Gainsbourg (Vie Heroïque) - Dossier de Presse
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Description

C’est l’histoire, drôle et fantastique, de Serge Gainsbourg et de sa fameuse gueule. Où un petit garçon juif fanfaronne dans un Paris occupé par les Allemands ; où un jeune poète timide laisse sa peinture et sa chambre sous les toits pour éblouir les cabarets transformistes des Swinging Sixties.
C’est une vie héroïque où les créatures de son esprit prennent corps à l’écran et sa verve se marie aux amours scandaleuses. De là est née une oeuvre subversive avec en vedette un citoyen fidèle et insoumis qui fera vibrer la planète entière.

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Publié le 07 décembre 2011
Nombre de lectures 327
Langue Français
Poids de l'ouvrage 7 Mo

Extrait

Marc DU Pontavice ET DiDier LuPfer PRéSENTENT GAINSBOURG ( )V I E H É R O Ï Q U E un conte de JOANN SFAR ERIC ELMOSNINO LUCY GORDON LAETITIA CASTA PRODUIT PAR MARC DU PONTAVICE ET DIDIER LUPFER SCENARIO DE JOANN SFAR MUSIQUE ORIGINALE ET ARRANGEMENTS OLIVIER DAVIAUD AVEC LA PARTICIPATION DE DOUG JONES ANNA MOUGLALIS MYLENE JAMPANOI ET SARA FORESTIER AVEC YOLANDE MOREAU PHILIPPE KATERINE KACEY MOTTET-KLEIN DEBORAH GRALL DINARA DROUKAROVA RAZVAN VASILESCU LE QUATUOR PRODUCTEUR EXECUTIF MATTHEW GLEDHILL DIRECTEUR DE LA PHOTOGRAPHIE GUILLAUME SCHIFFMAN (AFC) CHEF MONTEUSE MARYLINE MONTHIEUX CRéATURES DDT CHEF DECORATEUR CHRISTIAN MARTI COSTUMES PASCALINE CHAVANNE INGENIEUR DU SON DANIEL SOBRINO CASTING STEPHANE BATUT PREMIER ASSISTANT REALISATEUR YANN CUINET DIRECTEUR DE PRODUCTION PASCAL BONNET UNE COPRODUCTION ONE WORLD FILMS STUDIO 37 FOCUS FEATURES INTERNATIONAL FRANCE 2 CINEMA LILOU FILMS XILAM FILMS EN ASSOCIATION AVEC UNI ETOILE 6 AVEC LA PARTICIPATION DE CANAL+ DE FRANCE TéLéVISIONS ET DE ORANGE CINEMA SERIES AVEC LE SOUTIEN DE LA REGION ILE DE FRANCE DISTRIBUTION UNIVERSAL PICTURES FRANCE BO DISPONIBLE CHEZ POLYDOR © 2010 ONE WORLD FILMS STUDIO 37 UNIVERSAL PICTURES INTERNATIONAL FRANCE FRANCE 2 CINEMA LILOU FILMS XILAM FILMS WWW.GAINSBOURG-LEFILM.COM gainsbourg_120x160+fine.indd 1 4/11/09 15:23:21 PHOTO : JéRôME BRéZILLON VISA N° 120 809 www.gainsbourg-le lfi m.com Une production one WorLD FiLMs en coproduction avec stUDio 37 - FoCUs FeatUres internationaL - FranCe 2 CinÉMa - LiLoU FiLMs - XiLaM FiLMs en association avec Uni ÉtoiLe 6 avec la participation de CanaL+ de FranCe tÉLÉvisions et de oranGe CinÉMa sÉries avec le soutien de la rÉGion ÎLe-De-FranCe Distribué par UniversaL PiCtUres internationaL FranCe Marc du Pontavice et Didier Lupfer présentent GAINSBOURG ( )V I E H É R O Ï Q U E ÉRIC ELMOSNINO LUCY GORDON LAETITIA CASTA un conte de JOANN SFAR sortie : 20 janvier 2010 Durée : 2h10 Dossier de presse et photos téléchargeables sur image.net DistriBUtion Universal Pictures international France er21, rue François 1 - 75008 Paris Tél. : 01 40 69 66 56 Presse : as CoMMUniCation alexandra schamis / sandra Cornevaux 11 bis, rue Magellan - 75008 Paris Tél. : 01 47 23 00 02 www.universalpictures.fr GAINSBOURG S Y N O P S I S C’est l’histoire, drôle et fantastique, de Serge Gainsbourg et de sa fameuse gueule. Où un petit garçon juif fanfaronne dans un Paris occupé par les Allemands ; où un jeune poète timide laisse sa peinture et sa chambre sous les toits pour éblouir les cabarets transformistes des Swinging Sixties. C’est une vie héroïque où les créatures de son esprit prennent corps à l’écran et sa verve se marie aux amours scandaleuses. De là est née une œuvre subversive avec en vedette un citoyen fi dèle et insoumis qui fera vibrer la planète entière. - 4 - Le soleil est sur le point de se coucher sur France comme je l’étais moi, avec ma fa- le cap de Nice, une langue de roches entre mille mi-russe, mi-algérienne. » Il étudie ciel et mer, azur et cobalt. Un gamin regarde la philo. Lit Evguénie Sokolov, le roman les vagues s’alanguir à ses pieds. Yeux noirs, de Gainsbourg aux remugles de pets et crins noirs, bouille ronde. Il s’appelle Joann de térébenthine (Arrêt sur image). Joann, grisé par ces vents, pets, poum, en tire Sfar (peut-être n’est-ce pas son vrai nom. Qu’importe). une bande dessinée. Après, il ira à Paris Un fantôme passe, par hasard et