Mécanismes nerveux et fonctions sensorielles chez les Vertébrés - compte-rendu ; n°1 ; vol.38, pg 345-365
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Description

L'année psychologique - Année 1937 - Volume 38 - Numéro 1 - Pages 345-365
21 pages
Source : Persée ; Ministère de la jeunesse, de l’éducation nationale et de la recherche, Direction de l’enseignement supérieur, Sous-direction des bibliothèques et de la documentation.

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Publié par
Publié le 01 janvier 1937
Nombre de lectures 33
Langue Français
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Extrait

d) Mécanismes nerveux et fonctions sensorielles chez les
Vertébrés
In: L'année psychologique. 1937 vol. 38. pp. 345-365.
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d) Mécanismes nerveux et fonctions sensorielles chez les Vertébrés. In: L'année psychologique. 1937 vol. 38. pp. 345-365.
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/psy_0003-5033_1937_num_38_1_5535FONCTIONS SENSORIELLES DES VERTEBRES 345
action des réceptions visuelles paraît aux auteurs être rendue
évidente par le fait que action de obscurité sauterelles pâles sans
couleur est toute différente de celle un fort éclairage sur fond noir
336 BUCK Studies on the Firefly The effects of light
and other agents on flashing in Photinus pyralis with special
reference to periodicity and diurnal rhythm tudes sur la Luciole
Les effets de la lumière et autres facteurs sur rémission éclats
chez Ph p. spécialement en rapport avec la périodicité et le rythme
nycthéméral Ph Z. 1937 45-58
Observation de heure de la première émission de lumière chez
des mâles de Photinus pyralis en fonction de la luminosité et de la
température dont action se montre importante heure variant en
juillet sous leur influence de 18 40 19 28 Au laboratoire dans
des conditions définies émission éclats est déclenchée par le
passage un fort éclairement obscurité Le passage obscurité
après une période de faible éclairement augmente la fréquence des
émissions éclats mais cette fréquence est très basse
continue La forte diminution un éclairement interne déclenche les
éclats importe quelle heure mais après le passage de obscurité
un éclairement faible on ne constate émissions que si la durée
du séjour obscurité été de 24 heures ou un multiple 47 72
ou 96 et non si cette durée été de 12 ou un de 12
tel que 36 60 ou 84
Ceci indique un rythme nycthéméral dont existence se manifeste
par la persistance pendant jours des émissions éclat nocturnes
dans des conditions uniformes de milieu
337 WOLF et ZERRAHN-WOLF Reactions of Limulus
to illuminated fields of different area and flicker frequency Reac
tions de des champs éclairés de différentes surfaces et fréquence
de papillotement of gen Ph. XX 1937 767-776
Si deux champs papillotants sont de même surface et égale
brillance le nombre de jeunes Limules se dirigeant vers un ou
autre est proportionnel la fréquence de papillotement la plus
rapide étant de 20 par seconde on compense effet une
grande fréquence par une diminution de surface Les auteurs en
concluent que les effets lumineux sont égaux pour une égalité des
nombres excitations éléments actifs dans unité de temps
Mécanismes nerveux
et fonctions sensorielles chez les Vertébrés1
338 HOLST Bausteine zu einer vergleichenden Physiolo
gie der lokomotorischen Reflexe bei Fischen Mitteilung Contri
butions une anatomie comparée des réflexes locomoteurs des
Voir aussi le no 72 346 ANALYSES BIBLIOGRAPHIQUES
poissons 2e communication für ver Ph. XXIV 1937
532-562
Ce travail collectif présente une description très serrée de la
locomotion normale et des réflexes locomoteurs après section de la
moelle chez les poissons marins suivants Hippocampus Blennius
Coris Xyrichthys Gobius Lepadogaster Trachinus Scorpaena
Corvina Hellastes Apogon Trigla Des prises de vue cinématogra
phiques permettent une analyse précise des mouvements
339 TEN CATE STOMMEL et WALTER
Flügelreflexe bei Rückenmarkstauben Les réflexes des ailes chez
les pigeons médullaires Ar néerl de Ph. XXII 1937
332-340
Contrairement aux extrémités postérieures les ailes du pigeon
médullaire sont très pauvres en réflexes Des mouvements rythmiques
dorso-ventraux le plus souvent symétriques répondent aux excita
tions ctiles et aux stimulations directes des nerfs sensibles un
