port , une forteresse tracée sur
em-du baron de Tott. Elle étoit destinée àplans
sur cetteguerre une descentepêcher , en cas de ,
travaux dont les fon-de la côte ; mais lespartie
été conduits qu'à fleursont faites n'ontdations
depuis., et ont été abandonnésde terre
nouséloignant de Carabouroun,,En nous
nord, dansà douze lieues plus aumouillâmes,
autredansn'en trouveaucunel'ansede Malatra;on
lit deest bordée d'unvoisinage , et la merîe y