Que d hypocrisie
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Que d'hypocrisie Oh ! je sais que ce n'est pas très politiquement correct, mais il y a tellement de choses faites et commises par nos dirigeants, incorrectement... puis, de temps en temps ces crimes odieux, que je vais oser. Commençons par celle de ne pas avoir fait voter le peuple, celui pour lequel on doit en principe, en son nom, « rendre la justice » -pour qu'il juge si oui ou non la peine de mort se devait d'être abolie et ne pas le faire, comme cela a été le cas, afin de ne pas à être confronté à des « états d'âmes » coupables, comme par le passé, d'envoyer des innocents à l'échafaud. ANDRIEU PIERRE ©AFP/On a inscrit nous répondra-t-on - et par conséquent c'est irréversible (sic) - cette abolition dans notre Constitution, voire même au niveau Européen ; et alors, cela empêche-t- il de revenir en arrière ? Peut-on interroger lucidement le peuple sur la peine de mort dans ce pays pour ces criminels ou bêtes féroces ((à votre choix) ayant commis certains actes indicibles et en récidive ; ou doit-on laisser l'établissement politico-intellectuel - qui a cru bon pouvoir le faire à notre place - seul juge ? Aujourd'hui, les circonstances ont changé puisqu'on peut être certain - grâce entre autres à l'ADN, contrairement à l'époque - de celui qui a commis le crime odieux, sans oublier que l'on peut faire appel de la décision de la Cour d'Assises. Et que l'on ne me rétorque pas qu'aux États-Unis, nonobstant la peine de mort, les crimes continuent et de meilleur...

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Publié le 05 mars 2011
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Langue Français

Extrait

Que d'hypocrisie
Oh ! je sais que ce n'est pas très politiquement correct, mais il y a tellement de choses faites et commises par nos dirigeants, incorrectement... puis, de temps en temps ces crimes odieux, que je vais oser.
Commençons par celle de ne pas avoir fait voter le peuple, celui pour lequel on doit en principe, en son nom, « rendre la justice » -pour qu'il juge si oui ou non la peine de mort se devait d'être abolie et ne pas le faire, comme cela a été le cas, afin de ne pas à être confronté à des « états d'âmes » coupables, comme par le passé, d'envoyer des innocents à l'échafaud.
ANDRIEU PIERRE ©AFP/On a inscrit nous répondra-t-on - et par conséquent c'est irréversible (sic) - cette abolition dans notre Constitution, voire même au niveau Européen ; et alors, cela empêche-t-il de revenir en arrière ? Peut-on interroger lucidement le peuple sur la peine de mort dans ce pays pour ces criminels ou bêtes féroces ((à votre choix) ayant commis certains actes indicibles et en récidive ; ou doit-on laisser l'établissement politico-intellectuel - qui a cru bon pouvoir le faire à notre place - seul juge ? Aujourd'hui, les circonstances ont changé puisqu'on peut être certain - grâce entre autres à l'ADN, contrairement à l'époque - de celui qui a commis le crime odieux, sans oublier que l'on peut faire appel de la décision de la Cour d'Assises. Et que l'on ne me rétorque pas qu'aux États-Unis, nonobstant la peine de mort, les crimes continuent et de meilleur... Imaginez-vous, si elle n'existait pas ?Tunisie, Égypte et autres pays amis du Maghreb, ou de l'hypocrisie de nos élites.
Toujours eux, les politico-intellectuels « corrects », ceux qui croient qu'ils peuvent décider à notre place. Nous voilà encore, nous le peuple français à cause d'eux, à nouveau mal vu par nos amis maghrébins. Et pourquoi ? parce qu'ils pensaient que ces pays amis, ou plutôt le peuple de ces pays ne pouvait pas un jour se révolter et décider d'être libres, à disposer d'eux mêmes ! Quelle hypocrisie lorsque l'on discutait avec eux pour leur faire part de ce qui n'allait pas chez eux ; vous vous voyez dire oh ! les pauvres, ils font ce qu'ils peuvent.
Et quand ces pauvres ont besoin d'eux plus personne ; d'ici à ce que toute cette « clique » vende très vite leur Riad il y a fort à parier qu'il ne se passera pas longtemps ; ils aiment bien aller en vacances là ou le ciel est bleu, les services pas chers, voire gratuits, etc, et surtout où règne la sécurité, n'est-ce pas ? Sans compter qu'alors où ils n'auront plus besoin de nos amis, il n'y aura
plus aucun investissement pendant longtemps (et avide du tourisme ?). Comme vous le savez, l'argent aime la sécurité plus que toute autre chose, après sa multiplication.
Enfin, que dire de la « preuve » MAM, sinon que comment peut-on garder un Ministre des Affaires Étrangères qui « se fait avoir », à ce point en business ? Hé oui ! Elle fait investir dans une société de jet privé alors que plus personne en Tunisie n'aurait les moyens de voler dans un transport de la sorte ; ceux qui le pouvaient sont ou partis ou cachés ?
Les candidats... à la présidence et, en particulier Monsieur de Villepin, vous savez celui qui « existe politiquement » aujourd'hui par la force des choses, puisqu'il a fallu qu'il se défende ; donc grâce à l'affaire Clearstream. Que d'efforts pour rien, que d'énergie, en vain. Alors qu'il aurait pu - quand il pouvait avoir la « machine avec lui -contre son adversaire sur le terrain, oui quand il était Premier Ministre et Monsieur le Président lui demandant (et mettant tous les moyens à sa disposition) d'y aller ? S'il ne l'a pas fait à l'époque que veut-il faire aujourd'hui ? Un tour de piste ou accepter un petit portefeuille ? Lui, commis de la République pas la « bête » de politique ; lui, homme de salon mais pas d'action ; lui, homme de dossier mais pas de terrain ? Avec l'aide d'un certain média qui se croit dans l'obligation de l'aider afin de se déculpabiliser d'avoir trop aidé l'autre, le contraire de lui.
Et que dire de Borloo, il n'a pas encore repris tous ses esprits suite à l'uppercut reçu. C'est rigolo alors que tout le monde veut, manifestement, faire perdre Sarkozy en 2012 ; il va peut être encore gagner, par défaut comme en 2007, faute d'adversaire.
Et ne me parlez pas d'un certain DSK, il n'avait déjà pas fait « le poids » lors du choix des candidats au sein du PS en 2006, et cela même si (et grâce, toujours, à notre intelligencia-médiatico-intellectuel) nous avons la mémoire courte. Enfin, un mot sur la « grève » (pardon Madame, Monsieur le Président, vos renvois d'audiences) des Juges ; je croyais que l'hypocrisie était une denrée politique. Sinon, voilà encore un corps qui nous prend pour « des manants », Nous, au nom de qui ils doivent - j'ai bien dit ils doivent - (dans la forme peut-être, et dans l'esprit assurément que NON) rendre la (leur) justice des hommes et des femmes.
Avocat à la Cour dominguez.francis@wanadoo.fr
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