Nos années sauvages de Kar-Wai Wong
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Fiche produite par le Centre de Documentation du Cinéma[s] Le France.
Site : abc-lefrance.com

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Langue Français

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Nos annÈes sauvages Days of being wild de Wong Karwai FICHE FILM Fiche technique
Hong-Kong - 1990 - 1h33 Couleur
RÈalisation et scÈnario : Wong Kar-wai
Musique : Xavier Cugat
InterprËtes : Leslie Cheung (Yuddy) Tide (Andy Lau) Maggie Cheung (Su Lizhen, la vendeuse de soda) Carina Lau (Leung Fung-ying, Mimi / Lulu, la barmaid) Rebecca Pan (Rebecca, la mËre adoptive) Jacky Cheung (Sab, lÕami de Mimi) Tony Leung Chiu-wai (Smirk, le joueur)
L E
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conclure, des dialogues fragmentaires dont on voit mal la finalitÈ dramatique ou explicative. Si le style de mise en scËne sÕapparente au modËle hollywoodie classique, la construction gÈnÈrale du film, le climat prÈfÈrÈ ‡ lÕintrigue, l mÈpris pour le suspense, la volontÈ dÈli-bÈrÈe de brouiller les repËres du specta-teur attestent dÕune indÈpendance lÕÈgard des conventions cinÈmatogr phiques, et ne rappellent guËre que lÕa subtil de la digression dans le roman chi-nois. Le propos nÕest pas davantage rÈ liste, et le Hong-Kong 1960, explicite-ment revendiquÈ comme cadre, nÕapp raÓt que dans une dominante verd‚tre, et se rÈduit ‡ des espaces confinÈs, des rues dÈsertes, des non- lieux, en quelque sorte. Des personnages Ènigmatiques qui Èvoluent nulle part, un rÈcit dont les mul-tiples branches ne se rÈunissent que par caprice pour se perdre en des directions indÈterminÈes : ce film ne laisse dÕautr choix que dÕÍtre dÈconcertÈ par tant d dÈsinvolture, ou sÈduit par tant de char-me et de libertÈ paresseuse. Il ne reste plus, si IÕon veut trouver une significatio rassurante, quÕ‡ adopter celle que le pe sonnage principal livre avec trop dÕinsi tance : ´ Il existe un oiseau qui ne sÕarrÍ te jamais de voler et sÔendort dans l vent. Il ne se pose quÕune seule fois dan sa vie... pour mourir. ª Les filles adorent cette histoire, commente Tide. Les spec-tateurs aimeront peut- Ítre sÕy raccr cher. Guy Gauthier Saison cinÈmatographique 1996
Un songe bleutÈ. Ou, peut-Ítre, un dÈfilÈ dÈcousu de souvenirs, vagues mais pÈnÈ-trants. Difficile de dÈfinir ce film, qui dÈfend sa part de mystËre. Et cÕest ta mieux. Les premiers plans se dÈploient ‡ peine quÕaussitÙt la magie opËr Mouvements gracieux des personnages. DÈcor nu et incertain - en fait, la buvette dÈsertÈe dÕun stade de football.
