Presse - Les salaires d'embauche des cadres diminuent
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Presse - Les salaires d'embauche des cadres diminuent
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| Publié par | evepagiv |
| Nombre de lectures | 131 |
| Langue | Français |
| Poids de l'ouvrage | 6 Mo |
Extrait
discussion à l’Assemblée, pré-liste » développement, Jean-Michel Normand personnel, ce qui voit l’interdiction de la vente détaille, à travers la composi- peut nous rendre malades ou d’alcool aux mineurs de moins tion des listes pour les euro- accroître notre risque de mortalité. de 18 ans et dans les stations- péennes, la nouvelle stratégie Leurs travaux sont publiés dans service. de la première secrétaire du des revues scientifiques, et certai-PS. Car,« à mesure que sa AFP Huchon défend sa région La carteelM,crleesomigenissebrytneAuartiri’oéditorajmuàpeupeVie moderne Lors d’undébat en direct, jeudi 5 mars, à partir de 16 heures,d’Europeréseaupersonne»lsroapetprelioocteanustsiteiune sdoun Jean-Paul Huchon, président du conseil régional d’Ile-de-France,Sandrine Blanchard répondra aux questions des internautes sur le thème « Réformedes OGMs»miysteli-iéllsalerdie’hsdtnan-everbua«sedaptr,i Balladur : quel avenir pour l’Ile-de-France ? », alors que les com- Quels pays ont demandé une tants. Jusqu’à toucher les parti- nes font l’objet d’une dépêche. pétences de la région sont menacées par un « Grand Paris ». clause de sauvegarde, quels sans de Ségolène Royal. Tout ça est très sérieux, mais, mis bout à bout, parfois franchement drôle. Voici un petit florilège de ces LalunedemielentreM.SarkozydernieuxdesamrèseC.moniseisfaenbiusvoz-iesetsegeduovdnauqsétiezbébépourtetnreedocmmnuqieuveraesclulads?te « Oui, c’est une poupée »quand etMmeturnecourrasitootPVos parents vous disaient-ils : vous leur montriez avec vos petits doigts une poupée ? Eh bien, sachez que, à l’âge de 14 mois, plus l’éventail de gestes est large, plus élargi à 4 ans et demi, et plus il a de Fsouvnsearisuentpsdnics,ptfaaonrtéld’eefnteetailaulmuabdauciosvpnsue’edceasvoqreécutifqu’elle’snerpnenaàtnuxenl.Ess’amau-etntuotnracrtacilarul-fàrotunedemiel!Jusquelaleinif,aMedeetuddinerpsé,tal schances de réussir à l’école. durcicaleemPtèoanrnie.seEontvseornsloercghaenfisdaetli’Eotna,t,eLnaruercehni--Analy ejuge plus critique à l’égard des dirigeants sont deux psychologues de Ce gnant à signer l’accord sur les salaires en économiques depuis la mobilisation socia- l’université de Chicago qui l’assu-Guadeloupe, a compliqué la sortie de criseClaire Guélaudle du 29 janvier, MmeParisot espère ressou- rent, dans une étude publiée par aux Antilles. C’est à la suite du sommetService Europe-Franceder ses troupes.Science. Et c’est très précis : les social du 18 février à l’Elysée, où elle ne fut Laurence Parisot veut refaire l’unité du bébés de 14 mois des familles pas à la fête, que Laurence Parisot a laissé la possibilité donnée au comité d’entrepri- Medef, éprouvée par les tensions entre pdaerranîitèrreessepsro«pionsiqtuiioéntsuddeesN»ajusuedtesiocalSsarkozy.sed’émettreundid’aubepquli.e«avLiesccoomnsmuultnaitsitfeeRnobcearstbaptestitenesepertseriens,edtrneondqsnriuu-rreoe’sitdnsurtiels,entregrandeCes enfants seront-ils avaAieln’tencrucraouirxe,prloesmecshseefssd’da’leléngteremperinstespHouiennt’ea, iunrcaiistifp,assorneneinétuounreatgelel.eCi’neistittia«rvai-»veossiuped-cel,énfaifmrreosanturoité.D’autantque,serdoste-tusitratsanty,edes optimistes des contraintes du candidat de l’UMP àment beaucoup, beaucoup de bureaucratietion en 2005, une partie du patronat de laou des pessimistes ? l’élection présidentielle. Ils s’inquiéte-en plus » métallurgie lui reste hostile. M, a-t-elle déploré.meParisot a raient désormais de voir l’exécutif recréer,« La présidente du Medef s’en tient à la utilisent 24 gestes différents aiséeslavé en public son linge sale avec l’Union avec la crise, de nouvelles« rigidités ». C’estdéfense de l’entreprise patrimoniale audes industries et métiers de la métallurgie pour s’exprimer contre 13 chez les ce que MmeParisot a confié, dimanchesens