réflexe tonique est obtenu par pression sur la face inférieure des
ailes Il faut supposer* que pour les réflexes compliqués exige le
vol libre intervention des centres encéphaliques est indispensable
340 VISSER et RADEMAKER Die optischen Reak
tionen grosshirnloser Tauben Les réactions optiques des pigeons
décérébrés 4e communication Ar néerl de Ph. XXII
398-417
Cette dernière partie une étude très complète traite action des
distances sur le comportement des pigeons décérébrés et apporte en
plus une discussion de ensemble des faits présentés Les auteurs
opposent idée très répandue après laquelle les mammifères
décortiqués seraient aveugles et les oiseaux continueraient voir
erreur produite par la richesse en réflexes optiques infracorticaux des
oiseaux animaux essentiellement visuels contrairement au chien
animal olfactif et auditif pauvre en réflexes optiques
Ainsi que le chien le pigeon décérébré ne reconnaît pas les objets
de son entourage Un chat un pot de grains sont traités avec la
même indifférence La mémoire immédiate optique disparaît un fil
tendu près du sol ou une fente dans la table amène la chute de ani
mal car ils sont oubliés dès que la tête les dépasse et ils dispa
raissent de image rétinienne Les réflexes conditionnés qui pour les
auteurs sont le critérium de la perception disparaissent de nouveaux
ne se forment plus seules les réactions congénitales persistent Les
pigeons picorent mais ils ne se dirigent que après la taille et le
contraste avec le fond de objet offert Ils distinguent les distances
et se dirigent en vol libre de préférence vers le support le plus proche
en posant avec une grande précision ils évitent habilement les
obstacles mais ne font pas de distinction entre une table et une
ombre horizontale En somme les réactions optiques du pigeon
décérébré bien que plus variées ne diffèrent que quantitativemant
de celles un mammifère dans mêmes conditions SENSORIELLES DES VERTEBRES FONCTIONS
341 VAN HARREVELD ET KOK Ueber die Bezie
hungen zwischen der experimentellen Katalepsie und der Hirn
rinde Sur les relations entre la catalepsie expérimentale et le cortex
cérébral Ar néerl de Ph. XXII 1937 359-371
La catalepsie artificielle obtenue par la bulbocapnine chez les
chats et chiens normaux peut être reproduite par la décortication
totale mais celle-ci ne se montre pas chez tous les animaux et est
pas de longue durée La bulbocapnine continue effectuer son action
spécifique mais en général les doses nécessaires sont quatre fois
moindres que chez les animaux normaux la dose entière empêche les
réflexes typiques La décortication unilatérale donne souvent une
catalepsie spontanée de faible durée avec des réflexes unilatéraux
Après la disparition de ces symptômes la bulbocapnine provoque une réflexes unilatéraux symétriques aux premiers
Les deux modes de catalepsie expérimentale montrent pourtant
certaines différences De nombreux réflexes persistent après la décor
tication mais sont supprimés par la bulbocapnine autres au
contraire typiques pour la catalepsie bulbocapnique sont supprimés
chez les animaux décortiqués La agirait donc pas
électivement sur une partie du cerveau mais sur son ensemble tout
en gardant une action sélective pour les différents réflexes
342 CHANG Which layer in the sensori-motor cortex
is responsible for placing reactions Quelle couche du
sensori-moteur est responsable des réactions de mise en place
Chin of Ph XI 1937 81-86
Ces réactions posturales origine corticale Rademaker) sont
transitoirement atteintes après thermocoagulation destructrice des
couches externes du cortex sensori-moteur du lapin et définitive
ment abolies quand la 5e couche est détruite aussi
343 FRANZ Ueber den Reflex des Gasspuckens bei Fischen
und die Funktion des Weberschen Apparats Le réflexe du crache
ment de gaz chez les poissons et la jonction de appareil de Weber
fur ver Ph. XXV 1937 193-238
Les poissons physostomes crachent le gaz de la vessie natatoire
dès une pression interne critique est atteinte Celle-ci peut être
modifiée par les variations de la pression extérieure de la lumière
de la température et remplissage de intestin extirpation des
yeux ou de oreille interne gêne passagèrement le réflexe du crache
ment extirpation de appareil de Weber agit par contre ni sur le
remplissage de la vessie ni sur le réflexe
Le splanchnicus et les vagi dirigent

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