dÈcouvre un jeune garÁon en train d draguer une serveuse. ´ Ce soir, tu rÍve ras de moi ª, lui souffle-t-il. Quelque plans plus tard, ils deviennen amants.(...) DansNos annÈes sauvages, Won Kar-wai entremÍle plusieurs trajectoires tissant un jeu subtil dÕÈchanges et d correspondances. Les personnages s croisent, se cherchent, se frÙlent ou s loupent. Autant dÕÈpisodes, auta dÕhypothËses qui illustrent la quÍte diff cile dÕun amour, dÕun idÈal de vie. Aut de variations sur la solitude: chacu tente de combler un manque, un vid intÈrieur. Wong Kar-wai filme des trajet et des postures, et, ‡ travers cela, pein des Ètats dÕ‚me, mÈlancoliques o rÍveurs. Il rÈactive un thËme pourtan usÈ jusquÕ‡ la corde: celui dÕune jeunes dÈsÏuvrÈe et romantique qui se cherche. Il sÕattache moins ‡ raconter une histoir quÕ‡ fixer des moments ÈphÈmËres prÈcieux: les rencontres, les sÈparation qui comptent dans une vie. Pas de psy chologie, ici, mais plutÙt un puzzle d sensations Ètranges. Tout est affaire de perception et tou concourt ‡ crÈer une atmosphËre intri gante.Nos annÈes sauvagesexploit de maniËre trËs stylisÈe la vertu d dÈcor, des bruits (amplifiÈs) et du silen ce, des couleurs, de lÕombre et de l lumiËre. On sent la langueur envahir le corps, la chaleur fondre sur eux. La plui battante rÈpond aux sanglots de femmes... Le metteur en scËne dessine surtout une gÈographie du vide et de lÕabandon. L personnages Èvoluent dans des lieux d passage et dÕentre-deux dÈsertÈ entrÈes dÕimmeubles, couloirs sombre ruelles anguleuses... Autant de lignes d fuite ‡ travers lesquelles le regard s perd. A travers ce rÈcit elliptique, l cinÈaste donne au temps une importanc dÈcisive: il semble suspendu, parfois mais il sÕenfuit aussi. Il y a cette trË belle sÈquence au cours de laquell Yuddy immortalise une minute de s ´
SALLE D'ART ET D'ESSAI C L A S S … ER E C H E R C H E 8 ,R U ED EL AV A L S E 42100 SAINTETIENNE 04.77.32.76.96 R…PONDEUR : 04.77.32.71.71 Fax : 04.77.25.11.83
que nous Ètions ensemble durant toute une minute, le l6 avril l960.ª A la fin du film, Yuddy sÕen souviendra. La camÈra glisse ainsi entre passÈ et prÈsent. Elle nous emporte ailleurs, comme les mÈlodies chaloupÈes de Xavier Cugat en fond sonore. Pesanteur et lÈgËretÈ, transparence et opacitÈ:Nos annÈes sauvagesconjugue tout cela ‡ la fois. Dans un style qui donne aux corps et aux objets une prÈsence mystÈrieuse et intense. Jacques Morice TÈlÈrama 60 meilleurs films de Cannes 95 ‡ Cannes 96
AvantChungking Express, Wong Kar wai, cinÈaste prodige venu de Hong-Kong, avait signÈ ce qui semble, ‡ ce jour son film le plus personnel,Nos annÈes sauvages(titre original:Days of being wild). Fresque intime, ce film dÈroutant et subtil, rapide et lent ‡ la fois, a la fulgurance des instants qui passent et quÕon ne retrouvera plus. SituÈ dans les annÈes 60,Nos annÈes sauvages, sous ses apparences de film de genre virtuose, dÈgage en rÈalitÈ un fort parfum de mÈlancolie, quelque part entre la secrËte Èmotion des plus beaux films de Hou Hsiao hsien (pÈriode PoussiËres dans le vent) et la poÈsie du grand Nicholas Ray. Il y a dans le film de Wong Kar-wai un Ètrange circuit temporel qui fait plus dÕune fois se rejoindre ce passÈ, si proche et si loin-tain, et notre prÈsent de spectateur, comme dans un effet de condensation instantanÈ. Ce qui tient ‡ la fois ‡ lÕabsence presque totale de reconstitu-tion, comme si les annÈes60 Ètaient un pays intime et imaginaire, et au talent innÈ du cinÈaste pour saisir les ren-contres, les moments dÕintimitÈ, les ins-tants de basculement, le prÈsent juste-ment qui nous touche trËs directement. Le rÈcit deNos annÈes sauvagesest
