Depuis le jour où elle n eut plus la parole
168 pages
Français

Depuis le jour où elle n'eut plus la parole , livre ebook

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168 pages
Français

Description

On était au début des golden sixties, lorsque Marie-Sophie, 49 ans, fut victime d'un AVC qui allait la laisser paralysée du côté droit et privée de l'usage de la parole... Avec son fils aîné, pendant trente-trois ans, Marie-Sophie, enfermée dans le carcan de son hémiplégie et de son aphasie, mais ayant gardé tout son sens du discernement, a porté sa réflexion sur le sens de son handicap, des handicaps, et la manière de donner sens à la vie. Ses réflexions imaginées font l'objet de cet ouvrage.

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 08 janvier 2015
Nombre de lectures 9
EAN13 9782806107497
Langue Français
Poids de l'ouvrage 2 Mo

Informations légales : prix de location à la page 0,0700€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Guy Belleflamme
Depuis le jour où elle n’eut plus la parole
Roman
Depuis le jour où elle n’eut plus la parole
Du même auteur :
Les Illusoires, poèmes, À l’enseigne du plomb qui fond, 1958. Anabase ardennaise, roman, Actuel, 1996. Temps variable, nouvelles, Proxess. Carnet de bord d’un enseignant… libre, récit de vie, L’Harmattan, 2012. L’interdit de père, roman, Memory, 2012.
Depuis le jour où elle n’eut plus la parole Guy Belleflamme ROMAN
D/2014/4910/63
© Academia – L’Harmattan Grand’Place 29 B-1348 Louvain-la-Neuve
 ISBN: 978-2-8061-0206-5
Tous droits de reproduction, d’adaptation ou de traduction, par quelque procédé que ce soit, réservés pour tous pays sans l’autorisation de l’auteur ou de ses ayants droit.
www.editions-academia.be
REMERCIEMENTS
L’auteur – qui s’est nourri de la lecture des ouvrages suivants pendant la rédaction du roman que voici – reconnaît ce qu’il doit à John Irving, auteur d’Une prière pour Owen– titre originalA prayer for Owezn Meany– (France Loisirs, 1989), pour sa façon de situer une fiction dans un contexte géographique – le New Hampshire – et historique – la guerre du Vietnam et toutes ses conséquences politiques, à l’intérieur même des É.-U. – et pour sa façon d’alterner les moments passés et présents dans l’organisation du récit, à Christine Ariau-Leclair, auteur d’Une vie après l’AVC (L’Harmattan, 2011) pour le sujet traité, à Christian de Duve, au-teur deDe Jésus à Jésus en passant par Darwin(Odile Jacob, 2011) pour ses réflexions sur le sens de la vie, à Paul Auster, auteur de Chronique d’hiver(Actes Sud, 2013), pour sa manière de combiner à la fois la fiction et l’autobiographie, à Marie de Hennezel, auteur deNous voulons tous mourir dans la dignité(Robert Laffont/Versilio, Paris, 2013) et de tous ses ouvrages antérieurs, pour ses réflexions sur l’euthanasie, le suicide assisté, les soins palliatifs, à Philippe Labro, auteur duFlûtiste invisible(Gallimard, 2013), pour sa façon de mêler fiction et autobiographie, à Tahar Ben Jelloun, auteur du Bonheur conjugal(Gallimard, 2013), pour sa façon de traiter le pro-blème de la thrombose cérébrale et pour sa manière d’utiliser le flash-back, à Christopher Hitchens, auteur deVivre en mourant. Comment la religion empoisonne tout(Flammarion, 2013), pour sa mé-ditation drolatique et agnostique sur l’évolution de son propre cancer, à Philippe Toussaint, auteur duProcès de Liège(B., Ac-tuelles, 1963) et à René Haquin et Pierre Stephany, auteurs des Grands dossiers criminels de la Belgique(Racine, 2005) pour leurs rela-tions du procès « softenon », à Olivier Nakache et Éric Toledano, réalisateurs du filmLes intouchables(ainsi que les écrits de Philippe Pozzio di Borgio et d’Abdel Sellou), à Christine Eddie pour son romanJe suis là(Alto, Québec 2014), construit à partir de l’histoire vraie d’une maman devenue tétraplégique à l’âge de 35 ans, et à Michael Haneke, réalisateur du filmAmour, pour des raisons évi-dentes. Parmi les œuvres plus anciennes, l’auteur se souvient d’avoir luLes Anneaux de Bicêtrede Georges Simenon (1963) dont le héros est atteint d’hémiplégie etL’annonce faite à Marie (1912/1948) de Paul Claudel enfin pour la façon dont il traite la notion de réversibilité des mérites.
Si le lecteur le souhaite, ce livre peut être tenu pour une œuvre d’imagination. Mais il est toujours possible qu’une œuvre d’imagination jette quelque lueur sur ce qui a été rapporté comme un fait. Ernest Hemingway Paris est une fête(A Moveable Feast)
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