le plus étroit du terme. Elle est moins(UIMM), dans la caisse de laquelle l’ancien des milieux défavorisés. Plus bébés 22 février, au « Grand Rendez-vous » Euro-ouverte que ses propres troupe présidents, regrette tard, prélevait de l’argent liquide si ces enfants restent vautrés Marcel Grignard, secrétaire national de la pour, disait-il,« fluidifier les relationsplus de deux heures par jour devant la télé, ils présenteront Alors que la crise incitepCrFoDbTl.sleunactatioégulnderseiol:beèemmemêlenteollteyezokraSsalociNmoicsiafilensà»ntvaedaigrirspetrueedsqucitaifaesdi…uelreovae’dérg.L’striinduadàlaisadumaitudes,m à innover, la présidenteprend à contre-pied leur libéralisme. Mais le ! Ce sont des médecins bri- l’asthmelui pardonner sa plainte pour diffamation tanniques qui ont eu l’idée de croi-du Medef retrouve lesépubliquentdelaRrpsédideonsienxpeunjse-itilolusvevapu’eliteqnalsl-derphécamoétéaelleellueaqrlou,pMMe’nlmItUltandeadtiesteidcpénaérrnciein,aiweavrelDeertninaDocrespudegasu accents du vieux patronatsqeucersétdaiereladecrliaseC.G»,PT«oeulrleMdoarnynseeuDneuimmaas-alledéntuuvoebréadsuoerppeatoire,,nrespirA.sram2eejusertusienettdéll’s,ontaoibaron Thorax. ge caricaturale du patronat. » l’âge adulte, ces enfants Ad’un code éthique, pourtant peu contrai-pe 1-Le Parisien des optimistes ou des image est en total décalage avec la gnant, lui a valu de solides inimitiés chez seront-ils, en réaffirmant avec ferme- Cette té qu’on ne protégera pas l’emploi sans pré- volonté de modernisation affichée par les grands patrons et dans les services. pessimistes ? Cela dépendra de la server les entreprises.« La solution à tousMmeParisot.« Nous voulons construire un de leur gène 5-HTTLPR.Enfin, elle entretient de mauvaises rela- variante les problèmes économiques passe par l’en- Medef différent, un Medef moderne » tions, n’a Ceux avec l’Union professionnelle artisa- qui ont des allèles (versions treprise. La France ne gagnera pas sans l’en-de cesse de déclarer la dirigeante, qui a mis (UPA) et la CGPME. Ce qui peut avoir nale d’un gène) longs réa- particulières treprise » joué dans la crise aux Antilles et accentue giront mieux au stress de la vie,, avait-elle déjà insisté le 5 février son sens de la communication, son style lors de l’assemblée générale du Medef. direct et son look juvénile au service de cet une certaine forme d’isolement. tandis que ceux qui ont des allèles Que la présidente de la première organi- objectif. Mais la crise, dans laquelle les En quelques mois, Mme seront plus vulnérables à courtsParisot s’est sation patronale française se plaigne du chefs d’entreprise se sentent parfois rava- séparée de plusieurs collaborateurs, dont l’anxiété. Selon les chercheurs bri-niveau des prélèvements obligatoires, lés au rang de boucs émissaires, lui compli- certains, comme l’ancien directeur géné- tanniques qui ont projeté une qu’elle veuille« sécuriser » la tâche. queles licencie-« Nous nous battons comme sérieral Jacques Creyssel, avaient la mémoire d’images à 97 personnes ments économiques, qu’elle soit hostile àjamais. Avec l’angoisse aux tripes commede l’organisation. Son prédécesseur, pour aboutir à ce résultat – et dont l’interventionnisme de l’Etat, il n’y a là rienjamais. Face à des défis d’une complexité travaux ont été publiés dans laErnest-Antoine Seillière s’appuyait sur les que de très banal. Le Medef, depuis sa créa-encore un an. Et dans uninimaginable il y a l’inventivité de Denis Kessler pour affiner revueProceedings of the Royal tion en 1998, et le CNPF, avant lui, n’ontbrouillard d’une épaisseur inquiétante », sa vision de l’économique et du social. L’ac-Society B–, cette variation généti-jamais dit autre chose. témoignait-elle le 5 février. tuelle présidente du Medef n’a pas l’équi- que pourrait expliquer les diffé-Plus surprenants, en revanche, sont la Comme présidente de l’IFOP, MmePari- valent rences d’un Kessler pour penser l’après- de regard sur la vie. tonalité de son intervention et le moment sot sait que l’image des chefs d’entreprise crise. Ce sera un handicap si elle persiste Mais c’est la crise, et les