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film qui bifurque aussi frÈquemment e avec une telle dÈsinvolture, un tel mÈpris naturel de ces rËgles de narra tion quÕon ne cesse de nous contraindr ‡ vouloir suivre comme sÕil nÕy av quÕune seule maniËre de raconter no histoires. Bien que le centre de gravit apparent deNos annÈes sauvage soit Yuddi (Leslie Cheung, superb mÈlange de virilitÈ et de fÈminitÈ), peti te frappe aux allures de grand seigneur jeune homme cruel et amoral, en fait son point dÕÈquilibre ne cesse de s dÈplacer vers les autres personnages d film, que ce soit lÕune ou lÕautre d deux jeunes femmes, la barmaid trist (Maggie Cheung) ou la danseuse gai (Carina Lau), voire en direction dÕun fli qui disparaÓt peu aprËs, ou mÍme d lÕami de Yuddi. Impossible de prÈvoir c qui va arriver, impossible de sÕidentifi absolument et dÈfinitivement ‡ telle o telle figure, tant le rÈcit, alÈatoire e sinueux et pourtant parfaitement Èvi dent ‡ la vision du film, peut prendre u tour surprenant, par exemple lorsque soudainement, Yuddi part au Philipinnes ‡ la recherche de lÕimage d sa mËre, emmenant le film, comme dan un impromptu, sur une piste incertaine. (...) SÕil y a un sujet dansNos annÈes sau-vages, cÕest peut-Ítre lÕimpossibilitÈ choisir. Yuddi est partagÈ entre troi femmes - la troisiËme Ètant une sorte d mËre adoptive qui lÕa engendrÈ comm personnage et avec laquelle visiblemen il vit ou a vÈcu une maniËre dÕhistoir dÕamour. Wong Kar-wai raconte la va pirisation des hommes et des femmes la haine de soi dans lÕamour, ou to simplement les vibrations de lÕÈt amoureux. Pourtant, jamais on ne saur de quelle nature sont exactement le relations que Yuddi entretient avec cha cune de ces femmes, ni mÍme chacu des personnages lÕun avec lÕautre. fait, une Ètrange communication fini par circuler entre tout le monde. Tou est liÈ et rien ne pËse. Il rËgne ici un sorte dÕindÈcidabilitÈ qui prend la fo
dÕune chorÈgraphie de mise en scËne. L fluctuation est lÕhumeur mÍme de l mise en scËne de Wong Kar-wai. S camÈra cherche, suit, bouge, Èpouse l mouvement des corps et de lÕair qui le entoure. Il filme lÕincertitude des vie celles de ses personnages, ou les nÙtre aussi bien. Il rÈinvente lÕespace, saisi sant la claustrophobie mÍme de Hong-Kong quand il cadre une fenÍtre, u escalier, IÕencadrement dÕune porte, e construit un labyrinthe mental et phy sique. Il capte les particules atmosphÈ-riques qui flottent dans lÕair en suspe sion, invisibles et pourtant totalemen perceptibles. Wong Kar-wai sait filmer la sensualitÈ comme personne: deu personnages dans une chambre, leu peau approchÈe de prËs, leurs jeux tan tÙt pervers, tantÙt enfantins, ou les deu ‡ la fois, leurs gestes ‡ peine aperÁus, quelque chose de tellement tactile quÕo avait senti, Ù combien dÈj‡, dans Chungking Express. Une poÈtique de Ítres et des lieux, et surtout des corres-pondances qui sÕinsinuent entre le deux. Nos annÈes sauvagesa lÕinconscie ce, IÕinsouciance et lÕinquiÈtude, fiËvre et la mÈlancolie de la jeunesse. Yuddi est un hÈros existentiel qui nÕ dÕautre motivation que de se dÈplace errer sans cesse, fuir en avant comm en arriËre.Sa raison dÕÍtre, cÕest dÕÍ l‡, cÕest tout. Quelque chose de suspe du traverse ce vrai-faux film noir, qui renoue ‡ sa maniËre infiniment person nelle avec la nature mystÈrieuse du genre et mÈlange violence et contem plation. Ce quelque chose est difficile nommer, difficile ‡ attraper, appelons-l passage du temps. Wong Kar-wai a su, IÕespace dÕun film, IÕapprivoiser, nous faire cadeau et nous toucher infiniment. CÔest Áa le cinÈma. Thierry Jouss Cahiers du cinÈma n∞500 - Mars 199