pas et il la donnera à Serge, voilà, c’est tout rasé. Serge Gainsbourg, déjà. « Dans  les  simple. Mais. disques  et  les  magazines  de  ma  maman,  Gainsbourg était partout. J’ai grandi entou- J’ai pas d’paroles, Gainsbourg s’est ré de ça. » Un père jadis pianiste. Des notes fait la paire (L’Éthylique, 1980) à fleur de clavier, belles-de-nuit qui s’ou- « Je suis arrivé à Paris trois mois après  vrent le soir venu. Une mère chanteuse en- la mort de Gainsbourg. Je suis allé rue de  chanteuse, partie trop tôt. Il pousse comme Verneuil, j’ai jeté ma BD sur Sokolov dans GAINSBOURG ça, Joann, dans les arpèges, les vinyles, le la  boîte  aux  lettres  et  je  suis  parti.  » Le É P O P É E manque de l’absente et les coups de gnôle temps éparpille les feuilles, papiers de riz, C I N É M A T O G R A P H I Q U E de Gainsbourg à la télé. papier chinois dissous dans l’oubli d’une Les années défilent (My Lady Héroïne,  maison vide. Aux armes et cætera, Lemon Incest, Sorry  Six ans s’écoulent sous le pont des Angel en fond sonore). Sfar s’invente un Arts, quel hasard. univers d’encre, ivre de courbes, cuité Joann passe de Sokolov à Pascin. Un à Gainsbourg. «  Adolescent,  je  me  suis  peintre bulgare, trousseur de dames, cas- mangé  l’intégrale  de  Gainsbourg.  Je  tagneur et lubrique, qui hante le Mont- l’écoutais  en  dessinant.  J’aimais  l’idée  martre des années 20, de caboulots enfu- qu’il  ait  voulu  dessiner  et  qu’il  n’y  soit  més en bordels cocottants. « J’ai fait au- pas  parvenu,  qu’il  ait  été  en  recherche  tour  de  Pascin  ce  que  je  ne  m’autorisais  d’amour  et  de  légitimité  vis-à-vis  de  la  pas encore à faire autour de Gainsbourg. » - 5 - table basse avec un 7 d’or. Le bureau de les  vérités  de  Gainsbourg  qui  m’intéres- Marc du Pontavice, producteur prolifi que. sent mais ses mensonges. » (Il n’y a pas de calendrier de La Poste pour Le producteur : «  Ça  me  plaît.  La  fa- indiquer la date du vendredi 30 juin 2006. mille  Gainsbourg  n’acceptera  sans  doute  N’empêche.) jamais,  mais  vas-y,  écris-moi  un  truc.  On  l’enverra aux enfants et à Jane. »Le producteur, un comac à cas aque crème : «  Je  voulais  te  rencontrer  parce  que je voudrais que tu réalises un fi lm, pas  Ça fait des mois qu’ça dure, j’me un dessin animé, un fi lm live. Je ne veux  perds en conjectures (L’Amour à la pas que tu adaptes une de tes BD, je vou- papa, 1959) drais une création originale. Tu auras toute  Rue d’Avron, l’atelier de Joann Sfar. La ela liberté que tu veux. » Bohème dans le XX . Des murs tourmen- L’artiste : « Ah ? Bon ? Mais qu’est-ce  tés par les ans, un canapé essouffl é et un qui te plaît dans mon univers que je com- bureau hérissé de crayons, plumes et pin- prenne ce que tu veux. » ceaux comme des élytres d’insectes éthy- Le producteur : « Pascin, j’adore ce que  liques. Dans un carnet, Sfar croque son tu as fait avec Pascin. » Gainsbourg en traits ourlés de phrases, L’artiste : « Mais c’est mon livre le plus  culbutés de paraboles. Il y conte l’histoire porno, le plus bizarre, le plus invendable. » d’un poète qui a décidé de conquérir la Le producteur : «  Justement.  C’est  le  France, en s’appropriant la langue fran-Et me laissant à mon plus intéressant. » çaise, une conquête dont la victoire a un destin, il est parti dans L’artiste : « Tu sais, dans ma tête der- goût amer. « Si ça n’a pas la fougue d’un le matin plein de lumière rière  Pascin,  il  y  a  Gainsbourg.  Je  ferais  roman  russe,  c’est  raté  », écrit-il. Il y voit (Mon légionnaire, 1987) bien un fi lm sur Gainsbourg. » de vrais acteurs, du dessin animé et pro-Une arche de métal et de verre. One World Films Le producteur : « D’accord. Mais il faut trou- bablement quelques marionnettes. Son Marc du Pontavice  Producteur sur l’interphone. Dedans, ver un angle assez fort pour en faire un fi lm. » carnet est une fresque fl ambée à l’anis et une cathédrale de lumière et deux cana- L’artiste, un gamin de Nice perché dans au Zippo, imbibée de fantasmagories, qui pés bleus aux profondeurs marines. Une le secret de sa mémoire : « Ce ne sont pas  sent le zinc et le fumigène. Du Gogol. Les - 6 - - 7 - - 8 -
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