gènes choisi pour réaffirmer le credo patronal. – et en premier lieu des banquiers – a souf- dans sa volonté d’être candidate à sa pro- ne peuvent rien y faire. Plus d’un Ainsi, alors que la crise, par son caractère fert depuis l’automne 2008. Comme diri- pre succession en 2010.pquart des Américains dorment inédit, incite à innover, c’est avec les geante du Medef, elle témoigne de leurs dif- mal à cause de la crise économi-accents du vieux patronat qu’elle a fustigé ficultés et doit les défendre. Dans un paysCourriel :guelaud@lemonde.frque, constate la Fondation natio-nale du sommeil. L’étude, qui por-te sur 1 000 adultes, certifie qu’un 123quart d’entre eux peinent à s’en-Il y a 50 ans dans0dormir parce qu’ils sont inquiets de leur situation financière (16 %), Un robot doué de facultés mentalesde l’économie de leur pays (15 %), du chômage (10 %) et des dépen-ses de santé (8 %). Il ne faudrait pas qu’arrivés à LE DÉPARTEMENT d’anatomie de l’une mémoire des faits récents et ne peut plus telle façon que chaque point d’un groupe l’âge de la retraite ils se mettent à des universités londoniennes vient de apprendre de nouvelle classification que neuronal puisse être connecté avec tous somnoler pour récupérer le som-recevoir un don de 95 200 dollars destiné très lentement et très difficilement. Au les points du groupe opposé. C’est pour meil perdu. Car une étude françai-à la construction d’un étrange appareil contraire, la mémoire pour les formes vérifier cette disposition que va être se parue dans la revueStrokede reproduisant le système nerveux de la connues de longue date reste intacte. construit le nouvel appareil robot, qui se l’American Heart Association nous pieuvre. Il découle des observations Il semble donc que l’un des groupes de composera de 4 000 unités identiques, indique que les personnes âgées de minutieuses poursuivies par le profes- neurones constitue le« magasin de la 65 ans et plus qui ont des épisodeschacune d’entre elles étant l’équipement seur Young que cet animal est capable demémoire » de d’un neurone et de ses électroniqueoù sont conservés les souve- somnolence excessive pendant reconnaître, de classer et de retenir tout nirs, tandis que l’autre est le« système la journée ont un risque de mortali-fibres de connexion. La conception de ces ce qu’il voit d’une façon particulièrementd’inscription »par lequel sont apportés unités té électroniques est telle qu’elles doi- augmenté de 33 %. Et je ne vous remarquable. Cette possibilité de recon- les éléments nouveaux. Les voies par les- vent se comporter strictement comme le parle même pas des personnes en naître les formes différentes dépend de quelles ces deux groupes entrent en neurone et, par conséquent, douer d’une surpoids qui fument dix cigarettes deux groupes de neurones qui se réacti- connexion sont à présent connues avec mémoire réelle la machine dont elles par jour… Vivre tue.p vent constamment l’un l’autre. Si l’un de précision : elles comprennent plusieurs font partie.p ces groupes est détruit, la pieuvre perd la réseaux de fibres nerveuses disposées de(5 mars 1959.)Courriel :labhanc@lrdonemedf.r
Editorial Scandale.com Arepaspntétxiesédndélesérivofanteorialocscehcé’ledpeurtsetnfanurseedeln-ria’evuolr–utsonaieéluxesèvrétibaelamcréhudveloppementd’unv depuis l’école j aider à faire leurs devoirs à la maison. Ce « business » est de plus en plus floris-sant. On estime qu’un collégien ou lycéen sur six suit des cours particuliers, à la maison ou, de plus en plus, dans des entreprises de sou-tien scolaire, dont le chiffre d’affaires explose depuis une dizaine d’années. Au total, 40 mil-lions d’heures de cours particuliers seraient ainsi dispensées, soit un marché annuel esti-mé entre 1 et 2 milliards d’euros. Nicolas Sarkozy avait d’ailleurs annoncé, durant sa campagne, des mesures vigoureu-ses pour développer le soutien scolaire : dès l’automne 2007, le ministre de l’éducation nationale, Xavier Darcos, fustigeait« les mar-chands de leçons particulières qui se nourris-sent de l’angoisse des parents »et mettait en place de nouveaux dispositifs de soutien