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CÕest ‡ trente deux ans, deux annÈes aprËs son premier film (As tears go by), que Wong Kar-wai tourneNos annÈes sauvages, dont il situe lÕaction en 1960 - deux ans aprËs sa propre naissance -et qui confirme sa qualitÈ de cinÈaste gr‚ce ‡ son ton, ses acteurs, et malgrÈ lÕindiffÈrence du grand public. SiAs tears go byjouait sur les codes du genre ´film de gangstersª, au risque de sÕy laisser piÈger pour ne pas savoir prendre de distance, dËs son deuxiËme film, il amorce la pratique dÕun autre dis-cours cinÈmatographique, dÈpourvu dÕambiguÔtÈ quant ‡ ses rÈfÈrences, comme ‡ ses dÈbuts. La conception dÕun sujet diffus, un autre type de narration et une technique impressionniste sont en jeu pour dÈcrire des personnages hors des stÈrÈotypes, qui se dÈplacent entre la rÈalitÈ et les zones floues du souvenir, du fantasme et de la dÈrive poÈtique. Plus dÕacteurs qui surjouent des personnages monolithiques, mais des interprËtes qui excellent ‡ rendre les creux, les incertitudes, les absences, la perte des repËres. A lÕaffirmation positive et excessive de personnages qui substituent ‡ leur dÈstabilisation naturelle une surenchËre du mouvement et des affrontements succËde lÕentre-deux des rÈalitÈs, cet espace indÈfinis-sable entre le rÍve, la rÈalitÈ, le songe, qui devient parfois cauchemar. AprËs lÕaffirmation gestuelle des bandes de dÈlinquants, IÕindolence du personnage principal, un jeune bourgeois qui semble indiffÈrent ‡ la vie, mais qui, dÕune femme ‡ lÕautre, recherche de maniËre obsessionnelle lÕidentitÈ de sa vraie mËre. Surprise au-del‡ des mers de la colonie, dans les Philippines, cette mËre ne le recevra pas, le renvoyant ‡ son destin instable, vainement ‡ la recherche de son identitÈ, plongÈ dans la dÈrive accidentelle dÕune aventure mafieuse. La dÈcouverte dÕune mËre indiffÈrente le mËne ‡ la destruction. Rien nÕest jamais donnÈ dans une clartÈ dÈfinitive, mais dans lÕincertitude dÕune
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prise. Yuddy fuit dans les rencontreblement dÈrisoire, il rencontre presqulibertÈ. fÈminines,la musique exotique de XavieaussitÙt la mort. Ce personnage, longDes dix scripts quÕil Ècrivit entre 82 et Cugat, les cigarettes amÈricaines ; iltemps secondaire dans le rÈcit ‡ Hon87, on retiendraOnce upon a avance dans son parcours comme danKong, et qui devient briËvement le comrainbow,Chase a fortune, et surtout un monde aquatique. La magnifiqupagnon dÕinfortune dans la partie dÈvThe final vitory, seul scÈnario de cette image bleutÈe et prise du seul point dloppÈe aux Philippines, est tout aussiÈpoque dont il soit rÈellement satisfait, vue ÈlevÈ du film, qui vient de tempsindÈfini psychologiquement et prÈsenun objet Ètrange rÈalisÈ par Patrick Tam, autre fractionner un rÈcit prËs du sol, esphysiquement que le personnage finalet qui montre lÕerrance dÕun groupe de tout autant lÕimage dÕun rÍve que dqui nÕapparaÓt, dans la fiction, que popersonnages dÈcalÈs, en tÍte desquels monde perdu ou dÕautrefois. Yuddun unique et dernier plan, et comme unon retrouve le rÈalisateur Tsui Hark, en hÈros moderne des annÈes soixanteespËce de derniËre relance fictionnellmalfrat veule et