Elections européennes : l UMP et le PPE, seuls véritables alliés de l agriculture en France et en Europe
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Elections européennes : l'UMP et le PPE, seuls véritables alliés de l'agriculture en France et en Europe

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Argumentaire UMP - Elections européennes : l'UMP et le PPE, seuls véritables alliés de l'agriculture en France et en Europe

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Publié le 22 mai 2014
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ELECTIONS EUROPÉENNES L’UMP ET LE PPE, SEULS VÉRITABLES ALLIÉS DE L’AGRICULTURE EN FRANCE ET EN EUROPE
CHIFFRE CLÉ À RETENIR 64 A l’UMP, nous nous sommes toujours baus pour défendre une PAC forte, durable et dotée d’un budget ambieuxcar nous considérons que l’agriculture est un enjeu stratégique pour notre pays.milliards d’euros C’est le montant Ce n’est malheureusement pas le cas de nos adversaires,UDI-Modem en que vont percevoir tête qui, à travers l’alliance des démocrates et libéraux européens (dont les agriculteurs le candidat à la tête de la Commission européenne est Guy Verhofstadt), français grâce à la propose une forte réducon des aides européennes et une interdicon Politique Agricole pure et simple des aides naonales aux agriculteurs. Commune
Seuls l’UMP et le PPE défendent véritablement l’agriculture et les agriculteurs en France et en Europe.
Les agriculteurs français sont les premiers bénéficiaires de la PAC avec 64 milliards d’euros sur la période 2014-2020.A l’UMP, nous nous sommes toujours battus pour défendre une PAC forte, durable et dotée d’un budget ambitieux car nous considérons que l’agriculture est un enjeu stratégique pour notre pays.
Ce n’est pas le cas de nos adversaires. Ainsi l’ADLE (alliance des démocrates et libéraux européens), groupe où siègeront lesDéputés de l’UDI et du Modem, propose une forte réduction des aides européennes et une interdiction pure et simple des aides nationales aux agriculteurs.Adversaires traditionnels de la PAC (cela s’est encore vérifié au cours de la dernière réforme où ils ont tenté par tous les moyens de réduire encore plus drastiquement le budget agricole et de démanteler les derniers outils de régulation), les libéraux voient dans ces propositions une « modernisation » de la politique agricole permettant d’adapter davantage la production aux desiderata du marché. Ils oublient surtout que les aides versées aux agriculteurs constituent dans bien des cas leur principale source de revenu, et ce malgré les efforts profonds de modernisation et de compétitivité engagés depuis plusieurs années.
Les Verts, eux, font du bio et des filières courtes l’alpha et l’oméga de toute politique agricole dénonçant systématiquement « l’agriculture intensive » alors que l’agriculture traditionnelle permet pourtant de nourrir les Européens en respectant des normes sanitaires très rigoureuses et de fournir à notre pays des excédents commerciaux. La proposition des Verts de supprimer définitivement les subventions à l’exportation, pourtant habilement réformées sous l’impulsion de Michel Dantin, l’un des rapporteurs du parlement pour la dernière réforme de la PAC, est un coup porté à l’économie française et à nos agriculteurs.
Quant aux socialistes, dont le manque d’implication sur les questions agricoles a été criant au cours de la législature qui s’achève, leurs nouveaux totems des filières courtes et de l’agro-écologie leur tiennent lieu de politique et montreleur incapacité à apporter une réponse cohérente aux défis majeurs qui se posent aujourd’hui au monde agricole.
Enfin,le FN veut une renationalisation totale de la PAC, faisant ainsi perdre à tous les agriculteurs les aides et les débouchés commerciaux dont ils bénéficient aujourd’hui.
L’UMP et le PPE sont les seuls en France et en Europe à véritablement penser la réalité de l’agriculture et de la ruralité dans toute sa complexité, du producteur au consommateur, de la tradition à l’innovation, et du village aux antipodes.
 Noussommes ainsi les seuls à nousengager sur le maintien du budget agricole lors de la révision budgétaire à venir en 2016, si important pour les bilans comptables de l’écrasante majorité des exploitations agricoles.
Nous sommes les seuls à proposer decréer les conditions d’une réelle augmentation de notre production agricole, et de nos exportations, afin de répondre aux enjeux de l’accroissement de la demande alimentaire mondiale.
Nous sommes les seuls à nous engager sur l’impératif renouvellement des générations dans le secteur agricole, parl’accompagnement des jeunes agriculteurs.
Nous sommes les seuls à développer une vision du développement rural qui ne se limite pas aux paysages ou à l’environnement, mais met égalementun accent décisif sur le développement économique et le dynamisme des zones rurales
Nous sommes les seuls à mettre l’accent à la fois sur lanécessaire régulation des productions, des échanges et des marchés, tout en insistant sur la compétitivité de tous les types d’agriculture au niveau local/régional, européen et mondial, ainsi que sur l’importance des échanges commerciaux.
Nous sommes les seuls à mettre au centre de nos réflexions le caractère décisif duprogrès technique tout en nous préoccupant du maintien de nos productions traditionnelles et de qualité.
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