Et si c'était la dernière ?

Description

Et si c'était la dernière ? A: lors qu'habituellement en cette période de début d'année nous exprimons nos voeux et prenons de «bonnes» résolutions... pour cette année 2012, en vertu des nouvelles pessimistes annoncées en permanence par les médias, associées à la fameuse fin du calendrier maya le 21 décembre prochain, à moins d'un an de cette «date tragique », nous serions presque amenés à remplacer nos voeux et résolutions du «nouvel an», par ceux du «dernier an». Et si c'était la dernière? Si nous considérions qu'il s'agissait vraiment de la dernière année à vivre ? En guise d'exercice avec un peu de détachement pour ne pas paniquer, mais sérieusement quand même! Nous en profiterions certainement pour mettre en route toutes les choses dont nous avons toujours rêvées de faire, sans hésiter, ni avoir de doutes ! La mort, bras de levier de la vie ! Habituellement, chaque date anniversaire ou celle de début d'année marque la fin d'un cycle et doit nous rappeler que notre temps de vie n'est pas infini, qu'il est précieux. D'une façon générale, c'est parce qu'il y a danger, que nous réagissons, que nous sortons de notre zone de confort ! Et plus la menace grandit, plus nous sommes prêts à prendre des risques, plus notre détermination, notre « résolution » à vivre grandit, elle aussi. Aujourd'hui face à l'accélération du phénomène de crise, c'est sur cette «résolution fertile» qu'il faut porter notre attention.

Informations

• Publié par: Entreprendre-
• Publié le: 28 janvier 2012
• Nombre de lectures: 9
• Langue: Français

Extrait

Et si c'était la dernière ?

A: lors qu'habituellement en cette période de début d'année nous exprimons nos voeux et prenons de «bonnes» résolutions... pour cette année 2012, en vertu des nouvelles pessimistes annoncées en permanence par les médias, associées à la fameuse fin du calendrier maya le 21 décembre prochain, à moins d'un an de cette «date tragique

», nous serions presque amenés à remplacer nos voeux et résolutions du «nouvel an», par ceux du «dernier an».

Et si c'était la dernière?

Si nous considérions qu'il s'agissait vraiment de la dernière année à vivre ? En guise d'exercice avec un peu de détachement pour ne pas paniquer, mais sérieusement quand même! Nous en profiterions certainement pour mettre en route toutes les choses dont nous avons toujours rêvées de faire, sans hésiter, ni avoir de doutes !

La mort, bras de levier de la vie!

Habituellement, chaque date anniversaire ou celle de début d'année marque la fin d'un cycle et doit nous rappeler que notre temps de vie n'est pas infini, qu'il est précieux. D'une façon générale, c'est parce qu'il y a danger, que nous réagissons, que nous sortons de notre zone de confort ! Et plus la menace grandit, plus nous sommes prêts à prendre des risques, plus notre détermination, notre « résolution » à vivre grandit, elle aussi. Aujourd'hui face à l'accélération du phénomène de crise, c'est sur cette «résolution fertile» faut porter notre attention. Pour voir qu'elle ne peut qu'accroître qu'il face à l'adversité grandissante et développer en nous la force d'entreprendre et de réaliser nos rêves les plus audacieux !

2012 : être « résolu » à vivre mais à vivre quoiAlors que les différentes structures ? représentant nos anciens modèles de croyances quant à la stabilité, la sécurité, voire la « valeur » des choses, menacent de s'écrouler, la seule valeur réelle sur laquelle il semble sage d'investir en ce moment... reste en soi. Pas dans le sens égoïste du terme, mais dans le sens d'authentique. Il est prioritaire, aujourd'hui plus que jamais de savoir ce qui est essentiel pour soi : à la fin de notre vie qu'est-ce qui aura été important ? Qu'est-ce qui aura vraiment eu de la valeur ?

Nos valeurs changent?

Les chinois disent «qu'une maison de paille où l'on rit, vaut mieux qu'un palais où l'on pleure». Vous me direz que ces «mêmes (?)»  chinois semblent mener une guerre économique avec des objectifs bien plus matériels ? Mais lequel de ces deux modèles procure le plus de joie au quotidien ? Et le moins de regrets à la fin d'une vie ? Nous savons que les personnes dites « assistées » ou vivant dans l'ombre, ou sous l'aile protectrice d'une grande structure (d'état ou privée) ne sont plus si sûres de leur « protection », et savent au fond d'elles même qu'elles passent en partie à côté de leur pleine expression ! Et que les « acharnés » profit menacent eux même leur propre sécurité... du Gardons à l'esprit que tout extrême a tendance à en amener un autre, et que c'est un juste équilibre basé sur un réel service aux autres justement valorisé qui sera probablement satisfaisant. A écouter les multiples récits de vie de chefs d'entreprises comme de patients, il semblerait que les systèmes de valeurs évoluent. Il est évident de constaterla meilleure santé de« quelqu'un qui est aimé pour ce qu'il est, plutôt que pour ce qu'il a ». S'il vous restait une journée ou une année à vivre que feriez-vous ?

Quand tout bouge, il faut se concentrer sur son centre d'équilibre.

Les extrêmes en amenant d'autres on voit en quoi ceux qui vivent sur du vent sont déstabilisés ou perdent leurs points d'appuis à chaque coup de vent. Si tout devait disparaître de notre modèle actuel, la plupart des gens devraient sûrement se rapprocher de leur travail concret naturel et la valeur du travail ; alors, entreprendre ce qui est juste pour soi deviendrait certainement une nouvelle base, « gagner sa vie en faisant ce que l'on aime» reste un vrai service pour soi comme pour ceux que l'on sert. Un repère pour notre système éducatif, économique, social... Il en va de la santé de l'entrepreneur, de ses employés, de la société.

Auteur de Devenez ce que vous êtes, Editeur. Informations et contacts sur ESF wwwJrouversavoie.com Participez en direct à l'émission « Des hommes et des L » chaque jeudi sur LFM 95,5 FM ou www.lfm-radio.com de !Sh30 à 19h30