Faites de l'informatique - Arras- Février 2010

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Faites de l'informatique - Arras- Février 2010

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• Publié par: uceqobyk
• Nombre de lectures: 117
• Langue: Français
• Poids de l'ouvrage: 2 Mo

Extrait

Faites de l'informatiq

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www.

ecoinfo.cnrs.fr

Pour commencer...

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[e-mail]

Informaticien au CNRS dans un laboratoire de recherche.

Administrateur Systèmes et Réseaux (ASR)

Ni enseignant, ni commercial, je ne suis pas un « pro » de la communication...

Pour commencer...

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Ce qui m'a posé des questions en premier :  Le tas de matériel « obsolète » qui s'accumule  Des machines encore en état de fonctionner mises au rebut  La consommation électrique des serveurs  on envisage de mettre un onduleur quand  réaliseQ ' u on  La publicité qui pousse à du renouveau pas forcément justifié...  Les prix qui baissent rapidement alors que ce sont toujours des êtres humains qui font l'assemblage.

Pour commencer...

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« Je ne suis pas né écologiste, je le suis devenu »   » du Titanic SyndromeNicolas Hulot dans le «

L'informatique ce n'est pas du virtuel  Je n'ai pas envie de consommer sans comprendre, d'avaler sans savoir d'où ça vient et comment c'est fait.

 on commence à se poser ce genre de questionsQuand on en arrive vite à des problématiques environnementales obligatoirement complexes et sans solution évidente...

« Notre planète est pleine 1 »

 J'ai besoin de sortir de la « technique » pour réfléchir.  Il n'y a plus de terres vierges où jeter nos déchets industriels sans laisser de traces   où envoyer les exclus eldorado » «Il n'y a plus d' de la productivité faire fortune.

« 1 ungmBat  d »Zye namu.P reudse iVse

« Notre planète est pleine »

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« Deux sortes de camions quittent quotidiennement les cours d'usines - l'une se dirige vers les entrepôts et les grands magasins, l'autre vers les décharges. L'histoire avec laquelle nous avons grandi nous a entraînés à ne remarquer (compter, évaluer, prendre en compte) que la première sorte. Nous ne pensons à la seconde que dans les occasions (heureusement pas encore quotidiennes) où une avalanche de restes descend les montagnes de détritus et défonce les barrières censées protéger nos arrières-cours. »

« Vies Perdues » de Zygmunt Bauman.