inquiÈtant. nÕarrive pas ‡ se dÈbarrasser dÕun pasqui ne sera jamais dÈveloppÈe; il peuCette rencontre avec Patrick Tam sera qui le hante, qui le mËne jusquÕauaussi sÕinterprÈter comme la projectiodÈterminante. RÈalisateur atypique, Philippines, au-del‡ de la mer de ChinedÕun Yuddy qui aurait ÈvoluÈ diffÈreTam, souvent considÈrÈ comme un PartagÈ entre une mËre adoptive et unment. EnfermÈ dans une chambre Ètroit´David Lynchª de Hong-Kong, pousse mËre inconnue, Yuddy est un Ítre ballotet borgne qui lÕenserre littÈralement, lWong Kar-way. tÈ entre ses incertitudes, ses angoissesfugitif Tony Leung nÕest pas le personnCÕest en 1988 que Wong passe ‡ la rÈa-ses peurs. ReflÈtant une ville condamge le moins mystÈrieux dÕun film qlisation avecAs tears go by, un polar. nÈe, dont on saisit trËs peu la caractÈtient du rÍve ÈveillÈ, objet insolite eLe film sera prÈsentÈ ‡ Cannes en 1989, ristique (jamais de vision globale, beausuperbe dans une cinÈmatographi‡ la Semaine de la Critique, ce qui coup dÕexistence sonore hors chamvouÈe dÕhabitude ‡ dÕautres rÍves plnÕÈtait pas arrivÈ ‡ un cinÈaste de Hong-mais des morceaux qui, reliÈs les unpragmatiques et trÈpidantsKong depuis la rÈvÈlation de Ann Hui, en aux autres, constituent la rÈalitÈ de ceuHubert Niogre1983, avecBoat people. qui la traversent, Yuddy est un jeunFiche du GNCRPositif n∞421 - Mars 199 sauvage qui a rejetÈ les rËgles tradition nelles de vie de sa classe sociale. Mais contrairement au prÈcÈdent film, il nÕy Filmographie ici nul affrontement, juste le sentimen Le rÈalisateur prÈcieux de lÕentre-deux-eaux, IÕent deux-identitÈs (les deux mËres) dÕun NÈ ‡ ShangaÔ en 1958, il Èmigre ‡ HongAs tears go by1989 terre ‡ lÕautre. AprËs les couleurs sat Kong ‡ lÕ‚ge de cinq ans. Il suit de rÈes du premier film, les teintes dÈsatu Ètudes de conception graphiquDays of being wild1990 rÈes du deuxiËme pour toute la traver jusquÕen 1980.Nos annÈes sauvages sÈe de Hong Kong. Seule diffÈrenc PassionnÈ depuis son plus jeune ‚ge pa chromatique: celle du sÈjour au le cinÈma, il intËgre alors la ProductioDong xie xi du1994 Philippines, qui se boucle par une nÈces Training Course de la chaÓne tÈlÈvisÈLes cendres du temps saire scËne dÕaction physique de relanc TVB, compagnie possÈdÈe par les frËre narrative, avant la fuite mortelle dans l Shaw, qui furent les plus importantChongquin senlin1994 train, mais dont le contraste visuel producteurs de la colonie britanniquChungking express apparaÓt comme incongru dans le film entre 1960 et 1970. Cette Ècole de trË et dont la facture nÕa ni le brio de bon niveau lui permet de rapidemenFallen angels1996 scËnes dÕaction du premier film ni l devenir assistant de production sur deLes anges dÈchus cohÈrence des dÈveloppements dans l sÈriestournÈes ‡ un rythme effrÈnÈ e deuxiËme. Cette derniËre partie perme diffusÈes dans tout le Sud-Est asiatique. cependant de refermer la boucle narrati En 1982, il quitte la chaÓne et devien ve par la rencontre de Yuddy, le person scÈnariste. Il fait alors le dur apprentis nage principal, avec lÕex-policier (celDocuments disponibles au France sage de lÕindustrie cinÈmatographiqu que lÕon a vu tenter de consoler la fia de Hong-Kong, et doit se plier au dikta cÈe dÈlaissÈe par Yuddy), devenu enfiTÈlÈrama 60 meilleurs films de Cannes des genres alors en vigueur, mÍme sÕ marin et qui vit ainsi son rÍve a95 ‡ Cannes 96 dÈbute dans une pÈriode propice o˘ le moment mÍme o˘, dÕune maniËre terr∞ -
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