hors temps scolaire, assurés dans les établisse-ments par les enseignants eux-mêmes. Plus d’un million d’élèves de collège bénéficient aujourd’hui de cette aide personnalisée. Cela rend encore plus ahurissante et scanda-leuse l’initiative de deux jeunes diplômés d’écoles de commerce qui viennent de lancer sur le Net le site « Faismesdevoirs.com ». L’idée est simple comme un rêve : l’élève envoie le sujet de son problème de mathémati-ques, de sa dissertation de philosophie ou de son exposé d’histoire, et reçoit sous 24 à 72 heu-res un corrigé supposé impeccable, réalisé par des élèves de grandes écoles, voire des ensei-gnants. Lebusiness plana été soigneusement pensé (pour les modes de paiement notam-ment), et la campagne de publicité est brillan-te, puisque l’indignation provoquée assure sa quasi-gratuité. Cet éditorial en témoigne. Mais au risque d’apparaître passablement ringards – ou ignorants des possibilités infi-nies qu’offre déjà Internet pour « copier-col-ler » les réponses à la plupart des sujets de cours –, disons simplement que « Faismes-devoirs.com » pousse le consumérisme scolai-re très au-delà de l’acceptable. Non seulement en creusant un peu plus les inégalités sociales et financières devant l’école, mais en vidant l’éducation de son principe même : celui de l’apprentissage, de ses rigueurs et de ses satis-factions. On ose espérer qu’il ne se trouvera aucun enseignant pour cautionner cette arna-que intellectuelle. On espère, de même, que les pouvoirs publics ne resteront pas sans réac-tion.p Société éditrice du « Monde » SA Président du directoire, directeur de la publication : Eric Fottorino Vice-président, directeur général : David Guiraud Secrétaire général du directoire : Pierre-Yves Romain Directeur du « Monde » :Eric Fottorino Directeur adjoint : Laurent Greilsamer Editeur : Michel Sfeir Directeur de la rédaction :Alain Frachon Directeur adjoint de la rédaction : Jacques Buob Directeur éditorial : Gérard Courtois Rédacteurs en chef : Michel Kajman, Frédéric Lemaître, Franck Nouchi (« Le Monde 2 ») et Isabelle Talès Chef d’édition : Françoise Tovo Directeur artistique : Quintin Leeds ; Veille de l’information : Eric Azan ; Secrétaire général : Jean-Pierre Giovenco Médiatrice :Véronique Maurus Conseil de surveillance : Louis Schweitzer, président Jean-Pierre Tuquoi, vice-président Anciens directeurs : Hubert Beuve-Méry (1944-1969), Jacques Fauvet (1969-1982), André Laurens (1982-1985), André Fontaine (1985-1991), Jacques Lesourne (1991-1994), Jean-Marie Colombani (1994-2007) Le Mondeest édité par la Société éditrice du Monde SA Durée de la société : quatre-vingt-dix-neuf ans à compter du 15 décembre 2000. Capital social : 149 017 497 ¤. Actionnaire principal : Le Monde SA . Rédaction :80, boulevard Auguste-Blanqui,75707 Paris Cedex 13 Tél. : 01-57-28-20-00 ; télécopieur : 01-57-28-21-21 Courrier des lecteurs :par télécopie : 01-57-28-21-74 ; Par courrier électronique : courrier-des-lecteurs@lemonde.fr 0123est édité par la Société Editrice du Monde (SA). La reproduction de tout arti-cle est interdite sans l’accord de l’administration. Comm ission paritaire des publications et agences de presse n° 0712 C 81975ISSN 0395-2037 Imprimerie du Monde 12, rue Maurice-Gunsbourg 94852 Ivry cedex Président :David Guiraud Directrice générale :Bénédicte Half-Ottenwaelter 80, bd Auguste-Blanqui 75707 PARIS CEDEX 13 PRINTED IN FRANCE: 01-57-28-39-00 - Fax : 01-57-28-39-26Tél
L’interdictionsontautoproduitsùol:rapéirés,steLa vie, les gènes onse se trouve dans l’in-de l’alcoolfographie« Les restrictions àet la crise la production et la commercia-lisation d’OGM en Europe », en questionsqui recense également les dans le monde. adUvine5camuPtahrrielsi,dàpéppbaeartBtirateende,ld1pi1sryechchetprosgrusspel,rueujer-tiodaucteursd’OGMCse’pnuttiteialpejquéetuutsduiesétnas«ir»anscsirserenes-sélopuoevahibru’l laalcvoeonltoegdu’eal:c«oIonltaeurxdicmtiionneudres:La toilelensdauttor-paeupnU.ecnega’dsehc-rcseh,eedomdnêpédsed une mesure efficace ? »d’Aubrycheurs croisent des critères, étu-
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